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Citations sur S'adapter ou mourir (77)

Personne ne portait de masque à cette époque. et nos ministres - même et surtout le Premier- se succédaient sur différentes antennes pour affirmer qu'il était inutile de s'en équiper.
( p 529 )
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J’efface. Et tout va bien dans le meilleur des mondes.
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(...) nous nous en voulions d'avoir contribué [à son] ras-le-bol (...). De ne jamais avoir pris le temps, seulement quelques minutes, de parler avec elle, de découvrir ses états d'âme. Peut-être qu'en vidant son sac, en sentant que ne serait-ce qu'une seule personne s'intéressait vraiment à elle, tout aurait été différent. Nous ne le saurons jamais.
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J’efface. Et tout va bien dans le meilleur des mondes.
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Les liens se forment plus rapidement sur internet... Dans ces échanges virtuels prolongés se mêlent les sensations paradoxales d'une distance géographique qui sécurise et d'une très grande proximité dans la discussion. On est chez soi, protégé sans le poids d'un regard posé sur soi. De plus, on idéale l'autre. Et l'on en vient très vite à raconter des choses que l'on n'aurait pas dites en tête à tête à un ami.
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Le jour où j’ai rencontré Yuna, elle avait encore dix-neuf ans.
Ce mardi-là, elle a déboulé dans la salle, tout sourire, avant de s’élancer vers moi et de se débrouiller pour que Nico libère le poste de travail juste à côté du mien, ce qu’il fit sans histoires et même avec une étonnante docilité. Elle se présenta ; je fis de même et elle m’interrompit vite pour m’informer qu’elle me connaissait bien, qu’elle avait vu mes films, que c’était un truc de fou que je sois là, qu’elle était trop contente.
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Tu sais que je n'hésiterai pas, même si je tiens à elle ? Surtout parce que je tiens à elle... je poserai ma main sur ses yeux et je plantera ma lame directement dans son cœur, d'un coup sec.
Il la fixa, un temps, sans agressivité.
En faisant ça, c'est vous deux que j'assassinerai.
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Chaque être a ses limites. Et la perte de l’espoir est certainement la pire de toutes, plus dangereuse encore que la privation d’aliments.
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Baptiste disait vrai ; elle s'ennuyait à mourir, selon l'expression galvaudée, qui dans sa situation prenait pourtant tout son sens. Cela engendrait d'ailleurs le paradoxe de la relation qu'ils entretenaient, Baptiste et elle : lorsqu'il la laissait enfin seule, elle était le plus souvent soulagée car les moments passés ensemble débutaient ou se concluaient par un viol. Toutefois, malgré le dégoût qu'il lui inspirait, sa solitude était tellement intolérable que lorsque vingt-quatre heures s'écoulaient sans qu'il passe la voir, elle avait l'impression de devenir folle.
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Le pervers jour du malaise qu'il produit sur les autres.
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