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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Merci beaucoup à Babelio pour cette masse critique privilégiée et aux Éditions Robert Laffont de m'avoir permis de lire ce deuxième tome de L'empathie.
Si, il y avait bien un livre qui me faisait envie dans cette rentrée littéraire, c'était cette suite de L'empathie et je vais vous avouer que je n'ai pas été déçue, voir même surprise par moment car l'auteur ne ménage pas ses personnages.
Dans cette histoire, on va suivre deux enquêtes en parallèle.
L'une, s'occupera d'un homme qui pique ses victimes avec une seringue contenant du GHB avant de les violer.
L'autre unité, une cellule spéciale, recherchera activement Serflex, un homme qui sévit depuis vingt-cinq ans en toute impunité, et qui menace de s'en prendre à des femmes. Il leur envoie des lettres, avant de s'en prendre à elles.
Comment l'unité du Commandant Euvrard, de Margot et Théo va-t-elle se retrouver mêler à celle de l'unité spéciale ? Que va-t-il se passer au cours de cette enquête ?
Un roman qui se lit rapidement car les pages se tournent toutes seules.
Le personnage de Margot est très attachante. C'est une femme forte, elle ne se laisse pas faire.
J'ai aimé la tension qui montait au fur et à mesure de l'histoire. le fait que l'auteur fasse référence à son premier tome, par des anecdotes ou par le retour de certains personnages.
Une suite très réussie qui confirme que c'est un auteur que je continuerai à suivre.
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Mission accomplie !
L'exercice d'inventer une suite à un premier tome qui a fait partie des best-sellers lors de sa sortie n'est pas facile et pas toujours une réussite. Ici, Antoine Renand relève le défi avec succès pour notre plus grand plaisir de lecteur.
Un psychopathe sévit depuis plus d'une vingtaine d'années sans que la police n'ait réussie à mettre la main dessus. Son protocole d'horreur consiste à prévenir sa victime un jour, une semaine, un mois ou des années avant de commettre son crime. Alors, il s'empare de sa proie, lui attache les mains dans le dos à l'aide d'un serflex, d'où le surnom que les enquêteurs vont lui donner, et la viole. Son plaisir il le trouve dans la détresse de ces femmes, lorsqu'elles le supplient de les épargner. Une cellule dirigée par le commandant Euvrard, Théo Larcelli et rejointe par Margot Tréabol va faire appel à Anthony Rauch dit « la poire » viré de la police car soupçonné d'être un ancien violeur...
L'auteur fait le lien avec le tome un en faisant intervenir des membres de la précédente enquête sur le psychopathe Alpha, ce qui permet d'argumenter cette suite et de ne pas perdre le lecteur pour ceux qui n'auraient pas encore lu le premier opus.
Le récit est bien mené et certaines digressions ont l'avantage de rompre une certaine monotonie dans le déroulé de l'enquête. Entre autres, l'auteur raconte ce qui a amené Serflex à devenir ce qu'il est, ce qui n'est que trop rarement le cas dans beaucoup de polars. La genèse de sa psychopathologie est un des plus de ce roman. Il dévoile aussi beaucoup de la vie privée de ses protagonistes et de leur histoire personnelle, ramifications opportunes qui enrichissent largement le roman.
Antoine Renand ne ménage pas ses personnages. Ils ne sont pas « immortels » comme dans beaucoup de polars ce qui autorise leur remplacement et un sang neuf dans l'histoire. Ce ne sont pas non plus des « surhommes », leurs qualités sont traitées dans la même proportion que leurs faiblesses.
L'intrigue peut paraître assez simple, mais cette candeur n'est peut-être qu'une feinte pour préparer un rebondissement imprévu, un dénouement étonnant, incroyable, abracadabrantesque ? à vous de le découvrir !
On passe un très agréable moment de lecture en compagnie de « L'empathie » tome 2, un ouvrage qui se lit d'une traite, sans reprendre son souffle et l'auteur montre qu'il a l'imagination des écrivains talentueux et qu'il ne tardera pas à rejoindre les meilleurs d'entre eux comme Thilliez, Giebel, Grangé et d'autres...
Merci aux éditions Robert Laffont et à masse critique privilégiée Babelio pour la découverte enthousiasmante de ce deuxième tome de « L'empathie ». C'est une réelle bonne surprise !
Editions Robert Laffont, La Bête Noire, 431 pages.
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Vous avez aimé L'empathie (tome 1) ?
Vous aimerez, sans conteste, le tome 2 !
Vous n'avez pas encore lu le premier ?
Pas grave !
Ce second volume peut très bien se découvrir indépendamment.
Le seul risque que vous prenez, c'est de vous jeter sur le tome 1 par la suite.
Je trouve même dommage, d'ailleurs, que le titre ait été repris...
Si je peux affirmer cela, c'est que je ne me souviens absolument pas de l'affaire Alpha.
Rien du tout. Que dalle. Que tchi.
Plus de 4 ans sont passés quand même...

