Dans ce célèbre conte classique américain, une jeune fille nommée Dorothy et son chien Toto se retrouvent propulsés dans un monde qui n'est pas le leur. Un monde magique : celui pour règne le magicien d'Oz. Un homme doté de grands pouvoir et capable, dit-on, de tout.
Dans sa quête pour rencontrer cet homme afin qu'il la renvoie chez elle, Dorothy rencontre plusieurs personnages atypiques : un épouvantail sans cervelle, un robot bûcheron sans coeur et un lion poltron.
J'avais souvenir d'avoir vu il y a bien longtemps le vieux film avec Judy Garland, et l'adaptation par Sébastien Perez et Benjamin Lacombe m'a paru être une bonne occasion pour découvrir ce classique.
Si j'ai trouvé la première partie de mise en place assez quelconque, l'histoire est devenue bien plus intéressante à partir de l'entrée des personnages dans la cité d'Emeraude. A partir de cet épisode, j'ai pu apprécier pleinement la portée de ce récit sur l'amitié, la différence et l'acceptation mais aussi sur nos perceptions et "croyances" parfois trompeuses.
J'ai trouvé ce récit très touchant avec un univers élaboré mais si j'ai été parfois frustrée de voir certaines actions trop vite expédiées (comme dans le Hobbit de Tolkien). Cette lecture prouve aussi que les contes ne sont pas si "neuneu" qu'ils peuvent paraître à première vue ou dans les adaptations cinématographiques très édulcorées.
C'est une histoire très riche d'enseignements sur la confiance en soi, le bonheur, la richesse et la méchanceté ainsi que notre façon d'y répondre. Je me demande bien pourquoi cette histoire n'a pas eu autant de succès en France qu'aux Etats-Unis car il y a tout pour faire une bonne histoire : une quête, un voyage initiatique, de l'aventure, de la magie, de l'humour.
Belle découverte que ce soit pour le texte ou le très beau travail graphique de Benjamin Lacombe, même si ce n'est (à mon avis) pas le plus abouti ou le plus saisissant.
Dans sa quête pour rencontrer cet homme afin qu'il la renvoie chez elle, Dorothy rencontre plusieurs personnages atypiques : un épouvantail sans cervelle, un robot bûcheron sans coeur et un lion poltron.
J'avais souvenir d'avoir vu il y a bien longtemps le vieux film avec Judy Garland, et l'adaptation par Sébastien Perez et Benjamin Lacombe m'a paru être une bonne occasion pour découvrir ce classique.
Si j'ai trouvé la première partie de mise en place assez quelconque, l'histoire est devenue bien plus intéressante à partir de l'entrée des personnages dans la cité d'Emeraude. A partir de cet épisode, j'ai pu apprécier pleinement la portée de ce récit sur l'amitié, la différence et l'acceptation mais aussi sur nos perceptions et "croyances" parfois trompeuses.
J'ai trouvé ce récit très touchant avec un univers élaboré mais si j'ai été parfois frustrée de voir certaines actions trop vite expédiées (comme dans le Hobbit de Tolkien). Cette lecture prouve aussi que les contes ne sont pas si "neuneu" qu'ils peuvent paraître à première vue ou dans les adaptations cinématographiques très édulcorées.
C'est une histoire très riche d'enseignements sur la confiance en soi, le bonheur, la richesse et la méchanceté ainsi que notre façon d'y répondre. Je me demande bien pourquoi cette histoire n'a pas eu autant de succès en France qu'aux Etats-Unis car il y a tout pour faire une bonne histoire : une quête, un voyage initiatique, de l'aventure, de la magie, de l'humour.
Belle découverte que ce soit pour le texte ou le très beau travail graphique de Benjamin Lacombe, même si ce n'est (à mon avis) pas le plus abouti ou le plus saisissant.
Dans ce livre Benjamin Lacombe revisite une histoire intemporelle. Qui ne connaît pas l'histoire ou n'a jamais vu le film. En lisant cette histoire je suis retombée en enfance et que dire des illustrations qui sont tout simplement magnifiques.
Je trouve que le duo Sebastien Perez et Benjamin Lacombe fonctionne très bien, l'un sait nous raconter des histoires et l'autre nous en mettre plein les yeux.
