Suivant la géosphère, puis la biosphère, la noosphère englobe les communications humaines. Cette sphère est d’autant plus concrète aujourd’hui que les satellites naviguent autour de notre planète et que les ondes portent nos messages de cette nouvelle sphère. Le cloud offre un lieu de partage et de fusion des idées et des actes à la fois à nos hommes et à nos machines. La réflexion proposée est particulièrement adaptée à une lecture de nos technologies actuelles de communication cerveau à cerveau.
Une vision qui a une dimension incontestablement prophétique, non seulement de la mondialisation, mais aussi de l’internet et des avancées en intelligence artificielle.
L’homme peut tantôt paraitre infiniment grand ou infiniment petit. Il observe comme un infime grain de poussière la dimension de l’univers et du cosmos. Il découvre avec un œil de géant le monde nanoscopique. Dans les deux cas, il est au milieu d’échelles qui dépassent sa mesure. Pourtant, grâce à la science, ces échelles sont observables. L’homme peut donc tenter de les comprendre et même parfois de les modifier et de s’en inspirer pour construire son futur. Regarder le géant, le ciel permet d’observer le passé, regarder le petit, le quantum offrirait peut-être un regard sur l’avenir.