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sur 707 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Werber, c'est un peu comme un vieux pote... on continue de lui rendre visite de temps en temps, comme ça pour la forme, par habitude. On ne l'aime pas vraiment, non, mais il fait partie du paysage, alors, on entretient la relation.
Il y a toujours une connaissance commune pour nous parler de lui, nous informer qu'il a fait telle ou telle chose, alors, bon, on se décide et on y va...

On finit même par être pressé, on se dit qu'il nous rappellera le bon vieux temps, quand on prenait un plaisir fou à passer du temps avec lui, cette période où parfois on a un peu flirté, s'attardant un peu sur lui le soir, avant d'aller se coucher...

Alors on y va, guilleret, on s'installe confortablement, car tout de même, il sait recevoir. Et c'est parti. Déjà, on sent que quelque chose cloche, mais on ne veut pas le voir, alors on continue... et puis voilà, il se met à nous raconter des sornettes, une impression de déjà vu s'impose alors et on voit clair dans son jeu. On ne part pas, la plupart du temps, on reste jusqu'au bout, par politesse, ou pour amortir ce que ça nous a coûté de venir jusqu'ici, et puis, bon, on n'est pas si mal avec lui. Cette impression de déjà vu... toujours les mêmes choses, les mêmes histoires, les mêmes salades... il a pas tourné la page, on dirait, et il s'englue dans les mêmes phrases qui font écho aux précédentes...

Et puis voilà, c'est l'heure de partir, il nous a saoulé, mais bon, c'est un vieux pote, on lui dit pas. On se jure qu'on n'y reviendra pas, qu'il est fini, dépassé le vieux coucou... mais au fond, on sait bien que dans quelques années, au détour d'une ruelle, on croisera forcément quelqu'un pour nous le rappeler... qu'il a changé, qu'il est un nouvel homme, que vraiment, ça vaut le coup et qu'il ne faut pas en rester là...

Alors peut-être on y retournera tout de même, avec cette vague envie qu'il nous surprenne à nouveau, avec cet espoir ineffable qu'il sache y faire, qu'il re-sache y faire, qu'il se désenglue, qu'il prenne du recul, qu'il se renouvelle, au moins un peu quand même...

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Je m'excuse par avance pour ce qui va suivre, auprès de Monsieur Bernard Werber dont j'aime beaucoup les livres.

Suite directe de "Demain les chats" que j'avais adoré à en avoir un gros coup de coeur, ici je n'irai pas par quatre chemins, je n'ai pas aimé du tout. Principal souci : l'ennui. Il ne se passe pas grand chose, c'est très long à démarrer.

Une fois que l'histoire s'emballe on tombe dans un road-trip de Bastet et son acolyte accompagnés d'une humaine. un autre souci c'est que j'ai trouvé Bastet beaucoup plus hautaine que dans la première histoire et c'est pas vraiment supportable, elle est odieuse et horripilante, sans compter le dédain qu'elle possède de plus en plus pour les humains, trop poussé à mon goût.

Je vous épargne la description de la couverture qui parle d'elle même, alors que nous parlons tout de même d'un roman post-apocalyptique faisant état d'une guerre entre chats et rats, là où la couverture du premier tome était magnifique. Bref j'ai abandonné au bout de 300 pages avec le regret de mon achat.

Je pense tout de même que le livre à des qualités, notamment quelques passages cocasses (dans la tour des chats hors de Paris), ou encore les décors et le côté road-trip, le chat "Pythagore" toujours aussi drôle.

Le roman plaira certainement à la plupart des lecteurs ayant aimé le premier tome mais pour ma part c'est la grosse déception de l'année.
Lien : https://unbouquinsinonrien.b..
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Après leur première victoire sur les rats, les chats et les humains sont à nouveau confrontés à de multiples aventures qui vont les conduire à rencontrer et à communiquer avec d'autres espèces : cochons, chiens, faucons, etc...
La chatte Bastet prend le lead aidée de "son" humaine et de son mâle, Pythagore.
Au fil des pages, elle va découvrir les connaissances des humains et forger son destin : prendre la relève des humains et ériger le règne des chats.