Tous les ouvrages de Benjamin Lacombe sont sublimes et celui-ci ne fait pas exception !
Je trouve que le duo Sebastien Perez et Benjamin Lacombe fonctionne très bien, l'un sait nous raconter des histoires et l'autre nous en mettre plein les yeux.
Tous les ouvrages de Benjamin Lacombe sont sublimes et celui-ci ne fait pas exception !
Je ne connaissais pas le récit du Magicien d'Oz, ayant de très vagues souvenirs du film d'animation Disney qui est sorti il y a maintenant plusieurs années, j'ai pu découvrir ce récit de Sébastien Pérez accompagné des merveilleuses illustrations de notre talentueux Benjamin Lacombe !
Une jolie petite histoire, pleine de poésie, des personnages attachants et solidaires, une amitié forte et sincère.
Ils nous font vivre leurs aventures et nous partage une belle morale.
Encore un coup de coeur, et un livre de plus dans ma superbe collection Benjamin Lacombe.
Surtout que celui-ci est particulier, car il porte sa dédicace !
Une jolie petite histoire, pleine de poésie, des personnages attachants et solidaires, une amitié forte et sincère.
Ils nous font vivre leurs aventures et nous partage une belle morale.
Encore un coup de coeur, et un livre de plus dans ma superbe collection Benjamin Lacombe.
Surtout que celui-ci est particulier, car il porte sa dédicace !
Avec cette collection, depuis plusieurs années le dessinateur et plusieurs de ses acolytes dépoussières les classiques de la littérature mondiale. Parfois simple traduction remise au goût du jour, parfois vraie réinterprétation, cette collection renferme de très beaux bijoux. C'est le cas du Magicien d'Oz.
Avec un texte original du à L.F. Baum en 1900, Sébastien Perez s'est fait fort de dépoussiérer tout ça et d'offrir une aventure qui tient cette fois en une centaine de pages dans une langue actuelle et avec un angle de vue accrocheur : raconter cette histoire que l'on connaît tous désormais depuis le point de vue de l'Épouvantail, peut-être le personnage le plus emblématique de l'histoire. Pari réussi à pour moi !
J'ai eu envie de découvrir ce classique, mais j'avoue que n'ayant que deux version en anglais chez moi, après avoir lu péniblement quelques pages, j'ai bien vite lâché l'affaire. C'était vraiment très poussiéreux comme langue. Mais ici, en abrégeant et allant à l'essentiel, l'auteur a su lui redonner vie.
Pour qui connaît l'histoire, notamment grâce à ses nombreuses adaptations : ciné, télé, albums, romans... on retrouve les épisodes clés de celle-ci : la rencontre de Dorothy avec ses différents compagnons, la traversée du fleuve, le champ des coquelicots, la rencontre avec Oz, l'affrontement avec la Sorcière de l'Ouest, la découverte de la supercherie, la rencontre avec la dernière sorcière et le retour à la maison. Tout y est ! L'aventure est donc au rendez-vous, tout comme la dimension humaine de l'oeuvre.
J'ai beaucoup aimé le rôle des illustrations de Benjamin Lacombe sur ce dernier point. En effet, elles donnent vraiment vie aux personnages, leur rendant leur côté américains poussiéreux qui détonnent dans le beau monde d'Oz. C'est splendide ! le dessinateur n'a pas été avare en plus. Doubles pages couleurs, portraits et dessins rendant hommage aux gravures d'époque mais avec une tonalité très moderne porté par ce vert métallisé, sont au rendez-vous. Il s'adonne à la fois à des illustrations couleurs rappelant celles des contes traditionnels pour eux et y adjoint des gravures en noir, blanc, vert métal très actuels qui déstabilisent. J'adore ! En plus, l'illustrateur explique sa démarche et les raisons de ce côté très "américain d'autrefois" face au "bourge à la Gatsby" qu'on peut retrouver par moment. C'est court mais passionnant !
La plume de Sébastien Perez m'a donc permis d'avoir un beau condensé de l'oeuvre avec de l'aventure et de l'émotion. Les dessins de Benjamin Lacombe m'a offert les sentiments et le dépaysement que j'attendais. Et grâce à l'appareil critique final, j'ai découvert une double lecture de l'oeuvre autour de la question de la dévaluation de la monnaie aux États-Unis à la fin du XIXe qui apporte un tout autre éclairage sur le conte lu, qui est plus que celui de la rencontre d'une petite fille avec des êtres différents à qui elle offre une place en leur redonnant confiance. C'était très finement vu.
