Du XIIIe au XVIe siècle, le cycle carolingien se transplante en Italie et y fleurit d’étonnante façon jusqu’à produire à Ferrare les deux chef-d’œuvre épiques du Roland amoureux de Boiardo et du Roland furieux de l’Arioste.
Or personne jusqu’aujourd’hui (même chez les spécialistes italiens) n’a songé à explorer les ressources de l’héraldique imaginaire offertes par ce corpus, alors même qu’un aussi grand héros que Roland se détache du fond français po...
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