Ce nouveau thriller policier est un vrai page-turner.
Très addictif, c'est incontestable.
Le romancier sait parfaitement maintenir l'attention, suspens et tension.
La narration est plaisante, très imagée.
J'ai vu les événements se dérouler devant mes yeux.
Son intrigue est bien menée.
Tout trouve une explication, malgré, parfois, la possibilité de "tiquer" un peu.
Enfin... Je dois vous avouer quand même qu'un des protagonistes a fini par m'énerver sérieusement par sa façon de réagir.
Je n'ai pas toujours compris son attitude, son comportement.
À moins de chercher vraiment de (très) gros ennuis...
Conséquences : je n'ai pas réussi à vraiment m'attacher aux personnages.
J'ai manqué, sans doute, un peu ... d'empathie.
C'est ballot !
Je sais, que pour ma part, comme pour le premier, cette histoire ne me laissera pas un souvenir indélébile.
J'attendais d'être bluffée, bouche-bée.
Je suis très exigeante...

Malgré cela, je suis convaincue qu'Antoine Renand a bel et bien sa place parmi les plus talentueux auteurs de polar français.

À suivre, donc.

Merci La bête noire - Robert Laffont et Babelio.
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Quelques années après l'affaire Alpha de "L'empathie", nous retrouvons "la brigade du viol" que vient de rejoindre, à sa demande" Margot. Les policiers de cette unité enquêtent sur un violeur qui pique ses victimes au GHB, dans la rue. Ils vont également être associés à l'unité Serflex, qui traque un psychopathe qui envoie, depuis 25 ans, des lettres de menaces à des victimes potentielles (61) en les avertissant qu'il les violera un jour, les maintenant ainsi dans la terreur. Ce Serflex exige qu'Anthony Rauch, qui avait arrêté Alpha, et avait quitté la police suite à la mort de son équipière au cours de l'opération, soit associé à l'enquête. le redoutable Serflex va-t-il être identifié et arrêté?
Pour bien apprécier cet opus, il est recommandé de lire d'abord le tome 1; on retrouve des personnages, des éléments d'enquête, des références à la traque d' Alpha qui éclairent l'intrigue du tome 2.
J'ai retrouvé le rythme haletant, la tension, le suspense qui m'avaient emballée dans le précédent opus; les personnages d'Anthony et de Margot sont attachants; ce ne sont pas des policiers omniscients, des héros des temps modernes mais des êtres humains avec leurs faiblesses, leurs traumatismes, leurs erreurs ayant la volonté de protéger les autres au péril de leur vie.
Cependant, j'ai un peu moins accroché car j'ai trouvé certains procédés artificiels en particulier l'enquête et l'arrestation rocambolesque du violeur à la piqûre de GHB qui n'a aucun lien avec celle sur Serflex, si ce n'est que cet épisode permet de virer Margot de la police et de condamner Anthony à ne pas bouger de chez lui, ce qui est important pour le déroulé de l'intrigue, tout en évoquant le thème de faire justice soi-même.
Même si je n'ai rien contre le personnage d'un même policier dans plusieurs enquêtes, dont on suit parallèlement l'évolution personnelle, j'ai trouvé que les rappels du tome 1 étaient un peu trop nombreux et empêchait une lecture fluide et totalement addictive.
Il n'en reste pas moins que "L'empathie, tome 2" est un très bon thriller, nerveux, qu'on a du mal à lâcher une fois pris dans les rets d'Antoine Renand. Je remercie Babelio et les éditions Robert Laffont pour ce très bon moment de lecture.
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L'empathie – T2 d'Antoine Renand est une suite qui se dévore, mais avouons tout de même que l'effet de surprise est passé. Les acteurs de ce polar nous en mettent plein la vue. Ici, on est à l'intérieur d'une brigade qui enquête sur les viols, la pression est grande pour résoudre ces cas. Un violeur en série parcourt la France depuis vingt ans, la particularité de ce criminel est qu'il envoie des lettres anonymes à ces victimes les menaçant des pires sévices des mois et des années avant son crime. Une bonne histoire sur le parcours de la folie d'un homme et de celles et ceux qui le recherchent, personne ne sortira de l'enventure intact. Bravo
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J'avais beaucoup aimé "L' empathie"- tome 1 ; ce tome 2 est tout aussi réussi ,
même si j'ai trouvé quelques péripéties et progrès de l'enquête un peu "miraculeux" .
Après le violeur Alpha , ce tome 2 met les policiers aux prises avec Serflex ,
un autre violeur tout aussi sadique .
J'ai été accroché par l' histoire dès le début .
L' intrigue devient de plus en plus palpitante et le dernier quart est haletant .
J'ai dévoré ce livre en quelques heures !
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Je gardais de ma lecture de "L'empathie" (tome 1) le souvenir d'une lecture qui m'avait tenu en haleine. J'étais donc impatiente de lire ce deuxième tome.
Après le terrible Alpha, nous voilà dans cet opus confronté au non moins terrible Serflex, violeur en série . Ce dernier sévit depuis des années, en toute impunité. Il envoie des lettres à ses futures victimes avant de les agresser, parfois des années après. Distiller la terreur avant d'infliger l'horreur lui procure un immense plaisir.
Face à lui, il y a un homme bien décidé à l'anéantir : Anthony. Epaulé par Margot, il se lance dans une véritable chasse à l'homme, en faisant fi de la légalité pour y parvenir.
Ce deuxième tome reprend les codes du premier avec une histoire solide et des personnages toujours aussi complexes et surprenants. Toutefois, même si j'ai pris plaisir à cette lecture, j'ai été moins embarquée par cette dernière que lors de la précédente. Je n'ai pas vraiment eu de réelles surprises quant au dénouement de l'intrigue. Je n'ai pas éprouvé beaucoup d'empathie pour Margot, personnage pourtant central. Je me suis un peu perdue dans les méandres de son histoire personnelle, même si elle éclaire les raisons pour lesquelles Margot travaille à la brigade du viol.
Bref, c'est un retour un peu mitigé pour moi, avec une impression de "déjà vu" même si l'ensemble n'est pas dénué de qualité. Il est probable que ma grande attente vis-à-vis de ce nouveau tome soit à l'origine de ce sentiment pour cause de trop grande projection.
Quoi qu'il en soit, un grand merci à Babelio et aux éditions Robert Laffont pour cet envoi.
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Le grand retour d'Antoine Renand avec la suite de l'empathie.
Un plongeon dans la "brigade du viol" avec deux enquêtes bien distinctes : un prédateur fou qui piège ses victimes en les attendant après la discothèque avec des seringues de GHB. Et le mystérieux Serflex, ce monstre qui sévit depuis plusieurs années, par cycle, en prévenant ses victimes de leur viol imminent ou lointain. Les plongeant dans un stress insoutenable au quotidien.
Margot va mener l'enquête avec son collègue Théo, hanté par le souvenir de Marion.. Pas facile pour la jeune femme de se faire une place dans sa nouvelle brigade.