Je confirme donc tout le bien que je pense de cette collection, qui en plus d'être de très beaux objets, mettent à porter des lecteurs jeunes et plus vieux, des oeuvres importantes de notre cultures mondiales, les dépoussiérant et leur offrant un appareil critique, bref, mais bien pensé, pour leur redonner leurs lettres de noblesse. J'avais aimé les adaptations du Magicien d'Oz, l'oeuvre originale était un peu trop ardue pour moi, surtout en vo., j'ai beaucoup aimé l'accessibilité et le voyage offert par cette version. Merci à notre duo de choc !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Avec un texte original du à L.F. Baum en 1900, Sébastien Perez s'est fait fort de dépoussiérer tout ça et d'offrir une aventure qui tient cette fois en une centaine de pages dans une langue actuelle et avec un angle de vue accrocheur : raconter cette histoire que l'on connaît tous désormais depuis le point de vue de l'Épouvantail, peut-être le personnage le plus emblématique de l'histoire. Pari réussi à pour moi !
J'ai eu envie de découvrir ce classique, mais j'avoue que n'ayant que deux version en anglais chez moi, après avoir lu péniblement quelques pages, j'ai bien vite lâché l'affaire. C'était vraiment très poussiéreux comme langue. Mais ici, en abrégeant et allant à l'essentiel, l'auteur a su lui redonner vie.
Pour qui connaît l'histoire, notamment grâce à ses nombreuses adaptations : ciné, télé, albums, romans... on retrouve les épisodes clés de celle-ci : la rencontre de Dorothy avec ses différents compagnons, la traversée du fleuve, le champ des coquelicots, la rencontre avec Oz, l'affrontement avec la Sorcière de l'Ouest, la découverte de la supercherie, la rencontre avec la dernière sorcière et le retour à la maison. Tout y est ! L'aventure est donc au rendez-vous, tout comme la dimension humaine de l'oeuvre.
J'ai beaucoup aimé le rôle des illustrations de Benjamin Lacombe sur ce dernier point. En effet, elles donnent vraiment vie aux personnages, leur rendant leur côté américains poussiéreux qui détonnent dans le beau monde d'Oz. C'est splendide ! le dessinateur n'a pas été avare en plus. Doubles pages couleurs, portraits et dessins rendant hommage aux gravures d'époque mais avec une tonalité très moderne porté par ce vert métallisé, sont au rendez-vous. Il s'adonne à la fois à des illustrations couleurs rappelant celles des contes traditionnels pour eux et y adjoint des gravures en noir, blanc, vert métal très actuels qui déstabilisent. J'adore ! En plus, l'illustrateur explique sa démarche et les raisons de ce côté très "américain d'autrefois" face au "bourge à la Gatsby" qu'on peut retrouver par moment. C'est court mais passionnant !
La plume de Sébastien Perez m'a donc permis d'avoir un beau condensé de l'oeuvre avec de l'aventure et de l'émotion. Les dessins de Benjamin Lacombe m'a offert les sentiments et le dépaysement que j'attendais. Et grâce à l'appareil critique final, j'ai découvert une double lecture de l'oeuvre autour de la question de la dévaluation de la monnaie aux États-Unis à la fin du XIXe qui apporte un tout autre éclairage sur le conte lu, qui est plus que celui de la rencontre d'une petite fille avec des êtres différents à qui elle offre une place en leur redonnant confiance. C'était très finement vu.
Je confirme donc tout le bien que je pense de cette collection, qui en plus d'être de très beaux objets, mettent à porter des lecteurs jeunes et plus vieux, des oeuvres importantes de notre cultures mondiales, les dépoussiérant et leur offrant un appareil critique, bref, mais bien pensé, pour leur redonner leurs lettres de noblesse. J'avais aimé les adaptations du Magicien d'Oz, l'oeuvre originale était un peu trop ardue pour moi, surtout en vo., j'ai beaucoup aimé l'accessibilité et le voyage offert par cette version. Merci à notre duo de choc !
