J'espère que ma critique sera moins laborieuse que ma lecture...
La Maison dans laquelle m'intriguait depuis quelques temps quand je me suis décidée à me lancer dans sa lecture. J'avais vu des critiques élogieuses et cru comprendre qu'il s'agissait d'une expérience de lecture à ne pas louper.
J'ai apprécié les 200 premières pages. Après celles-ci, je me suis dit que je ne lâcherai pas le livre, emballée comme j'étais par l'histoire de ces gosses hors normes à la vie peu facile. J'ai aimé leurs histoires, leurs caractères, leurs guerres mais arrivée à la pages 600, je commençais à trouver le temps un peu long et difficile. À 100 pages de la fin, je n'en pouvais plus et me disais qu'il était grand temps que cette histoire prenne fin.
Alors que j'avais apprécié, au premier abord, les sauts dans le temps entre passé et présent et la recherche de quel surnom avait laissé place à un autre, j'ai fini par me lasser et me perdre dans trop de surnoms, de caractéristiques et d'anecdotes ne sachant plus qui avait fait quoi avec ou contre qui.
À de nombreux moments, je n'ai pas compris ce qu'il s'y passait et où étaient les personnages. Je n'ai eu qu'un semblant de réponse aux dernières pages du roman, beaucoup trop tard pour que j'en apprécie le sens. Je regrette cette longue attente qui, au final, dessert le roman selon moi car, non je ne relirai pas 1000 pages pour comprendre ce que je n'avais pas compris !
Une lecture qui me donnait envie avant de la débuter mais qui a fini par devenir un supplice... J'ai mis plus d'un mois pour en venir à bout. Ce roman était trop long malgré des personnages intrigants et attachants pour certains.
J'ai tout de même apprécié les dernières pages !