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4,4

sur 15567 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Au vu des nombreuses critiques positives, je me suis lancée dans ce roman, non sans appréhension. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas l'habitude de lire ce genre littéraire, plus habituée à la science-fiction, au fantastique et au policier. de plus, le thème de la mort, de l'absence de l'être aimé est un sujet sensible, intime et délicat à traiter.
La lecture est pour moi un moment de zénitude et de relaxation. Les sujets abordés dans ce roman, le deuil, la perte, l'adultère, ne m'ont pas permis de me détendre. Beaucoup de tristesse et de pensées négatives.
Je n'ai pas non plus accroché spécialement avec les personnages.
Peut-être n'était-ce tout simplement pas le bon moment pour lire et apprécier cette histoire ?
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Peut-être que j'attendais trop de ce livre qui concentre de nombreuses critiques élogieuses et qui a reçu le prix des lecteurs du livre de poche dans la catégorie littérature.

Certes, Valérie Perrin sait raconter les histoires mais il y a quand même beaucoup de points qui m'ont empêché de rentrer pleinement dans ce roman.

Déjà la longueur, non pas que je n'aime pas les romans trop long mais là il y avait vraiment 200 à 300 pages de trop par rapport au contenu. C'est donc très lent et très descriptif. On voit arriver les retournements de situation d'assez loin et ces longueurs m'ont clairement empêché de ressentir bon nombre des émotions que l'auteur essaye de transmettre au lecteur. Tout semble noyé dans la masse.

L'écriture est très légère, même plutôt trop simple. L'avantage étant que cela se lit facilement même si le temps paraît bien long de par la longueur du roman. L'inconvénient, c'est que le cumul avec la longueur m'a donné le sentiment d'un roman plutôt creux où l'auteur a voulu trop en faire.

Ça a l'air paradoxal, mais c'est vraiment le sentiment que cette lecture me laisse, si je devais résumé je dirai trop d’enrobage inutile pour peu de contenu le tout mal servi par une écriture simpliste .

C'est dommage car au delà de ces points, on retrouve quelques personnages plutôt intéressants, quelques situations bien trouvées, de bonnes idées...

Bref, cela n'a pas fonctionné avec moi, je passe à autre chose, ce livre ne restera pas gravé dans ma mémoire.
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Long, très long, trop Long. Ce roman manque de rythme, de punch. Même si certains personnages sont attachants (Sasha, Celia... ), j'ai eu du mal à venir à bout de cette histoire où les flash backs sont utilisés de manière trop systématique. Je n'ai pas non plus adhéré à l'enquête qui est sensée être le fil conducteur du livre. Je m'attendais à une peinture impressionniste et je n'ai vu qu'une aquarelle aux couleurs fades diluées dans l'eau. Dommage.
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Je vais m'attirer les foudres de beaucoup de lecteurs ...
Voici mon avis : C'est l'histoire d'une garde barrière qui a une vie triste et monotone rythmée par la baisse et la montée de sa barrière qu'elle doit actionner manuellement à chaque passage de train. Une lueur de joie enfin avec l'arrivée de sa fille chérie. Mais voilà que le sort s'acharne un deuil tragique dont elle ne se remettra ppas et la modernité qui la prive de toute joie et de travaille. Mais elle se lie d'amitié avec le gardien du cimetière ou elle va régulièrement.. Finalement elle récupère ce job et le jardin dont elle s'occupe avec amour. Et l'amour ne frappe t il pas aussi à sa porte ?
L'histoire n'est pas mal même si finalement elle est juste triste mais les flash-back je n'ai pas du tout aimé. A chaque chapitre on se demande où on est et avec qui. J'ai préféré les derniers chapitres même si je suis restée sur ma faim avec cette fin.
Mais il en faut pour tous les goûts alors lisez et vous ferez partis certainement comme ma maman des 9 personnes sur 10 qui ont adoré ce roman.
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Au regard du nombre de critiques concernant ce livre, je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'en rappeler le résumé. Je tiens à dire à tous les lecteurs qui ont aimé ce roman, que leur avis, je le respecte, mais que moi, je me suis vraiment, mais vraiment ennuyée.
Non seulememt je n'ai pas trouvé l'intrigue très captivante, mais Valérie Perrin ne m'aura épargné ni longueurs, ni répétitions . Enfin... j'ai tenu bon. Quant à la fameuse enquête, qui elle non plus n'en finissait pas, elle m'a paru bien ennuyeuse également. Tant la manière dont elle fut menée que la ... oh combien "surprenante issue" !!!
Messieurs, ouvrez grand vos oreilles et surtout, prenez garde à vous, car nous les femmes...
Alors. Bien que n'étant pas féministe mais juste pour l'égalité des sexes, ce qui, selon moi, n'est pas du tout la même chose, il est une chose qui m'a tout de même sauté aux yeux.
Dans cet ouvrage on retrouve Violette , la Victime de la vie, la Sainte que j'aurais presqu'envie de béatifer si j'étais le pape François, et une certaine Célia qui, heureusement, "sauve un peu les meubles." Ce qui suit n'est pas triste !... Alors il y a Chantal, garce comme pas deux, et bien sûr, belle-mère haineuse, celà va de soi !... Il y a une écervelée, qui elle, plaque époux et enfant en bas âge, quelques heures et voire même quelques jours, pour s'enivrer d'alcool et d'amour avec son "fol amour". Un peu improbable quand-même, même au 21e siècle ! La raison pour laquelle cette charmante épouse et l'amoureux transi ne concrétisent pas cet amour me parait bien légère, mais bon. Il fallait bien en trouver une ! Encore une qui entre en scène ; une aristocrate si je ne me trompe. Elle aussi trompe son compagnon, vous l'aurez déjà deviné ! Qui plus est, avec un rustre qui la traite comme une moins que rien. Je cite : "Il m'a retournée. Sans me regarder. Il a baissé ma culotte, il a écarté mes cuisses. Pas de caresses. Pas de mots du tout. Il m'a baisé par derrière sans me regarder, me faisant pousser des cris de truie qu'on égorge". Mon Dieu que c'est charmant ! Alors attention à vous messieurs, si nous ne sommes pas des saintes, nous sommes des salopes . (Pardonnez-moi l'expression) ! Car il y a encore une infidèle dans l'affaire, mais passons. Ce n'était plus très surprenant, la rengaine quoi...
Voilà un livre qui se veut plein de bons sentiments, à telle enseigne que l'auteure fait même un clin d'oeil à la pratique de l'homosexualité. Cet homme, homosexuel, est tout à fait charmant. Délicat et d'une grande générosité de coeur, il est l'ami que nous aimerions tous avoir. le problème avec Valérie Perrin, c'est que les homosexuels ne font pas l'amour,...ils baisent. "J'avais un plan baise avec un collègue de travail". Voilà les propos qu'elle prête à cet homme que jusque là elle m'avait présenté comme étant si raffiné. Alors concernant ce sujet, il faudrait avant de l'aborder dans un roman, que l'auteure soit en accord avec eļle-même. On donne une bonne image ou une mauvaise, mais les deux en même temps, désolée mais pour moi ça ne tient pas debout.
Je dirai pour terminer que je suis plus légère de 23 euros 50, lourde de 554 pages d'ennui , mais il est une chose très certaine, c'est que Valérie Perrin ne my reprendra plus !!!!