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Je ne connaissais pas du tout cette histoire, mais cette lecture a été une très belle découverte qui m'a donné envie de m'intéresser à l'oeuvre de Lyman Frank Baum (1856 - 1919). The Wonderful Wizard of Oz a été publié en 1900, et en France en 1931.
Une ambiance atypique et entraînante, une belle plume sans trop de lourdeurs signée Sébastien Pérez, des personnages originaux, décalés, uniques et attachants, voici ce qui vous attend avec ce beau livre aux tons verts métallisés. le travail éditorial et la mise en page sont incroyables, même si j'ai relevé une incohérence sur la fin. Fin par ailleurs un peu abrupte. J'aurais aimé plus et suis restée sur ma faim. Mais peut-être tout cela est-il dû au remaniement du texte original ? À moins que ce soit identique dans la version de base.
Quoiqu'il en soit, cette édition est un réel plaisir pour les yeux et se lit toute seule. J'ai passé un très bon moment, plongeant dans cet imaginaire fou qui nous mène à cette morale : nous cherchons ailleurs ce que nous avons déjà en nous.
Les pages de fin sur la collection, les artistes et l'oeuvre, sont très intéressantes. On y apprend notamment que les personnages sont des métaphores liées à la société américaine des années 1900 et au capitalisme. À noter que le vert omniprésent n'a pas été choisi au hasard ; il représente l'obsession de cette société capitaliste pour le dollar, billet vert. Énième référence : les ornements, mélange d'Art nouveau et d'Art déco, courants artistiques devenus symboles de luxe pour les puissants, alors qu'initialement pensés pour améliorer le quotidien du peuple en leur offrant du beau.
Cet ouvrage est une nouvelle façon de découvrir ce grand classique de la littérature américaine, éloge de la différence et de l'audace.
Je ne peux que vous inviter à tenter l'aventure, ne serait-ce que pour les doubles pages à couper le souffle signées Benjamin Lacombe.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Une ambiance atypique et entraînante, une belle plume sans trop de lourdeurs signée Sébastien Pérez, des personnages originaux, décalés, uniques et attachants, voici ce qui vous attend avec ce beau livre aux tons verts métallisés. le travail éditorial et la mise en page sont incroyables, même si j'ai relevé une incohérence sur la fin. Fin par ailleurs un peu abrupte. J'aurais aimé plus et suis restée sur ma faim. Mais peut-être tout cela est-il dû au remaniement du texte original ? À moins que ce soit identique dans la version de base.
Quoiqu'il en soit, cette édition est un réel plaisir pour les yeux et se lit toute seule. J'ai passé un très bon moment, plongeant dans cet imaginaire fou qui nous mène à cette morale : nous cherchons ailleurs ce que nous avons déjà en nous.
Les pages de fin sur la collection, les artistes et l'oeuvre, sont très intéressantes. On y apprend notamment que les personnages sont des métaphores liées à la société américaine des années 1900 et au capitalisme. À noter que le vert omniprésent n'a pas été choisi au hasard ; il représente l'obsession de cette société capitaliste pour le dollar, billet vert. Énième référence : les ornements, mélange d'Art nouveau et d'Art déco, courants artistiques devenus symboles de luxe pour les puissants, alors qu'initialement pensés pour améliorer le quotidien du peuple en leur offrant du beau.
Cet ouvrage est une nouvelle façon de découvrir ce grand classique de la littérature américaine, éloge de la différence et de l'audace.
Je ne peux que vous inviter à tenter l'aventure, ne serait-ce que pour les doubles pages à couper le souffle signées Benjamin Lacombe.
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Tout le monde connaît l'histoire de l'épouvantail sans cervelle, de l'homme de fer qui n'a pas de coeur et du lion sans courage. Ce conte initiatique est une fresque qui prône que ce que l'on cherche se trouve bien souvent enfoui au plus profond de nous même et que pour débusquer ces trésors il faut apprendre à se connaître !!
La réécriture de l'oeuvre Lyman Frank Baum par Sebastien Perez est efficace mais c'est surtout les illustrations à la fois modernes et poétiques m'ont subjuguées !
