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Citations sur La Dame de pique - Récits de feu Ivan Pétrovitch Bielkine.. (59)

Deux idées fixes ne peuvent exister à la fois dans le monde moral, de même que dans le monde physique deux corps ne peuvent occuper à la fois la même place. Trois-sept-as effacèrent bientôt dans l’imagination de Hermann le souvenir des derniers moments de la comtesse. Trois-sept-as ne lui sortaient plus de la tête et venaient à chaque instant sur ses lèvres. Rencontrait-il une jeune personne dans la rue :
« Quelle jolie taille ! disait-il ; elle ressemble à un trois de cœur. »
On lui demandait l’heure ; il répondait : « Sept de carreau moins un quart. »
Tout gros homme qu’il voyait lui rappelait un as.
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Deux idées fixes ne peuvent exister à la fois dans le monde moral, de même que dans le monde physique deux corps ne peuvent occuper à la fois la même place. Trois-sept-as effacèrent bientôt dans l’imagination de Hermann le souvenir des derniers moments de la comtesse. Trois-sept-as ne lui sortaient plus de la tête et venaient à chaque instant sur ses lèvres. Rencontrait-il une jeune personne dans la rue :
« Quelle jolie taille ! disait-il ; elle ressemble à un trois de cœur. »
On lui demandait l’heure ; il répondait : « Sept de carreau moins un quart. »
Tout gros homme qu’il voyait lui rappelait un as.
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Deux idées fixes ne peuvent exister à la fois dans le monde moral, de même que dans le monde physique deux corps ne peuvent occuper à la fois la même place. Trois-sept-as effacèrent bientôt dans l’imagination de Hermann le souvenir des derniers moments de la comtesse. Trois-sept-as ne lui sortaient plus de la tête et venaient à chaque instant sur ses lèvres. Rencontrait-il une jeune personne dans la rue :
« Quelle jolie taille ! disait-il ; elle ressemble à un trois de cœur. »
On lui demandait l’heure ; il répondait : « Sept de carreau moins un quart. »
Tout gros homme qu’il voyait lui rappelait un as.
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Deux idées fixes ne peuvent exister à la fois dans le monde moral, de même que dans le monde physique deux corps ne peuvent occuper à la fois la même place. Trois-sept-as effacèrent bientôt dans l’imagination de Hermann le souvenir des derniers moments de la comtesse. Trois-sept-as ne lui sortaient plus de la tête et venaient à chaque instant sur ses lèvres. Rencontrait-il une jeune personne dans la rue :
« Quelle jolie taille ! disait-il ; elle ressemble à un trois de cœur. »
On lui demandait l’heure ; il répondait : « Sept de carreau moins un quart. »
Tout gros homme qu’il voyait lui rappelait un as.
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Deux idées fixes ne peuvent exister à la fois dans le monde moral, de même que dans le monde physique deux corps ne peuvent occuper à la fois la même place. Trois-sept-as effacèrent bientôt dans l’imagination de Hermann le souvenir des derniers moments de la comtesse. Trois-sept-as ne lui sortaient plus de la tête et venaient à chaque instant sur ses lèvres. Rencontrait-il une jeune personne dans la rue :
« Quelle jolie taille ! disait-il ; elle ressemble à un trois de cœur. »
On lui demandait l’heure ; il répondait : « Sept de carreau moins un quart. »
Tout gros homme qu’il voyait lui rappelait un as.
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« L’as gagne, dit Hermann, et il découvrit sa carte.
– Votre dame a perdu », dit Tchekalinski d’un ton de voix mielleux.
Hermann tressaillit. Au lieu d’un as, il avait devant lui une dame de pique. Il n’en pouvait croire ses yeux, et ne comprenait pas comment il avait pu se méprendre de la sorte.
Les yeux attachés sur cette carte funeste, il lui sembla que la dame de pique clignait de l’œil et lui souriait d’un air railleur. Il reconnut avec horreur une ressemblance étrange entre cette dame de pique et la défunte comtesse...
« Maudite vieille ! » s’écria-t-il épouvanté.
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Je ne suis pas d'humeur à risquer le nécessaire pour gagner le superflu.


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Il était joueur dans l'âme, mais ne touchait pas une carte, car il estimait que sa situation ne lui permettait pas (comme il le disait lui-même) "de risquer le nécessaire dans l'espoir du superflu".
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Il avait de violentes passions et une imagination ardente, mais sa fermeté l'avait jusqu'alors préservé des égarements habituels à la jeunesse. Ainsi joueur dans l'âme, jamais il ne touchait une carte, car il estimait que sa situation ne lui permettait pas (comme il le disait lui même) "de risquer le nécessaire dans l'espoir du superflu" ; cependant il passait des nuits entières devant le tapis vert , à suivre les différentes phases du jeu.
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La vieille ne répondait pas.
Hermann se releva.
"Sorcière ! s'écria-t-il, en serrant les dents, je saurai te faire parler ! …"
Et il tira un pistolet de sa poche.
A la vue du pistolet, la comtesse, pour la seconde fois, manifesta une violente émotion…
"Allons donc ! cessez de faire l'enfant, dit Hermann, en lui prenant la main. Je vous le demande pour la dernière fois : Voulez-vous me dire vos trois cartes ! Oui ou non ?"
La comtesse ne répondit pas. Hermann vit qu'elle était morte.
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