Ses temps je les ai tous comptés
De l’Hyade : Ève alme à la pluie…
Les vals sont semblables contés
Psaumes de chaque Éos reluie !
De l’Hyade : Ève alme à la pluie
Vient la brise de l’art-Stella ;
Psaumes de chaque Éos reluie
Que j’emmêle nuits en l'aura.
Vient la brise de l’art-Stella
Qui de là se ceint scripturaire ;
Que j’emmêle nuits en l'aura,
Baptême : ce flash littéraire !
Qui de là se ceint scripturaire
Au jour qui naît d’encre et de fer !
Baptême : ce flash littéraire
Qu’élide un temps : cor de l’enfer !
Au jour qui naît d’encre et de fer
Qu’ai-je à partir : domina ternes ?
Qu’élide un temps : cor de l’enfer
Pâle : l’âme close, les cernes...
Qu’ai-je à partir : domina ternes
Dames, adorez le mourant !
Pâle : l’âme close, les cernes,
Par là l’art : alpha de l’étant.
Dames, adorez le mourant
De Carrare aux sens, je m’évade !
Par là l’art : alpha de l’étant
Je l’âme aux glas en colonnade !
De Carrare aux sens, je m’évade,
Ne reste-t-il pas l’art des cieux ?
Je l’âme aux glas en colonnade
Râle en ce ralliement des lieux.
Ne reste-t-il pas l’art des cieux
Et ces maux : Ophir de blessures ?
Râle en ce ralliement des lieux
Aimance et précédence pures !
Et ces maux : Ophir de blessures
Les lis-je au bénir de l’écueil ?
Aimance et précédence pures
Halant l’éclisse du cercueil…
Les lis-je au bénir de l’écueil
Les Stella ? Las de l’angélisme !
Halant l’éclisse du cercueil
J’aimerais songer l'éthylisme.
Les Stella ? Las de l’angélisme
Ça transcende l’amour filant…
J’aimerais songer l'éthylisme
Ce qu’il me reste d’exilant....
Ça transcende l’amour filant
À me rythmer dans cette absinthe !
Ce qu’il me reste d’exilant
Avant l’époque à demi-sainte !
À me rythmer dans cette absinthe
J’en perdrai toutes chastetés !
Avant l’époque à demi-sainte
Ses temps je les ai tous comptés…
Exacte plutôt que pareille à tous les maux.