Citations sur Le Journal Intime de Georgia Nicolson, Tome 6 : Escal.. (8)
En partance pour le rassemblement de clownomobiles dans le véhicule de forte longueur quand un gros 5x5 nous dépasse, permettant à tout un chacun de lire l’autocollant apposé sur sa vitre arrière qui dit comme ça : « Si vous voyez les jumeaux tomber, klaxonnez ! » De mon point de vue perso, sehr sehr le riant.
Moi à Vati :
- On pourrait en avoir un : « Si vous voyez oncle Eddie tomber, ne pas klaxonner ! »
Mutti :
- Ne sois pas si insolente.
Les tabourets-canassons ruent pour de vrai ! Je l’expérimente de visu en esgourdant un gus bramer «Fouette cocher! » dans les haut-causeurs. Trop tard pour descendre de ma monture ! Je soubresaute à perte de vue, m’accrochant à trépas aux cornes de mon équidé. Jasounette manque la chute totale et se retrouve sens dessus dessous. Libby est morte de poi-lade et hurle des « Hue ! Dada ! ».
Libby « aibe » trop le commandant. Elle est assise sur ses rotules à l'arrière du zinc et lui chante sa ritournelle à base de popo. Cligneur entonne avec la gosse.
Mutti se retourne mit sourire et me fait :
- Aaaaaaaaaah, c’est chou, non ?
Petit silence et soudain la mère de famille hurle :
- Oh, mon Dieu, qui conduit l’avion ?
L’agent bigophone à ses collègues du poste pour leur dire de relâcher Grand-Père non sans l’inculper d’usage malheureux du vélocipède et lacune de sonnette. Apparemment la clochette perruche qu’il avait scotchée sur son guidon compte pour de la margarine.
Résultat des courses, le tricentenaire a un casier judiciaire.
Il se trouve finalement que, pour une fois, l’expert en répression est porteur de perspectives riantes. Grand-Père a pris la ligne de départ de son périple de sept cents kilomètres pour Lake District et s’est cassé la binette au bout de sa rue. En ayant eu le temps de renverser l’agent de la force publique monté sur son vélo perso de boulot.
Libby a fait une descente dans ma chambre et m'a chourré Sa statue. Je crains que depuis Jésus ne soit plus tout à fait le même. La dernière fois que je L’ai vu, la charmante enfant Lui avait passé une robe et II s’appelait Sandra, nouvelle meilleure copine de la Barbie.
J'avis le Père Porte-à-côté qui jardine affublé de son short monumental. Le surchargé pondéral pourrait y dissimuler une petite contrée africaine que personne ne s'en apercevrait.
Sur les rotules en train de bécoter l'arrière de la guibole de Rosie sous les mirettes du Top Gang.
Pourquoi me livré-je à ceci ?
Rosie me hurle ses instructions :
-Oui, oui, bien. Très bien. Inspiration. Trop de dentition ! Trop de dentition ! Un rien plus aspirant. Folâtrerie de langue et... final.
Nom d'une palurine flamboyante de première main.
Vous est-il déjà arrivé de bécoter l'arrière-guibole d'un quidam ? Qui plus est celui d'une de vos potesses munie d'une fausse pilosité faciale ? J'ose espérer que vous ne serez jamais acculé à une telle extrémité, c'est tout ce que j'ai à dire.