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Presque deux mois pour venir à bout de ce roman, on peut dire qu'il m'aura donner du fil à retordre !

Le roman n'est pas "difficile à lire" comme peuvent l'être certains romans au style alambiqué. Non, le style est même plutôt simple, souvent poétique, très/trop descriptif, mais voilà, je n'y ai pas du tout adhéré et je peux dire que chacune de 560 pages m'a semblé très longue à tourner.

Pour moi, ce roman compte 200 pages de trop et ça ne me fait aucun plaisir de le dire car on sent dans presque chaque phrase tout ce que l'auteure y a mis de personnel voire d'intime. Mais le fait est que le récit souffre d'un rythme "à soubresauts", on a envie de survoler des chapitres entiers, ce que je n'ai pas fait car j'ai voulu être persévérante au regard de deux critères : premièrement ce roman ayant séduit un nombre impressionnant de lecteurs, je voulais moi aussi être séduite, et deuxièmement, l'auteure est bourguignonne et la Bourgogne est depuis quinze ans mon paradis d'adoption.

Quand j'ai commencé ma lecture, j'avais la certitude que j'allais adorer ce roman ; j'avais envie d'être emportée et comme souvent dans ces cas-là, lorsqu'on est déçu, la chute est rude. La couverture trompeuse m'avait laissé entrevoir une histoire sans prise de tête entre littérature régionale et romance... les pieds dans le tapis, ce roman est triste à mourir. Il n'y est d'ailleurs question que de mort, de deuil, de cimetière, de gardiens de cimetière, de suicidés, d'enfants abandonnés, d'enfants accidentés, d'adultes tout aussi accidentés, de trains manqués et de vies ratées. Il faut vraiment faire appel à toute sa (bonne) volonté pour s'accrocher à l'infime espoir de bonheur qui se dissimule derrière les fleurs et les tomates que cultive Violette, l'héroïne.

Personnellement, je n'ai aucun problème avec l'idée de la mort et j'aime bien les romans noirs mais celui-ci est gris et il m'a épuisée par ces narrations croisées, sa chronologie compliquée, ses protagonistes jouets de coïncidences outrées, son récit éparpillé, ses personnages secondaires stéréotypés (même si je reconnais que Valérie Perrin s'est donné beaucoup de mal pour que ses personnages principaux ne le soient pas trop). J'aurais voulu m'intéresser davantage à Violette mais son destin aux mille éclats sans éclat m'a laissée de marbre.


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Challenge MULTI-DÉFIS 2019
Challenge PAVES 2019
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Je n'ai pas su finir ce roman. Ce n'est pas l'histoire ni le style d'écriture drôle et émouvant qui m'a fait abandonner ce livre mais le fait que je trouvais que cette histoire traînait en longueur, il n'y avait pas assez de rebondissements. pour moi. Ce récit nous raconte la vie de Violette Toussait qui après être garde-barrière devient garde-cimetière. Nous voilà transporté dans la vie de Violette entre ses tombes et ses locataires, ses collègues et les visiteurs du cimetière. le récit est entrecoupé de passages relatifs à sa vie personnelle avec la rencontre de son mari, les premières années et cette question lancinante : « Pourquoi son mari s'est il volatilisé du jour au lendemain ? ». J'ai décidé de ne pas en connaitre la raison.
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Un roman riche en émotions mais qui m'a un peu essoufflée au second tiers de l'histoire. J'ai cru qu'on sombrait très profondément et qu'on ne remonterait pas de sitôt à la surface.
Certes la mort est un événement tragique qui peut survenir dans un roman mais là on frôlait encore le grand côté dramatique, la bonne mélancolie, le néant total qui me fait regarder combien il me reste de pages à lire...
Cela dit notre personnage principale, Violette n'a pas eu une très belle destinée entre garde barrière ou garde cimetière va savoir si de l'un ou de l'autre les choix nous poussent à "empêcher les gens de passer de l'autre côté ou plutôt de les aider un peu à y aller"comme le cite si bien l'auteure.
En bref, j'ai lu à un moment que l'auteure parlait de "larmoyances" je pense que c'est plutôt le titre adapté au roman car c'est le reflet global que j'en tire.
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