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Les années 60. Une certaine nostalgie d'une époque que je n'ai pas connu. Drôle d'époque si lointaine. Si proche.

C'est l'histoire d'Annie, c'est l'histoire de Michel. Jolie variante du rat des villes et du rat des champs.

C'est l'histoire d'Annie, issue d'un milieu bourgeois et qui regarde par la fenêtre la vie passer à travers ceux qu'elle ne doit surtout pas fréquenter car on ne se mélange pas. Papa est médecin et jouit d'un certain statut. Maman voudrait être plus que cela, plus que cette femme de docteur …
C'est l'histoire de Michel, de l'autre côté de la fenêtre, le fils des concierges, qui aime lire, comme un secret que l'on cache.

C'est l'histoire de deux enfants qui vont grandir. Qui trouveront dans les livres ce que la vie ne semble pas vouloir leur apporter. Qui finiront par se rencontrer …

La plume de Pascale Rault-Delmas nous entraîne avec douceur et bienveillance à la suite d'une époque où les choses changent peu à peu. Ou les convenances se bousculent. Où les femmes tentent de sortir d'un bien encombrant carcan masculin.

Ici les personnages, le récit et la description d'une époque prennent un peu le pas sur la plume en elle-même mais on se laisse prendre par la main et le coeur. Une douce lecture. Un joli moment.

J'ai lu ce livre comme on remonte le temps. Comme on s'assoit pour rêvasser un petit peu. En compagnie des livres. Ces amis de plusieurs vies. Ces amis qui comblent toutes les solitudes.

De ces romans dont on parle peu mais qui offrent de bien jolis moments de lecture.

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Ce livre m'a rappelé plein de souvenirs de jeunesse et aborde bien le machisme de l'époque. L'intrigue avance bien, lecture très agréable.
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L'histoire : Annie est née, à Paris, d'un père alors étudiant en médecine et d'une mère infirmière. Quelques années plus tard, au milieu des années 60, son père, pédiatre très à cheval sur les convenances sociales de l'époque, décide que toute la petite famille ira s'installer en banlieue, et qu'Hélène, sa femme, deviendra femme au foyer (ce qui, selon lui, est le plus adéquat pour une femme de médecin). C'est ainsi qu'Annie va grandir, dans une école privée pour filles, avec interdiction de fréquenter des enfants d'une autre classe sociale, etc. Heureusement, il y a La Compagnie des livres, la librairie de son grand-père Lucien (le père d'Hélène), en plein quartier latin !
Michel a quasiment le même âge qu'Annie. Lui grandit avec ses frères et soeur au grand air, en Auvergne, où ses parents Simone et Robert, très modestes, s'occupent d'une ferme en fermage. le jour où la propriétaire décède et que ses fils veulent vendre, puis qu'un drame familial vient s'ajouter à cela, leur destin bascule... Faudra-t-il changer de région, de vie ?



Mon avis : un très beau roman qui nous fait traverser les années 60 et 70 avec des familles assez représentatives de l'époque. On saisit bien les énormes nuances entre bourgeois et peuple, entre vie à la campagne et vie en ville, entre conservateurs et révolutionnaires (qui sont pour l'égalité des sexes, etc.), etc., toutes ces données primordiales pour saisir l'ambience d'alors et comprendre l'époque. Pour autant, si on saisit bien ce côté "sociologique" du livre, qui est très très présent en permanence, il reste une toile de fond, et c'est avant tout un roman, avec des personnages qui prennent très vite consistance, qu'on a plaisir à suivre, auxquels on s'attache, et qui participent activement à la révolution sociale de cette époque. Et d'autant plus que nos héros ont, comme tout un chacun, leurs travers, leurs défauts, leurs entêtements absurdes, font des erreurs, etc., bref : sont humains. Et, pour certains, passionnés de lecture, alors forcément, c'est encore mieux !!

J'ai beaucoup aimé ce roman, j'ai eu l'impression de connaître un peu les héros, j'ai eu grand plaisir à les accompagner.
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J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Il est doux et il est très agréable à lire.

Pour qui est passionné de livres et de lecture, ce roman vous parlera forcément. J'ai eu l'impression de me voir quand Pascale Rault-Delmas décrit l'amour des livres que ressentent autant Annie que Michel. Car en effet, c'est une passion qui se révèle dès le plus jeune âge et je me souviens encore des livres que j'empruntais avec délectation à la bibliothèque où ma mère m'accompagnait chaque semaine. J'ai moi aussi dévoré les ouvrages de la bibliothèque verte !

