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EAN : 9782385610005
184 pages
Oxymore Edition (30/08/2023)
4.23/5   33 notes
Résumé :
Après Histoires de fantômes du Japon et Esprits & Créatures du Japon, Benjamin Lacombe s'associe à Sébastien Perez et mêle destins héroïques de femmes samurai et créatures fantastiques. Certains sujets hantent toute une vie, c'est le cas pour Benjamin Lacombe de ces Histoires de femmes samurai. Tomoe Gozen, la plus célèbre d'entre elles, appartient à une lignée de femmes qui se sont battues, à travers les siècles, pour l'égalité dans une société japonaise masculine ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Le livre est, comme les précédents oeuvres « japonaises » de B. Lacombe, de fort belle facture : belle reliure, signet, couverture rigide épaisse et solide avec une partie en relief argentée, deux quadriptyques dépliables, un beau papier bien lisse : les éditions Oxymore et l'imprimeur TG Soler, à Barcelone, ont fait de la belle ouvrage tout le long des 185 pages que compte le livre.
À travers l'histoire du Japon, c'est l'histoire et la légende de sept femmes combattantes qui nous est ici contée.
Les illustrations de B. Lacombe sont superbes, parfois accompagnées de leurs croquis préparatoires que l'on retrouve dans le reste du livre. On y retrouve beaucoup de tons bleutés, chers aux maitres de l'estampe, et il est amusant d'identifier les oeuvres célèbres qui, comme dans ses précédents livres, ont inspiré l'artiste : ainsi, la bataille aquatique des p. 34 et 35 rappelle « la princesse Tamatori au palais du dragon », de Utagawa Kuniyoshi, alors que la fresque épique des p. 70 et 71 intègre, dans sa partie droite, un amusant rappel de la « Bataille des grenouilles » de Kawanabe Kyosaï.
L'ouvrage s'ouvre et se termine (en quatrième de couverture) sur une fameuse citation de Simone de Beauvoir sur la fragilité des droits des femmes. Outre que cette autrice n'a que de lointains rapports avec le Japon, elle donne le ton à un ouvrage qui se veut, à mon sens, dans sa préface et hélas dans certains textes, un peu trop militant. Après avoir loué les illustrations, parlons des textes.
Si la préface de l'historien Matthias Hayek sur les femmes samouraï est irréprochable et utile, celle de B. Lacombe, consacrée aux raisons pour lesquelles ces dernières ne sont que peu célébrées dans l'histoire du Japon, présente une inexactitude, lorsqu'il affirme « le roman et les nouvelles ne sont pas très en vogue dans la littérature japonaise, qui préfère la poésie ou le théâtre ». La littérature Japonaise, bien au contraire, donne une très grande place aux nouvelles, genre par lequel ont débuté presque tous les écrivains japonais de notre siècle et du précédent. Dans l'histoire, les grands romans, les « dits » ont accédé à la postérité, alors que les transcriptions des pièces de théâtre No restent bien plus confidentielles…
Les précédents ouvrages japonais de B. Lacombe (à l'exception de Mme Butterfly) reprenaient les textes de Lafcadio Hearn. Ce dernier a bien écrit sur les femmes japonaises (Femmes du Japon – Puissance et secrets), mais pas sur les guerrières de son histoire, et avec la vision d'un homme du XIXe siècle…). Ici, c'est Sébastien Perez qui, à partir de rares textes fragmentaires, a reconstitué leur histoire. C'est là un travail difficile (je suis bien placé pour le savoir, ayant dû faire de même pour mon livre sur les histoires et légendes de chats au Japon). C'est du moins ce qui est dit dans la préface. Pourtant, les ouvrages consacrés à l'histoire des femmes amourai ne sont pas si rares, même en dehors du Japon, comme par exemple Femmes et samouraï, de Hidéko Fukumoto et Catherine Pigeaire, paru en 1986 aux éditions des femmes ; ou bien plus récemment Samurai Women 1184-1877, de Stephen Turnbull ; ainsi que Koume's World : The Life and Work of a Samurai Woman Before and After the Meiji Restoration, de Simon Partner, chez Columbia University Press.
Si le travail de S. Perez est pour l'essentiel d'une grande qualité, il pêche parfois par quelques maladresses que même les savantes relectures d'un historien comme M. Hayek n'ont pas pu débusquer, l'historien n'étant pas un écrivain. Passe encore que l'on abuse des phrases (très) courtes, c'est à la mode, ou qu'il subsiste un point oublié entre deux phrases, mais il y a quelques incohérences plus fâcheuses. Ainsi :
- p. 68, « je ne manquais jamais ma cible, qu'elle soit immobile ou volubile ». Une cible volubile doit elle être habitée d'un yokaï bavard, ou bien, comme en botanique, faut-il comprendre qu'elle est grimpante ? Il y a là un contresens manifeste sur ce mot…
p. 125 et 126, il y a confusion, dans le récit du combat contre le samouraï, de l'identité des deux soeurs. Alors que c'est la cadette Shinobu qui se fait projeter en avant par le guerrier, c'est sa soeur Miyagino qui, ensuite, se retrouve à sa place…
p.146, commencer l'histoire par un « bang! » est quelque peu enfantin. L'histoire aurait pu commencer directement par la seconde phrase.
p. 148, une incohérence : comment Yamamoto Yaeko peut-elle avoir « les yeux rivés sur chacun des visages » des cadavres qu'elle enjambe alors même « qu'un épais brouillard entourait les cadavres » ?
de plus, bien qu'il y soit fait abondamment référence dans les textes, l'arme la plus utilisée par les samouraï masculins n'était pas le célébrissime katana, mais l'arc (yumi) ou la lance (yari), dès le XVe siècle. C'est d'autant plus surprenant que les illustrations de B. Lacombe montrent parfaitement l'importance primordiale des flèches et des lances, comme la sublime composition des p. 46-47, où cette fresque de combat (p.70-71) où nombre de guerriers, percés de nombreuses flèches, sont autant de références à une esthétique de la souffrance qui n'aurait pas déplue à Mishima Yukio !
Sur les 185 pages au format A4, les sept histoires proprement dites en représente 134, soit 72 %. Elles sont suivies de sept pages de notes utiles donnant la définition de termes japonais, et de deux pages de « jeux » qui sont surtout l'occasion pour B. Lacombe d'exercer son art en reproduisant des jeux de l'époque Edo.
Un bel objet où il faut voir les textes comme un accompagnement des illustrations plutôt que l'inverse, et qui donne l'occasion de rendre justice à des héroïnes qui n'avaient jusqu'ici laissé que peu de traces dans l'histoire du Japon.
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Si vous êtes ici, c'est que vous connaissez mon amour pour le Japon et les beaux livres. Avec ce nouvel opus de la collection Métamorphose, Sébastien Perez et Benjamin Lacombe répondent à deux de mes amours, y ajoutant en plus une dimension poétique et féministe poignante.

