Le matin de Neverworld

Un livre très bien écrit , impossible à lâcher une fois commencé . Beatrice a vécu un drame et l'on en découvre plus sur la mystérieuse mort de son petit ami au fil des pages . Tous cachent un secret et certains les cachent mieux que d'autres .....

Je m'attendais à adorer cette lecture. Au final, cela reste une bonne lecture mais c'est tout. J'ai bien aimé l'idée de la boucle temporelle (sinon je n'aurais même pas commencer ce livre vous me direz 😅) mais j'ai trouvé qu'on partait un peu loin à partir de la deuxième partie. Puis j'ai trouvé que certains liens que fait l'autrice sont un peu tirés par les cheveux. Genre le lien entre la mort de Jim et la boucle temporelle... Mais bon soit. J'ai fini par apprendre à plus apprécier les personnages qui au départ sont vraiment des clichés sur pattes. Mais je ne comprends toujours pas comment ils pourraient tous être amis en fait 😂

Je ne m'attendais à rien avec ce livre dont je ne crois pas avoir lu le résumé avant ma lecture. Ma première déception a été la découverte d'une boucle temporelle, et ce n'est pas quelque chose qui me plaît particulièrement en règle générale.
S'ajoute à ça que je ne me suis pas attachée aux personnages... Je n'arrivais d'ailleurs pas à retenir "qui était qui" une grosse partie du roman et j'étais incapable de me les représenter.
Le rythme ne m'a pas plus convaincue... Il ne se passe pas grand chose, hormis que l'on se pose toujours plus de questions mais n'avons pas de réponses.
Je suis totalement passée à côté de ce livre pourtant bien noté...

Alors déjà Marisha Pessl, à la base, c'est TRÈS TRÈS bien. Et si vous n'avez lu ni « La physique des catastrophes » ni « Intérieur nuit », je vous conseille vivement de vous précipiter (les deux sont en poche, catchy et divinement écrits)

« le matin de Never World » c'est etiquetté ado, donc un Mouk moins subtil, mais là encore hautement recommandable. Cinq ados, un groupe soudé dans un pensionnat ultra-chic, qui a volé en éclat à la mort inexpliqué du 6e. Sauf que les secrets remontent immanquablement à la surface ...

Impossible d'en dire plus mais on est au carrefour entre « Inception » et « les sept morts d'Evelyn Hardcastle » (TB, voir plus haut). J'offre un verre à quiconque parvient à lâcher ce bouquin avant de l'avoir fini !

L'histoire se raconte du point de vue de Bee.
Depuis la mort de son petit ami, un an plus tôt, Bee a coupé les ponts avec sa bande d'amis.
La jeune fille viens d'un milieu modeste, tandis que ses amis sont tous des fils et filles « de riches ».
Malgré la désapprobation de ses parents, qui n'apprécient guère l'influence de ces jeunes gens sur leur fille, Bee se rend à l'anniversaire d'une des filles de la bande.
L'accueil est... étrange.
Pas franchement glacial mais pas vraiment chaleureux.
Embarquée, un peu malgré elle, à un concert, Bee regrette assez vite sa reprise de contact.
Mets sur le chemin du retour, un évènement les projette dans le neverworld. Une sorte de boucle temporelle, un entre deux. D'abord septique, les jeunes gens sont bien forcés de se rendre à l'évidence : au bout d'un certain temps de veille, ils revivent, encore et encore, la même journée.
Ils ne vont pas tarder à savoir ce que l'on attend d'eux : un choix impossible.
Alors que certains plongent dans le déni, d'autres dans la manipulation, Bee, elle, y voit l'occasion de chercher ce qui est vraiment arrivé à son petit ami.
Entre l'enquête de Bee, les différentes révélations qu'elle entraîne, et les effets sur les esprits de cette boucle temporelle, on ne sait plus à qui faire confiance.
Il est bien difficile de définir les intentions de chacun.
On perd aussi la notion du temps, je ne saurais dire combien de temps les 5 jeunes gens ont passé dans le neverworld : mois, années, décennies ? Jusqu'à très loin dans le roman, il est quasiment impossible de savoir comment les choses vont pouvoir tourner.
L'enquête sur la mort de Jim prend beaucoup d'ampleur et si je m'attendais à un suicide ou à un meurtre, je ne m'attendais pas de telles révélations.
Une fois le livre commencé, il m'a été impossible de le lâcher jusqu'à son terme.
J'ai adoré ma lecture et ses personnages, imparfaits, où chacun n'est ni méchant, ni héros, mais humain, tout simplement.

