Mysteries of Thorn Manor

Une pensée terrible lui vint alors: après une vie entière passée ensemble, ils mourraient, mais l'un d'eux partirait avant l'autre. Un jour, l'un allait perdre l'autre. C'était cela que d'aimer quelqu'un.

- Tu me l'avais tout de même dit en plaisantant sur la poésie, après t'être effondré sur le tapis de dame Ingram, releva-t-elle, incapable de s'en empêcher.
- Je ne dirais pas que je me suis effondré. Je gisais héroïquement. Ce qui est une position reconnue par l'usage pour des aveux romantiques.

— Toutes les histoires n'ont pas une fin heureuse, c'est vrai, dit-elle. Mais c'est le cas de la plupart, si on a le courage de continuer à les lire jusqu'au point final.

Je dois dire que je suis choqué, dit- il en haussant les sourcils. Serais-je en train de vous corrompre, Elisabeth Scrivener ?

"Toutes les histoires n'ont pas une fin heureuse, c'est vrai, dit-elle. Mais c'est le cas de la plupart, si on a le courage de continuer à les lire jusqu'au point final"

- Toutes les histoires n'ont pas une fin heureuse, c'est vrai, dit-elle. Mais c'est le cas de la plupart, si on a le courage de continuer à les lire jusqu'au point final.
- Comment peux-tu en être aussi sûre ?
Il chercha la réponse sur son visage en la regardant intensément, comme si elle était une merveille rare et surprenante, une fleur éclose au milieu des pavés, ou une lueur inattendue au coeur de la nuit.

She wanted to kiss his exposed shoulder, his scarred collarbone, the nape of his neck, as though in doing so she could drive away his demons.

Inutile de me remercier, Scrivener, dit Nathaniel, encore à quatre pattes, en train d'observer les fissures de la plinthe. C'est toujours un plaisir de ramper à terre pour toi.

𝑻𝒐𝒖𝒕𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒊𝒔𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒏'𝒐𝒏𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒊𝒏 𝒉𝒆𝒖𝒓𝒆𝒖𝒔𝒆, 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒗𝒓𝒂𝒊, 𝒅𝒊𝒕-𝒆𝒍𝒍��. 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒄𝒂𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒖𝒑𝒂𝒓𝒕 𝒔𝒊 𝒐𝒏 𝒂 𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒏𝒖𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒊𝒓𝒆 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒂𝒖 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝒇𝒊𝒏𝒂𝒍.

"Elizabeth était fière du travail qu'elle avait accompli dans la bibliothèque de Nathaniel. Même s'il avait pris soin de ses grimoires, ces derniers s'étaient détériorés après avoir été privés durant des années de l'attention d'une bibliothécaire"