J'attends régulièrement les nouvelles parutions de ces deux auteurs et artistes de talent, notamment dans cette collection car je sais combien celle-ci est belle et qualitative. L'un ou l'autre ou les deux ont déjà commis dans celle-ci l'adaptation illustrée des Contes Macabres de Poe, d'Alice au pays des merveilles et sa suite de Lewis Carroll, de Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, de Carmen de Rossini ou encore des Histoires de fantômes japonais. C'est dire ! Ce sont tous de très beaux objets à dos toilé, pages sur papier glacé, grandes marges, signet et superbes illustrations bien sûr. Impossible pour l'amoureuse de beaux livres que je suis d'y résister.

En plus, dans celui-ci, les auteurs se targuent de nous présenter, comme c'est désormais courant, des figures de l'Histoire oubliées, des femmes qui auraient aimé pouvoir être elles aussi des samouraï comme leurs pères, frères, compagnons. C'est un argument qui me touche forcément, d'autant plus quand le talent et la plume des deux auteurs se mélangent et s'associent ici. Les dessins de Benjamin Lacombe s'allient à merveille au drame des histoires contées par Sébastien Perez, pour offrir un superbe objet où le métal des lames vient se mélangent à celui des larmes et du sang versé. Ainsi les dessins de Benjamin Lacombe se dotent-ils littéralement de cet aspect métallisé grâce à l'encre et aux effets employés par l'auteur, ce qui est superbe !

Ces histoires, souvent dramatiques, sont ainsi accompagnées d'une magnifique mise en page, qui va des premières pages métallisées, aux pages de garde de chaque histoire remplies de petits détails signifiants et japonisant, en passant par l'encre choisie par le texte ou les pleines pages et doubles pages d'illustration venant valoriser et mettre celles-ci en relief, sans parler de celles qui truffent le texte juste en couleurs métallisées, souvent le rouge, le noir et l'argent, pour mieux souligner ce que cela raconte. L'expérience est puissante.

Après un avant-propos introductif, présentant les intentions, la démarche des auteurs est cependant un peu moins claire. Ils mélangent sans qu'on sache réellement ce qui est véridique ou fictif les histoires de huit femmes combattantes et non samouraï comme c'est un peu mentionné de manière racoleuse en couverture. Les récits sont beaux car âpres et douloureux souvent, se déroulant dans des périodes et moments agités, avec des femmes de caractère qui ne se laissent pas faire au sein de cette société patriarcale très restrictive. On apprécie de les voir se lever, prendre les armes, lutter contre les diktats masculin, tracer leur chemin ou simplement prendre leur revanche. Mais il y a aussi une pointe de déception pour ma part car il n'y a aucune bibliographie historique pour étayer leurs propos. Il y a aussi un amalgame entre femme qui combat et figure du samouraï. Il y a aussi, je pense, la projection de leur vision à eux, hommes européens du XXIe siècle, sur ce qu'aurait ambitionné ces femmes et je ne suis pas sûre que cela aurait été le cas, du moins sous les termes qu'on leur prête ici. Oui, des figures de femmes voulant combattre l'ordre établi, participer aux chamboulements historiques, voulant se venger ou se défendre, clairement ça existe, mais voulant pour autant être des samouraï, ça reste grandement à nuancer, je crois.