C'est une nouvelle tension qui s'installe au fil des pages.
Un retour assez sombre où chaque personnage se démène avec son passé.
Finiront-ils par coincer Serflex ?
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Il y a 3 ans et demi je faisais la connaissance d'ANTOINE RENAND qui, avec son thriller "l'empathie" a fait une entrée fracassante dans mes auteurs préférés.

Une fois de plus, j'ai sacrifié de nombreuses heures de sommeil car comme beaucoup de lecteurs je n'ai pas pu lâcher ma lecture, tellement addictive.

"l'empathie 2" est dans la même veine que son premier tome. La plume de l'auteur est toujours aussi attrayante, l'intrigue est diabolique avec de multiples rebondissements. J'ai également beaucoup aimé la psychologie des personnages qui est captivante et qui fait que l'on s'y attache ou pas.

Mon seul regret est de n'avoir pas pris le temps de relire le premier tome car je ne me souviens plus du rôle précis d'Anthony Rauch qui tient une place prépondérante dans ce deuxième tome.

Pour conclure je dirais que je suis à nouveau conquise par la plume acérée d'ANTOINE RENAND en espérant qu'il n'attendra pas 3 ans pour nous offrir son prochain thriller. Merci ANTOINE pour ces heures de lecture palpitantes
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Le livre peut vous paraître volumineux mais il se lit tout seul, tellement l'envie de tourner les pages vous fait tenir le rythme de lire.

Antoine Renand nous offre une suite à l'empathie en tenant en haleine le lecteur sans tics de langage comme dans S'adapter ou mourir, ce qui donne une lecture fluide et engageante sans frustrations.

J'ai retrouvé le vrai plaisir de se plonger dans un bon thriller qui vous fait oublier tout le reste.
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