Alors déjà il faut savoir que ce livre je n'ai pas la moindre idée de d'où il vient. Je ne sais plus si je l'ai acheté, trouver où que l'on me l'a donner c'est la perte de mémoire totalement pour ce livre. Bon maintenant place à mon avis sur ce bouquin, déjà le résumé et la couverture me donnait vraiment envie de le lire et pourtant j'ai eu du mal à rentrée dans l'histoire, mais au bout de la 60e pages, j'ai commencée à le dévorer littéralement car l'histoire devenait de plus en plus intéressante. L'intrigue est tellement bien écrite et imaginée que tu as envie malgré tout de savoir la suite sans compter que l'on s'attache vite aux personnes même si certains peuvent te taper sur le système. Et la fin... Olalala, non franchement je m'y attendais vraiment pas à cette révélation tellement incroyable. Quoiqu'il en soit ce livre, je le classe dans ma liste: *Or*. Je vais désormais me plonger dans mon septième roman du mois de Novembre.

Roman dont le début déjà me déplaisait par la complexité inutile des phrases et des personnages peu attachants. Ça ne s'est pas arrangé par la suite, même si l'idée d'une boucle temporelle permettant de revivre sans cesse le même jour est toujours quelque chose qui m'intéresse et m'intrigue (j'ai beaucoup aimé les autres romans lus qui ont exploité ce thème). Par contre, je n'ai pas très bien compris l'intérêt de ce récit en répétition qui devenait redondant, très violent inutilement, et au final dénué d'intérêt, car les personnages me laissaient assez de glace pour que je ne désire en sauver aucun. En plus, on devine la fin assez rapidement.

Entre Thriller et fantastique, ce roman est extrêmement bien écrit par la grande Marisha Pessl!
C'est l'histoire de Béatrice qui se remet difficilement de la mort tragique de son premier amour.
Elle décide de retrouver sa bande d'amis, un an plus tard pour essayer de comprendre; Malheureusement,
tout ne va pas se passer comme elle l'avait imaginé. On bascule très rapidement dans un roman à la Stephen King, dans le sens ou l'on part d'une réalité très quotidienne et l'on bascule vite dans un cauchemar. on est complètement pris par le récit et on veut absolument savoir comment tout ça va finir! Intense! A partir de 14 ans et +

Un roman à la construction artificiellement complexe : les voyages spatio-temporels, la pseudo théorie rattachée à un livre mythique, des personnages peu crédibles et manichéens pour arriver à une révélation finale, après une révélation finale qui fait suite à une révélation finale. le style est pauvre et répétitif et les personnages plutôt caricaturaux avec, ado oblige, de l'introspection à n'en plus pouvoir. Très décevant !

Ça faisait un bon moment que ce livre était dans ma PAL et entre deux sagas je me suis dis que j'allais l'en sortir ! Je me suis donc retrouvé embarqué dans le Neverworld avec notre groupe de personnages. le Neverworld c'est le monde dans lequel vous vous retrouvez enfermé avant que la mort ne vous frappe. La seule règle ? Voter à l'unanimité lequel d'entre vous va survivre, sinon la journée se répète encore et encore. C'est la situation que va vivre Bee, adolescente qui avait rejoint ses amis dans un seul but : découvrir ce qui s'est réellement passé la nuit où Jim, son petit ami, est décédé.
Le panel de personnage est certes plein de clichés : la fille populaire, riche, explosive, le geek toujours au service de tout le monde, le gay plein d'humour, la need fourrée dans ses livres et Bee, considérée comme une sainte. Pourtant, au fil du récit les masques tombent. On découvre leurs travers et leurs vices au fur et à mesure de ce voyage vers la vérité qui semble durer des années pour eux. J'ai eu un peu de mal à m'attacher à Bee que je trouve très plate, elle dit jamais rien et a l'air de tout subir, et étant donné qu'elle est persuadée que ses amis ont à voir avec la mort de Jim, j'ai eu du mal avec eux aussi puisque j'étais très méfiante. Ceci dit ça n'a pas dérangé ma lecture (le livre est relativement court).
Le rythme est assez particulier parce qu'on ne suit pas forcément l'histoire jour après jour. Des fois Bee nous raconte en un paragraphe ce qu'il se passe sur plusieurs jours, puis revient sur un souvenir et trouve encore un moyen de s'arrêter en chemin. Ceci dit la lecture est super fluide et j'ai beaucoup aimé l'écriture de Marisha Pessl.
Bref, ça reste un chouette huis clos dans le Neverworld, une quête de vérité et au final, je n'avais pas vu venir la fin, que ce soit en ce qui concerne l'implication des personnages dans la mort de Jim, ou à propos de Jim lui même qu'on ne voit qu'à travers les souvenirs de Bee et qui se révèle être un personnage assez intéressant.