Ils se rencontrent en vacances, cela devait durer une semaine pas plus... Mais lorsqu'elle décide de s'inscrire dans une agence d'escorte de luxe après que ces riches parents lui ait coupé les vivres, son client c'est lui...
J'ai commencé cette série un peu par hasard, et une fois de plus j'ai été happé. J'aime le fait qu'il y 'est de l'intrigue, des secrets, des rebondissements.
Les personnages sont attachants, le beau père d'Alex est detestable au plus haut point.
Les manigances des uns et des autres promettent une série très riche en rebondissements
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Elle me rappelait que la façon de vivre des Montague n’était rien d’autre qu’un spectacle, une vitrine à présenter au monde extérieur. Chaque fois que j’étais obligée d’assister à un événement public ou de faire quelque chose que je ne voulais pas faire, elle me remontait le moral en me rappelant que tout ceci n’était qu’un cirque. C’était un réconfort. Je pouvais faire tout ce que j’étais censée faire tant que je me rappelais qui j’étais vraiment. Elle me disait que la beauté extérieure n’était pas aussi importante que la beauté intérieure. Et elle ne manquait jamais de souligner à quel point elle me trouvait belle.
Tu es très belle et, dans cette tenue, tu es renversante. Écoute-moi. Je sais qu’il y a des histoires dont tu ne m’as jamais parlé et ça ne me regarde pas. Ces histoires concernent Alex, ou peut-être Alexandria, je ne sais pas. Ce soir, sois Charli. Sois audacieuse, drôle, et réalise tes fantasmes.
» Combien de fois un homme torride a-t-il débarqué dans ta vie sans aucune implication sur ton avenir?
Pour le dire simplement, je te trouve attirante, très attirante, vraiment. Tu t’exprimes bien, tu es vive, j’aime ça. Crois-moi, quand je décide qu’une femme est mienne, je tiens bon. Mais si on instaure comme règle de base que l’on ne doit rien attendre de plus de la semaine qui vient, je peux le faire.
Sa poitrine n’était pas seulement musclée, elle était sculptée, et je me rappelais vaguement ses cheveux foncés et sa barbe naissante. À présent, la peau me picotait en repensant au toucher de cette dernière. C’était si réel que j’avais l’impression de l’avoir sentie sur mes parties les plus intimes.
Et peu importait qu’on fût au vingt et unième siècle : il n’avait aucune prise sur les aristocrates. Ceci était et serait toujours le monde où les apparences l’emportaient sur tout le reste. Les secrets qui assombrissaient les couloirs et les pas de porte resteraient à jamais tus.