Mais revenons à ce roman où l'on suit les parcours enfants, adolescents puis jeunes adultes d'Annie, Michel, leurs familles respectives et leurs amis. L'on comprend combien le poids des conventions pesait sur eux. L'on entrevoit aussi la révolte qui sourde en Hélène qui s'est pliée durant des années aux diktats de son époux, car elle est la femme du médecin et a donc un rang à tenir. Mais en fait, elle a renié son éducation et justement toute la tolérance et la place qu'accordait avant l'heure son propre père. Lucien, ce père et ce grand-père si observateur et si empli d'amour pour sa petite-fille qui partage son amour des livres avec elle, la guide dans ses lectures et l'air de rien ouvre son regard sur la société et sur les autres.

La différence entre une existence citadine avec les nouveauté de l'époque (les barres d'immeubles, la télévision, le téléphone dans les foyers) et une existence beaucoup plus rurale. le choc des cultures ! Tolérance et acceptation me semblent les maîtres-mots de ces passages.

Même si les événements de mai 68 sont tout juste effleurés, l'auteure parle très bien de la libération des femmes à partir de cette époque. Un monde où jusqu'alors tout était régi et décidé par les hommes : elle évoque le MLF, la liberté sexuelle, le droit à travailler sans l'autorisation de son époux, le divorce, l'avortement, le droit à disposer de son corps… Tout en pudeur mais les sujets sont quand même traités. L'apparition des drogues est également elle aussi bien évoquée, mais dans la douleur cette fois-ci.

Bref, en lisant ce roman, on traverse tous les sujets qui agitait la société dans les années 60-70. Evidemment également l'opposition des classes sociales, la difficulté à s'élever dans la société avec le parcours admirable de Michel, malgré une condition familiale démunie.

J'ai donc beaucoup aimé ce roman, car malgré ses 300 pages à peine, il brosse un portrait d'une génération qui vécut de multiples changements, plus ou moins facilement.
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J'ai été attirée par ce roman du fait de sa couverture et de son titre, présentant directement un univers livresque omniprésent. Il est vrai que les livres sont très importants ici, puisqu'on va suivre l'évolution de Michel et Anne, deux enfants qui grandissent au fur et à mesure de l'intrigue, qui sont tous les deux animés par une passion de la lecture. A travers cette passion, l'auteur nous délivre deux réalités sociales aux antipodes, avec la présentation de deux milieux sociaux distincts.
J'ai aimé être plongée dans la réalité des années 1960. le roman traite de nombreux sujets et ne se restreint pas qu'à la passion de la lecture. Il est aussi question de l'émancipation de la femme, l'isolement et le cloisonnement féminin, les classes sociales, la mutation et les changements du siècle, l'évolution des mentalités.
Le style de l'auteur est très simple, mais permet toutefois de bien se positionner dans le décor et dans l'intrigue. Il manquait toutefois peut-être un petit peu d'action, et de rebondissements à mon goût !
J'ai par conséquent aimé le mélange entre les faits historiques et la passion de la lecture qui reste omniprésente dans ce beau roman. Je ne peux que le conseiller.
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Un très beau premier roman que nous offre Pascale Rault-Delmas.

Ses études de médecine achevées, Bernard emmène sa petite famille pour installer son cabinet et cloitrer sa femme Hélène dans une vie de famille bien rangée. le ton est donné : on quitte Paris intramuros pour une résidence de banlieue, Hélène ne travaillera plus et fera figuration en tant que "l'épouse du médecin". Annie, enfant sage, s'adapte et trouve refuge dans la lecture avec la complicité de son grand-père libraire.

En Auvergne, Robert et Simone se battent pour conserver l'exploitation agricole en fermage à laquelle ils ont consacré toute leur énergie malgré les sacrifices. En vain, les héritiers ont les dents longues et il leur faudra trouver un plan B. Michel, enfant réservé, s'adapte et trouve refuge dans la lecture avec la complicité du grenier de la ferme.

On traverse deux décennies d'une époque marquée par les bouleversements et la prise de conscience. On est immergé dans deux univers radicalement opposés. Les grandes questions de l'époque sont bien présentes (classes sociales compartimentées, valeurs conservatrices, montée du féminisme, ...).
A travers la destinée de deux familles dont rien ne pouvait dire qu'elles pourraient être liées, on découvre deux personnages attachants et attachés par un lien invisible mais si fort : le livre.

J'ai pris beaucoup de plaisir à voyager dans ces régions et ces époques en compagnie de ces deux familles. Certains ont reproché le ton quelque peu détaché voire froid de l'auteur, on peut se demander si justement ce ton n'est pas la juste retranscription de l'époque et de l'ambiance lourde d'une société pétrie de valeurs morales conservatrices trop lourdes pour sa jeunesse...
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La compagnie des livres de Pascale Rault-Delmas a été une lecture poignante. J’ai adoré ce roman et j’ai eu du mal à m’en détacher une fois les dernières pages tournées.

