"Ce jour-là mon rédchef qui aime bien les grosses bagnoles et le cul avait eu la bonne idée de me faire interviewer le Lulli de la musique électronique, estimant qu’il s’exportait bien à l’étranger, mieux que n’importe quel autre artiste français et que comme notre journal avait une rubrique patrimoine, ledit chanteur faisant partie du patrimoine culturel français y avait tout à fait droit de cité au même titre que les Salines d’Arc et Sénans ou que la Manufacture de Sèvres. ..."