Femmes qui courent avec les loups

Dans un monde sans âme, il faut aller vite toujours plus vite à la recherche de ce filament qui va brûler dès maintenant et pour l’éternité. Or, le miracle que nous recherchons prend du temps du temps pour le trouver du temps pour lui donner la vie.

La quête contemporaine d’une machine animée d’un mouvement perpétuel rivalise avec la quête d’une machine à aimer perpétuel. Il n’est pas étonnant que les gens qui tombait, mais sois tourmenté est en pleine confusion comme dans le conte de Hans Christian Andersen, les souliers rouges, il se livre à une danse est perdu un capable de mettre un terme à leur frénésie, passant en tourbillonnant à côté de ce qu’au fond de leur cœur ils chérissent le plus.

Il y a pourtant une autre manière plus rapide, de tenir compte des points faibles, des peurs et des bizarres et de la nature humaine. Et comme cela arrive souvent leur des cycles de l’individuation, la plupart d’entre nous trébuchent dessus.

(P197)

…dame la muerte que me falta…
…donne-moi la mort dont j’ai besoin….

Les poètes eux, savent que rien a de valeur sans la mort . Sans la mort point de leçon, sans la mort point D’obscurité pourrait faire briller le diamant. (P196)

Celui ou celle qui aime du fond du cœur facilement, et pour longtemps qui pardonne sans efforts. Pourquoi les longues distances, et le cas est chiant ce bas jusqu’à la mort.(P179-180)

Si les femmes veulent que les hommes les comprennent, les comprennent, vraiment, elles doivent leur transmettre un peu du savoir profond. Certaines réponds donc elles ont déjà beaucoup donné et qu’elles en ont assez. Si je peux me permettre, je dirais qu’elle on essayer d’apporter leur enseignement à un homme qui n’a pas envie d’apprendre. La plupart des hommes veulent savoir, veulent apprendre. Lorsqu’ils affichent un tel désir, , le temps de la révélation est venu , tout simplement, parce qu’un autre être le réclame.(P168)

Je ne vais pas vous mentir, il est plus facile. C’est vrai que jeter au loin la lumière d’aller dormir. Avec la lumière devant nous, nous voyons parfaitement tous les aspects de nous-mêmes et des autres du disgracié au divin, en passant par tous les états intermédiaires.

C’est pourtant avec cette lumière qui viennent à la conscience, les miracles de la profonde beauté du monde et des êtres . Elle permet de dépasser la mauvaise action et de voir le cœur rempli de bonté, de découvrir l’esprit délicat écrasé sous la haine d’être compréhensive. Au lieu de ne pas comprendre. Elle peut faire la différence entre diverses couche de personnalité, d’intention de motivation chez les autres, entre conscience et inconscience chez soi, même comme chez les autres. C’est la baguette magique de la connaissance. Le miroir où l’on s’en est où l’on voit toute chose. C’est la nature sauvage profonde. Il y a néanmoins des moments où ce qu’elle nous dit est douloureux est quasiment insurmontable car le crâne ardent montre aussi les trahisons qui se prépare le défaut de courage, c’est ce qui joue les breuvage, l’envie figé derrière un sourire chaleureux, les atours qui ne font que masquer le dégoût. Elle est clair aussi crûment nos failles que nos trésor.

(p159-160)

C’est justement, c’est hyper normalité qui nous envahit jusqu’à ce que, sans l’avoir vraiment chercher, nous ayons une existence routinière une vie dénué de vie. Elle pousse à négliger l’intuition, avec comme conséquence un manque de lumière dans la psyché.(
(P136)

Une mère ne peut faire à sa fille de dons plus précieux que celui de savoir, écouter son intuition (P132)

Les femmes qui tente de dissimuler leurs sentiments profonds s’étouffent. Le feu s’éteint, c’est la une forme douloureuse de syncope. (P130)

Celles qui ont une nature, instinctuelle, forte, reconnaissent, intuitivement le prédateur intérieur par l’odorat, la vue, l’ouïe elles devienent, sa présence l’entend arriver et prennent les mesures nécessaires pour lui faire faire demi-tour. celle dont l’instinct est endommagé, n’ont même pas encore conscience de sa présence que le prédateur est déjà sur elle, car leur capacité d’écoute d’appréhension, leurs savoirs sont amoindries, notamment par des introjections qui les exhortent à se montrer très gentille à bien se comporter, et tout particulièrement à ne pas voir qu’elles sont abusé (p108)

Lorsqu’on éclaire au maximum l’obscurité de la psyché, les ombres n’en paraissent que plus noir, là où la lumière ne porte pas. C’est un des points les moins discuté du processus d’individuation. Il en résulte que lorsque nous illuminons une partie de la psyché, nous devons affronter une obscurité encore plus profonde. Il ne faut pas ignorer cette part obscure. La clé les questions ne doivent être ni cacher ni oublier. Il faut poser les questions et trouver la réponse.

Le travail le plus profond est aussi le plus obscur. Toute femme courageuse, toute femme entrain de devenir sage, va aménager les territoires les plus pauvres du psychisme, car si elle ne construit que sur les meilleurs terrains de sa psyché, elle aura vu sur ce qu’elle a de moins bien. Ne craignons donc pas d’explorer ce que nous avons de pire. Le pouvoir de l’âme en sortira renforcer grâce aux nouvelles perspectives aux nouvelles opportunités, qui permettront une vision de neuf de notre vie de notre soi.

C’est dans ce domaine de l’aménagement psychique du territoire, que la femme sauvage brille. Elle n’a pas peur du noir. Elle voit dans l’obscurité, ni les immondices, ni les détritus, la pourriture, la puanteur, le sens, ni les ossements, ni jeune fille agonisante ou les époux assassin de lui font peur, elle peut en supporter la vue, l’accepter apporter son aide . (P89)