J'ai entendu le Professeur Perronne, presque par hasard puis je l'ai vu et entendu encore sur un site Covidinfo.net.
Je suis allée acheter son livre, et je ne suis pas mécontente de ma démarche car j'ai ainsi découvert une petite librairie sympathique dans le bourg à une dizaine de kilomètres de mon village. Bref. Mais cela me relie au Professeur Perronne.
Ce que je vois c'est un médecin, un soignant, attentif à chacun de ses patients, fier, digne, n'oubliant jamais ce serment qu'il a juré en entrant dans ce métier, cet art, car pour Perronne il est clair que la médecine est encore et toujours un art. Il est délicieux, ce professeur. Si je le rencontrais j'aurais envie de le prendre dans mes bras et de lui dire merci, merci, merci. Il n'est pas seul, heureusement.
Mais voilà, il explique comment les bras lui en sont tombés devant tant d'imbécillités, un peu comme chez
Molière, ces grands imbéciles qui croyaient tout savoir et qui à grand coup de leur certitude folle et infondée scientifiquement envoyaient à la mort des dizaines, des centaines de gens.
Et je nous ai vu tous masqués, tous muselés, tous baillonnés, moutons et j'ai lu le livre dès mon retour à la maison. J'espère que nous serons nombreux, de plus en plus nombreux, à réfléchir et à conserver notre sens critique et à le faire valoir. Merci Professeur Perronne pour votre dignité.