Bernard Werber a bien su décrire le caractère du chat, via Bastet : indépendant, orgueilleux, hautain, égoïste.
Par contre, trop de rebondissements tue le rebondissement. Au fil du roman, on perd l'engouement du début et toutes ces rencontres ne donnent pas forcément d'intérêt à l'intrigue (qui est, finalement, limpide).
Espérons que le troisième tome redresse un peu la barre...
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Encore une histoire de chats. Ce qui pourrait sembler mignon, mais les coups de chaleur de sa chatte et ses aventures sont trop "téléphonés" pour être crédible. le ton est surfait et l'ensemble manque cruellement de rythme, voire d'intérêt. En plus d'appeler sa protagoniste à quatre pattes du nom de la déesse Bastet, c'est vraiment très peu original.
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Très déçue par ce roman d'un auteur que j'aime pourtant beaucoup. Trop de reprises d'effets comiques de "Demain les chats".Les passages de l'ESRA sont loin d'être aussi documentés et fouillés que dans ses précédents romans. le scénario ressemble davantage à un roman d'aventures pour enfants. Distrayant par moments mais beaucoup de longueurs
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Cette lecture a été un peu... "compliquée"... Je ne m'y attendais pas mais je me suis ennuyée. L'intrigue est longue à redémarrer.
Le rythme est vraiment irrégulier. Il y a des passages où les événements s'emballent et qui ont attisé mon intérêt. Puis, au contraire, mon enthousiasme se retrouve soudainement tombé à plat avec des passages emplis de longueurs.

Je ne me suis absolument pas attachée aux personnages. Bastet est encore plus insupportable et horripilante que dans le premier tome. Cela ne m'a clairement pas aidé à accrocher à ma lecture.

Je dois néanmoins parler de la fin de ce second tome. L'auteur sait très bien comment frustrer son lectorat.
Malgré un ressenti très mitigé, j'ai envie de connaître la suite et fin de cette histoire. Je pense donc lire le futur tome malgré une forte baisse d'intérêt pour cette saga. J'espère sincèrement que l'histoire va retrouver un rythme et une ambiance qui sauront me satisfaire.
Lien : http://psycheedelik-unehisto..
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Déception...
Vous ne me connaissez pas mais j'adore les chats : aussi ce livre me tentait depuis un moment et je me réjouissais à l'avance de cette lecture. Malheureusement j'avais oublié que je n'étais pas fan de l'auteur...et ce n'est pas ce bouquin qui va me réconcilier avec lui !
Pourtant ça commençait bien : Paris ravagée par d'horribles extrémistes religieux et (lol!) par une effroyable épidémie ... Les rats tentent de prendre le pouvoir... C'est sans compter avec les chats et plus particulièrement Bastet qui veut instaurer un nouveau régime, celui de la Félicité ...
Bon on s'arrête là : trop simpliste ou trop ambitieux, je me suis perdue en route ...
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Je n'ai pas été particulièrement emballée par ce roman.
J'ai retrouvé le style de Weber, avec ses extraits de l'encyclopédie du savoir absolu et relatif que j'avais découvert dans le cycle sur l'humanité et qui coupent l'histoire.
Mais ici ce sont des chats qui ont la parole. Et plus je tournais les pages plus l'histoire me lassait... Pourtant j'aime bien les uchronies, mais essayer de ressentir la dévastation du monde après des guerres civiles terribles entre humains au travers de chats qui se prennent pour des sauveurs, ça n'a pas pris sur moi.
Et le personnage principal : bon sang cette chatte imbue de sa personne. Je l'ai détestée !
Bref, je ne lirais pas de sitôt un roman de Bernard Weber.
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Pas de coup de foudre sur ce second opus, dystopie racontée par une chatte horripilante a l'ego sur-démesurée. Rien de neuf, que des clichés : la fin du monde humain par l'homme lui même, la prise de pouvoir par les animaux de laboratoire, ... Hélas il y aura une suite ....
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quand même déçue par ce livre... peut être que j'attendais trop de Weber, je garde le souvenir de sa série « les fourmis » comme des livres captivants, faudrait que je les relise pour voir quel est mon avis aujourd'hui. Bref, j'aime les chats, je me suis dit « un monde de demain sauvé par les chats, ça va me plaire! » et bien non, je suis allée au bout, je lirai sans doute le 2ieme roman de la série pour lui donner sa chance mais très déçu par le style.
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