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Citations sur Les prisonniers de Cabrera (23)

L’histoire, est une chose singulière. Il suffit d’un coup de vent pour faire tourner ses pages. Celui-ci est une tornade. Un jour nous avons la République, un autre l’Empire, puis la royauté et de nouveau l’Empire, en attendant, qui sait ? que revienne la République. J’en suis étourdi.
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L’histoire, est une chose singulière. Il suffit d’un coup de vent pour faire tourner ses pages. Celui-ci est une tornade. Un jour nous avons la République, un autre l’Empire, puis la royauté et de nouveau l’Empire, en attendant, qui sait ? que revienne la République. J’en suis étourdi.
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J’aurais accepté de souffrir de la faim et de la soif pour avoir la certitude que ma femme et notre petit Eugène étaient en bonne santé et exempts d’ennuis.
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Quand un oiseau en cage voit sa mangeoire vide et la porte ouverte, peut-on lui reprocher de s’enfuir ?
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Bénis soient les Indiens d’Amérique, qui nous ont inventé ce dictame : le tabac !
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Tous ces noms semblent butiner comme un essaim de guêpes sur un cadavre desséché.
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Une île peut être un paradis pour de nouveaux Robinsons, mais les hommes peuvent aussi en faire une géhenne…
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Le mot « capitulation » nous donnait des frissons, alors que « suspension d’armes » offrait l’espoir d’une reprise des combats, la prise de Baylen nous ouvrant les portes de l’Andalousie.
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Nos officiers et nos hommes auraient volontiers prolongé leur séjour dans cette Capoue où ils trouvaient tout et à satiété : la nourriture, le vin et les femmes. Le moindre troupier avait l’impression de vivre comme un nabab
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Cordoue, antique capitale des Omeyyades, avait été, l’an 1236, l’objet d’un événement identique, lorsque le roi de Castille, Ferdinand III, avait passé la population au fil de l’épée et emporté tous ses trésors.L’histoire se répète inlassablement…
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