1966, nous voyons grandir en parallèle Annie et Michel. Annie est née dans un milieu parisien plutôt aisé. Son père est médecin et sa mère, qui était infirmière jusqu’alors, se voit contrainte de quitter son travail et du même coup son indépendance, car les conventions l’obligent à devenir une mère au foyer dévouée. Michel, quant à lui, grandit au cœur des bocages auvergnats entre ses deux frères et sa petite sœur. Son père est un paysan attaché à la terre qui voit son univers s’effondrer lors d’un tragique accident. Tout part à vau-l’eau et quand la ferme qu’il gérait est vendue suite au décès de la propriétaire, toute la famille est obligée de changer radicalement de vie. Deux enfants, deux univers différents, et une même passion dévorante : la lecture. Cet amour des livres va faire se télescoper ces deux enfances dans une époque secouée par de grands bouleversements socio-politiques.

Avec ce roman, Pascale Rault-Delmas nous étreint avec force et nous fait traverser les années 60-70 à un rythme fou. On est scotché aux pages, happé par l’histoire d’Annie et de Michel. Annie et Michel sont deux enfants mélancoliques qui n’ont pas de meilleure compagnie que celle des livres. L’une noie sa solitude dans les livres quand son père, très à cheval sur la distinction entre les classes sociales, lui interdit de jouer avec les autres enfants de l’immeuble et l’autre se réfugie dans des univers littéraires fabuleux quand le monde autour de lui paraît trop brutal. On s’attache beaucoup à ces deux enfants, victimes des préjugés, qui souffrent chacun de leur côté d’abord et dont l’amitié sera plus forte que tout. A travers leurs yeux, c’est toute une époque qui défile avec pour axe central, l’émancipation de la femme. Avec le personnage d’Hélène, la maman d’Annie, c’est toute une réflexion sur l’indépendance et les droits des femmes qui se développe et se dresse contre la soumission à un modèle social et familial patriarcal. Hélène tergiverse sur la question et se demande même de façon insensée si elle a la possibilité de croire en ses idées et d’oser se battre pour ses droits, pour un idéal, pour l’égalité entre les hommes et les femmes. L’auteure montre dans ce roman à quel point le combat fut laborieux, violent, et en fait le fil rouge de son roman en arrière-plan de l’intrigue principale. La plume de l’auteure porte une intensité dramatique incroyable, on est pas mal bousculé et bouleversé, mais la dynamique est telle qu’on avance le souffle court dans l’histoire de ces deux gamins des années 60 auxquels on s’attache follement. Ce roman est aussi un magnifique hommage au livre, le livre écrin fabuleux qui renferme tant d’univers et tant d’aventures, dans lequel on se blottit ou on espère puiser de la force, le livre comme refuge de papier ou comme moteur pour dépasser ses angoisses. Pascale Rault-Delmas transmet à travers son roman une touchante déclaration d’amour au livre lui confessant le pouvoir d’influencer quelque peu la vie des lecteurs en bien et de tisser des liens forts entre eux. Une mention spéciale pour le personnage de Lucien, un grand-père libraire extraordinaire que l’on ne peut qu’adorer.

La compagnie des livres est la fresque d’une époque exaltée mais également un roman de rencontres autour des livres. La rencontre d’Annie et de Michel tout d’abord et la rencontre du lecteur avec cette histoire poignante. Un beau roman fort en émotions.
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La Compagnie des livres est un roman sur le bouleversement sociétal des années 60, sur la famille et sur l'amour des livres. Malgré un thème très intéressant, j'ai été gênée de la façon dont l'auteure a écrit son histoire. Cela m'a clairement empêchée de la savourer.

En effet, j'ai trouvé que les faits étaient relatés avec distance, je n'ai donc pas ressenti les émotions que j'aime tant à la lecture d'un roman. Ici, ils sont couchés sur papier, un peu à la manière d'un documentaire. On passe vite d'une chose à une autre, sans s'épancher jamais. Ils sont racontés succinctement, aucune brèche pour nous engouffrer profondément dans les années 60 ni au sein de la librairie qui est pourtant le thème central. Les personnages changent vite d'avis, retournent leur veste en un coup de cuillère à pot. C'est vraiment regrettable car le sujet avait tout pour me plaire. Les protagonistes, notamment Michel et Annie, auraient pu être réellement attachants s'il on avait pu s'attarder sur leur caractère, leurs actes et leur façon de voir ce monde en mouvement et perpétuelle évolution. Michel, ce petit garçon qui tombe amoureux des livres autant que de sa petite voisine, est un personnage que j'aurai vraiment adoré. Et Annie, qui tombe entre de mauvaises mains quand un drame familial surgit, se remet bien vite de cette épreuve cruelle et sans pitié. Je suis d'accord sur le fait que trop s'attarder sur des faits peut ennuyer à la longue, mais quasiment les survoler n'est pas la solution. C'est une juste dose à trouver et malheureusement ici, je suis passée un peu à côté…

