— Ne bouge pas ! haletai-je, en sueur. Le moindre battement de tes paupières, le moindre souffle risque de me réveiller. Et, si ça arrive, je suis sûr que je me retrouverai en train d’installer des chaises longues au bord de la piscine, à te dévorer du regard en imaginant toutes les merveilles promises par ta beauté. Je ne veux pas me réveiller.