Les histoires restent belles et poignantes à lire grâce à de beaux portraits de femmes richement illustrés et portés par des ambiances sombres et dramatiques, dignes des contes d'autrefois qu'on nous raconterait. Les histoires évoquent plusieurs époques différentes à travers l'Histoire japonaise et font écho à certaines grandes batailles. Ce sont des femmes de lieux et origines différentes, avec des histoires différentes, de la femme de seigneurs, en passant par la prêtresse, la geisha ou le fantôme. Les longueurs aussi sont différentes et les intentions qu'on leur prête. Ça reste donc une bien jolie lecture fantastique.

Ainsi si le lecteur souhaite lire de belles histoires de femmes ayant envie de prendre les armes dans un décor japonais fantasmé, enjolivé par une belle ambiance dramatiques et des dessins à l'aune de cela, dont la métallité vient refléter la dureté de leur conviction, il sera comblé ici. Si le lecteur cherche une lecture un peu plus historique et sourcée sur un phénomène qu'il a cru acté et présenté ici, il sera peut-être déçu car on est clairement sur de l'histoire fiction et fantasme. Alors oui, c'est beau, oui c'est dramatique, oui ça serre le coeur, mais c'est très incomplet et survolé également…
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Une lecture parfaite pour tous les fans de la culture japonaise et de l'art de Benjamin Lacombe.

Nous suivons, dans ce magnifique ouvrage, 7 histoires toutes différentes et originales. Elles abordent le récit de femmes fortes et courageuse, qui font face aux interdictions de leur époque et à la violence. Certaines sont tragique, d'autres mélancolique ou encore spectaculaire. La mort est omniprésente, ainsi que la violence et les combats qui peuvent être très sanglant.

Une histoire en particulier m'a touchée, celle de Tomoe Gozen qui perd son bien-aimé sur le champ de bataille. Nous parcourons l'histoire qui se cache derrière Tomoe, son parcours et sa détermination, sur fond de tragédie et d'éclabousure de sang.

J'ai passé un super moment avec cette lecture, qui met en avant des légendes et des femmes qui osent se battre, que ce soit pour leur pays, par amour ou pour vengeance. C'est touchant et l'écriture est poétique.

Je suis une grande fan du travail de Benjamin Lacombe, et je suis toujours émerveillé par ses dessins. C'est toujours avec plaisir que je me plonge dans ses nouveaux ouvrages !

Une lecture que je recommande pour les amoureux du Japon, et pour tous les curieux !

Athénaïs
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Je suis littéralement tombé sous le charme de cet ouvrage. Ces histoires de femmes samouraï sont d'une justesse et d'une poésie envoutante. Et bien que je ne sois pas trop sensible au style de dessin utilisé par les auteurs, il n'en reste pas moins qu'elles illustrent parfaitement ces récits à la fois guerriers et amoureux. Moi qui suis fasciné par le Japon depuis toujours, j'y retrouve là tout ce qui fait sa magie, son mystère et sa légende. Un mélange de traditions et de modernisme (correspondant aux époques).
de belles histoires sur papier glacé rassemblées dans un ouvrage beau et délicat.
Bonne lecture.
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Au tout départ, je suis tombée amoureuse des illustrations. J'aime beaucoup les graphismes de cet ouvrage très mystiques, envoutants, qui mettent en valeur l'histoire de ses femmes samuraïs.

Je ne m'attendais pas à un recueil de contes quand je l'ai acheté, et c'était un entre deux romans très bien accueilli. En plus d'être une magnifique pièce de collection de livre, on en apprend sur la culture japonaise. Sept histoires où l'ont découvre des femmes fortes, des guerrières qui font face aux interdictions à leurs époques. Des destins tragiques, récits de guerre, de bataille, un côté paranormal et fantastique...

J'étais immergée dans chaque récit. Cette poésie de guerre très bien maitrisée et appréciable transporte malgré la violence de certains textes. Mais tout cela est sublimé par le désign et la qualité de la plume.
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critiques presse (1)
CNLJ
08 mars 2024
Ce beau livre nous offre sept histoires passionnantes où l'on découvre sept de ces femmes hors du commun. Récits émouvants, romantiques car l'amour y est présent, souvent tragiques, histoires violentes car ce sont toujours des récits de batailles sanglantes et sans merci.
Lire la critique sur le site : CNLJ
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
"Une femme! N'avais-je été que cela?" J'étais prête à me battre jusqu'à la mort. Pour toi. Dignement. Mais je savais aussi que rien ne pourrait nous conduire à une victoire. Ta fin était imminente et je comprenais ta demande, même si elle me comprimait le cœur.
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Elle avait sacrifié sa vie pour sa nation, elle avait été la plus valeureuse combattante et participé à la grande histoire de son pays, mais cette histoire avait été écrite par des hommes, et les femmes n’en feraient pas partie.
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Redonner vie, un corps, une âme et une voix à ces femmes, c'était tout l'enjeu de ce livre : mais n'est-ce pas, d'une certaine manière, l'enjeu même de la littérature que d'aider à voir le monde sous toutes ces facettes ?
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La guerrière se battant comme un démon amorçait sa légende.
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Vidéo de Sébastien Perez
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