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3.68/5 (sur 94 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Stasia Black est auteure de romance.

Elle a grandi au Texas, s’est gelée dans le Minnesota pendant cinq ans et connaît aujourd’hui le bonheur de vivre sous le soleil de la Californie, avec son mari et son fils.

son site : https://www.stasiablack.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/StasiaBlackAuthor/
Twitter : https://mobile.twitter.com/stasiawritesmut

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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
À quoi pensait-elle ? Si elle s’endormait, elle était morte. Elle se ferait violer, assassiner et subirait toutes les choses terribles dont sa mère l’avait prévenue. Elles étaient en train d’arriver. D’abord avec Paul, et maintenant être droguée et kidnappée, oh dieux, dieux…
Stop ! Arrête de paniquer.
Elle se força à ouvrir les yeux au maximum et essaya de réfléchir. Elle n’avait bu qu’un tiers du verre de jus de cranberry. Elle devrait pouvoir se tirer de là. L’homme l’emmenait quelque part, mais ils n’étaient pas encore arrivés. Elle avait encore le temps.
La pluie éclaboussait les vitres tandis que la voiture roulait dans les rues sombres. Ils étaient encore en ville. OK. Elle devait s’échapper de la voiture au prochain arrêt. L’homme comptait manifestement sur le fait qu’elle était évanouie ou trop engourdie pour tenter de s’échapper.
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Les flics ne font rien. Soit ils sont corrompus soit ils n’ont aucun pouvoir. La loi et l’ordre n’existent pas, seulement la violence. Les forts écrasent les faibles et la mort court les rues. Ce n’est pas sans raison qu’on appelle la partie de la ville où tu étais en boîte de nuit « les Enfers ». Mais ce n’était pas seulement les quartiers sud. Toute la ville est sur le fil du rasoir. Et ce sont des hommes comme moi qui l’empêchent de basculer et sombrer dans le chaos. C’est dangereux. Le monde extérieur est dangereux. Combien de fois sa mère lui avait-elle répété ? Dangereux. Dangereux. Dangereux. – Je ne veux pas vivre dans la peur toute ma vie, murmura Cora.
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Ses lèvres étaient douces contre les siennes, mais seulement au début. Car comme cet homme, elles devinrent rapidement exigeantes.
Et Cora était incapable de faire autre chose qu’obéir.
Elle entrouvrit les lèvres pour respirer et il en profita pour plonger la langue dans sa bouche.
On ne l’avait jamais embrassée, un vrai baiser, et… Elle leva les bras et les enroula autour des épaules larges de Marcus, ne serait-ce que pour s’accrocher à quelque chose et s’y ancrer. Car elle avait l’impression qu’elle pouvait s’envoler haut, très haut.
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Elle faillit ouvrir, mais s’arrêta net et jeta un œil par le judas comme Marcus le lui avait demandé. Le réflexe en ville, lui avait-il dit. Ne présume jamais que tu sais qui est derrière la porte.
Il parlait comme sa mère. Mais elle l’écouta quand même.
La personne sur le seuil avait la tête penchée. Elle fronça les sourcils et attendit qu’il se redresse pour voir son visage. Ce n’était certainement pas Sharo, qui avait le crâne rasé. Celui qu’elle apercevait avait une chevelure brune, ébouriffée et humide comme s’il avait plu dehors.
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Dans quelques semaines, elle serait mariée. Mariée. À un homme qui l’intimidait et l’enivrait tout à la fois. Il était entré dans sa vie, et maintenant il était sa vie. Chaque partie de son monde appartenait à Marcus.
Sauf cette petite parcelle. Serait-ce ainsi après le mariage ? Tout ce qui représentait Marcus engloutirait ce qu’avait été Cora ? Devrait-elle se battre pour conserver un peu d’autonomie ? Mais chaque fois qu’elle était avec Marcus, tout ce qu’elle voulait c’était plus de cet homme.
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On dit que Cupidon tire des flèches, mais là c’était plutôt un poing, un bélier, qui lui transperçait le ventre, lui arrachait les entrailles et les remplaçait par une lumière dorée.
Était-ce parce qu’elle avait été privée toute sa vie de compagnie masculine qu’elle tombait en pâmoison devant le premier homme qui l’approchait ?
Non, cela ne pouvait pas être ça. Elle avait ressenti du dégoût quand Paul l’avait touchée.
Donc, c’était uniquement dû à Marcus.
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Elle s’était habituée à recevoir des cadeaux durant les semaines où son travail l’occupait jour et nuit, mais celui-ci la pétrifia quand elle déplia le tissu. C’était une robe dans une étoffe irisée gris clair brodée de perles qui scintillaient comme les lumières de la ville. Elle était accompagnée d’un écrin. Elle l’ouvrit et découvrit un collier… en forme de larme, serti de deux diamants et d’une autre pierre précieuse, grosse et rouge, dont elle ignorait le nom.
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Bien que plus d’une fois, elle se soit faufilée dans le placard de sa mère et ait enfilé les escarpins cachés dans une boîte tout au fond. Elle avait failli se casser la cheville les premières fois qu’elle avait essayé de marcher avec, mais elle avait fini par s’y habituer. Elle avait rêvé du genre de vie que Marcus décrivait, mais de la même manière qu’elle rêvait de chevaliers et de châteaux en lisant. Pas comme une chose qui pourrait être réelle un jour.
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Elle voulait lui dire ce qu’elle ressentait pour lui. Ce n’était pas seulement de la gratitude pour tout ce qu’il avait fait. Même s’il ne lui avait rien donné, elle aurait ressenti la même chose pour lui. Elle voyait son comportement avec tout le monde. Froid. Distant. Le plus grand cadeau qu’il lui faisait, c’était d’être lui-même. Il l’avait laissée entrer dans son intimité alors qu’il n’avait jamais laissé entrer personne d’autre que Sharo.
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Avec son visage racé et ses pommettes sculptées, il ressemblait lui-même à un mannequin. Il n’était pas joli, mais la force et la symétrie de ses traits dégageaient de la puissance. Une beauté intemporelle. À côté de lui, les types ordinaires étaient d’une laideur à pleurer — jusqu’à ce que vous compreniez qu’ils étaient simplement normaux et que Marcus était un dieu. De simples mortels ne pouvaient pas rivaliser avec lui.
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