François-Claudius Simon est de retour, il n'est plus le bleu de «
La valse des gueules cassées », même s'il n'est guère plus vieux et il a, de nouveau, affaire à un tueur en série qui n'en est pas vraiment un...
Dans ce deuxième opus, on retrouve les mêmes personnages et les mêmes éléments que dans le précédent. François-Claudius, bien sûr, mais aussi ses collègues, sa bien-aimée Elsa, la tendre Mado, son pote Mégot...
Des meurtres sanglants, de mystérieux messages, un point clé de l'Histoire, une histoire d'amour, tout est ici présent pour satisfaire le lecteur et le lecteur, du moins, quand il s'agit de moi, est satisfait.
C'est avec un réel plaisir que je retrouve François-Claudius Simon même si je ne l'avais pas réellement abandonné puisque j'ai enchaîné ce deuxième opus à peine achevé le premier (j'ai depuis terminé la lecture du troisième et j'enchaîne directement sur le quatrième, c'est dire l'enthousiasme que me procure la lecture de ces aventures).
Ici, François-Claudius Simon a affaire à un tueur intelligent et sadique qui laisse des messages à l'intention, tout d'abord, de la police et, ensuite à la sienne. le policier aura fort à faire pour trouver le coupable et tenter de l'arrêter d'autant, qu'une fois n'est pas coutume, les meurtres ne sont pas ce qu'ils semblent être.
L'auteur nous livre des pans de l'Histoire de France et de l'histoire de François-Claudius, au travers ce deuxième opus.
Outre l'excellence des titres des trois premiers opus de la saga, l'auteur conserve son style d'écriture au travers une enquête encore passionnante même si l'on se surprend à décoder les messages plus rapidement que François-Claudius et à trouver que le tueur s'est donné bien du mal pour en arriver là où il voulait.
Mis à part ce léger bémol (et le peu d'attrait de la couverture), la lecture de ce second opus est tout aussi agréable et les personnages aussi savoureux.
Au point final, c'est donc avec enthousiasme que je saute sur le troisième opus.