La réécriture de l'oeuvre Lyman Frank Baum par Sebastien Perez est efficace mais c'est surtout les illustrations à la fois modernes et poétiques m'ont subjuguées !
Un classique de la littérature jeunesse remit au goût du jour par la plume de Sébastien Perez et le coup de crayon de Benjamin Lacombe. Un véritable plaisir des yeux qui permet de redécouvrir un texte qui est devenu un peu abscon après deux siècles. Moins moralisateur et religieux, le texte porte toujours des valeurs humaines importante à transmettre. le roman se termine par une mise en contexte très intéressante à lire avant le récit à mon avis.
Alors que je passais dans les stands au salon du livre de Montreuil je suis tombée sur cet album et j'ai tout de suite pensé à cette fin d'après midi où ma soeur jumelle a vu le film avec Judy Garland alors qu'elle avait 40 de fièvre 🤒
Et je me suis dis : il lui faut absolument parce qu'elle m'avait dit que soit elle était complètement droguée soit le film était complètement dingo et au moins avec cet album on sera deux à découvrir cette histoire loufoque 🤪
Ici, Sébastien Perez retranscrit le conte du point de vue de l'épouvantail ce qui est vachement intéressant, clairement mon personnage préféré après Toto 🥰
Après que notre chère Dorothy tombe dans ce nouveau monde, elle sera embarquée dans une grande aventure pour trouver le magicien d'oz doté d'incroyable pouvoirs et capable de la faire retourner chez elle 🧐
Il y aura la fameuse traversée du fleuve, le champ de coquelicots merveilleusement illustré par Benjamin Lacombe, le palais d'Emeraude, la rencontre avec le magicien et l'affrontement avec la sorcière de l'Ouest 🤩
C'est un récit porté sur l'humanité, l'acceptation des différences, l'amitié, pleins de valeurs si belles qui font de ce conte un conte unique en son genre qui est plus profond que certains contes classiques ✨
Nous avons été si impressionnées par les illustrations super belles, Benjamin Lacombe nous propose deux styles différents avec des gravures en noir, blanc et vert et ces superbes illustrations sur deux pages qui font plaisir aux yeux 😻
Conclusion je recommande vivement surtout que cette histoire n'est pas suffisamment connue en France alors qu'elle donne tant confiance en nous !
Et je me suis dis : il lui faut absolument parce qu'elle m'avait dit que soit elle était complètement droguée soit le film était complètement dingo et au moins avec cet album on sera deux à découvrir cette histoire loufoque 🤪
Ici, Sébastien Perez retranscrit le conte du point de vue de l'épouvantail ce qui est vachement intéressant, clairement mon personnage préféré après Toto 🥰
Après que notre chère Dorothy tombe dans ce nouveau monde, elle sera embarquée dans une grande aventure pour trouver le magicien d'oz doté d'incroyable pouvoirs et capable de la faire retourner chez elle 🧐
Il y aura la fameuse traversée du fleuve, le champ de coquelicots merveilleusement illustré par Benjamin Lacombe, le palais d'Emeraude, la rencontre avec le magicien et l'affrontement avec la sorcière de l'Ouest 🤩
C'est un récit porté sur l'humanité, l'acceptation des différences, l'amitié, pleins de valeurs si belles qui font de ce conte un conte unique en son genre qui est plus profond que certains contes classiques ✨
Nous avons été si impressionnées par les illustrations super belles, Benjamin Lacombe nous propose deux styles différents avec des gravures en noir, blanc et vert et ces superbes illustrations sur deux pages qui font plaisir aux yeux 😻
Conclusion je recommande vivement surtout que cette histoire n'est pas suffisamment connue en France alors qu'elle donne tant confiance en nous !
J'ai adoré ce livre notamment par la beauté des illustrations ! Benjamin Lacombe a un talent incroyable et j'ai adoré faire la découverte de cet illustrateur à travers cette oeuvre !
L'histoire est aussi très belle, pleine de douceur et enfantine, j'ai beaucoup aimé le personnage de Dorothy et le robot Bradley qui sont pleins d'empathie et très humains.
L'histoire est aussi très belle, pleine de douceur et enfantine, j'ai beaucoup aimé le personnage de Dorothy et le robot Bradley qui sont pleins d'empathie et très humains.
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