Le préambule nous annonce ce qu'il adviendra de la librairie, mais l'épilogue nous réserve l'issue que l'on espérait. Pas vraiment de surprise dans ce roman, c'est plutôt un saut dans cette époque charnière de notre pays qui nous montre comment les femmes vivaient leur couple et leur famille et comment les hommes détenaient le pouvoir sur tout. J'ai été intéressée de les suivre, et notamment les mamans d'Annie et de Michel, au fil des mois et des années et de voir leur esprit s'ouvrir et s'émanciper. Même si je reste sur ma faim, cet aspect m'a vraiment plu.

La Compagnie des livres est donc un roman intéressant mais malheureusement trop superficiel dans les thèmes abordés. J'attendais d'être emportée dans les années 60 et plongée dans une librairie aux livres anciens dont l'odeur me serait presque venue aux narines, mais ce ne fut pas le cas, à mon grand regret. Plus d'émotion, de développement des personnages et de détails de cette époque m'auraient fait beaucoup aimer cette histoire, j'en suis persuadée.
Lien : https://ducalmelucette.wordp..
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Une histoire qui, à la base, a tout pour me plaire : la rencontre de deux amoureux des livres, une magnifique librairie, une histoire de classes qui ne veulent/peuvent pas se mélanger, une période (la fin des années 60) où souffle un vent de révolte et de changement en France, un petit air de François Mauriac trente ans après.
Malheureusement, je n'ai pas réussi à adhérer complètement à l'histoire même si les personnages de Annie et Michel sont attachants dans leur envie d'émancipation et de lecture.

La faute sans doute à une écriture un peu trop simple et sans originalité qui me laisse sur ma faim, moi qui suis adepte des longues phrases hugoliennes et d'un vocabulaire et d'un style riches.
Le livre se lit facilement mais rien ne retient réellement l'attention, on se laisse porter par le récit sans s'y accrocher. Les événements, notamment de mai 68, qui font bouger les lignes et les modifications qui s'opèrent dans la société française avec la montée des mouvements féministes sont décrits de manière expéditive. Même les faits graves, les drames de la vie sont exposés sans susciter d'émotion ou de compassion chez le lecteur.

Et si les deux familles, protagonistes principaux de ce roman, présentent toutes les facettes de ces deux classes opposées, les analyses qui sont proposées sont trop succinctes pour y voir autre chose qu'un roman léger et distrayant, parfait pour un dimanche au coin du feu.
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Région parisienne, années 1960, Annie petite fille rêveuse et passionnée de lecture ne comprend pas pourquoi son pédiatre de père refuse qu'elle se lie d'amitié avec le jeune Michel, le fils des concierges de son immeuble avec qui elle partage le même goût immodéré pour les livres. La petite fille s'ennuie et souffre énormément de cet isolement imposé et dicté par les conventions sociales. Sa seule consolation reste les visites qu'elle rend à son grand-père libraire, avec lequel elle partage de fabuleux moments de complicité dans son joyeux antre de la littérature baptisé "La compagnie des livres".
Enfant solitaire et incompris de ses géniteurs qui ne se retrouvent pas dans ce fils studieux et beaucoup trop sage, Michel préfère s'isoler dans la loge de gardien afin d'étudier et lire plutôt que de partager les jeux plus remuants de ses frères et soeurs dans la cour de l'immeuble.
Malgré leur différence de classe sociale, les deux enfants ont beaucoup plus de points communs qu'il n'y paraît. Leur amitié triomphera-t-elle des barrières érigées par la mesquinerie des adultes ?

Tableau d'une décennie rebelle et en pleine mutation, cet attachant récit m'a embarqué dans un réjouissant moment de lecture. A travers l'histoire personnelle de deux familles à l'antithèse l'une de l'autre (d'origine paysanne et modeste pour l'une et citadine et aisée pour l'autre), Pascale Rault-Delmas en profite pour dresser une radioscopie des nombreux changements qui sont intervenus dans les foyers français de cette époque en pleine ébullition, que ce soit dans le domaine de la politique, de la famille, du travail où de l'évolution des mentalités.
Sous la fluidité et la simplicité de la plume enjouée l'auteure, parfois teintée de légères bouffées de nostalgie, transparaît l'amour profond de cette dernière envers la littérature ainsi que son vif désir de faire partager sa passion de dévoreuse de mots. Pari gagné !
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