AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,67

sur 2301 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quand un homme et une femme évoluent côte à côte, entre amour, amitié et carrière. Tout se passe en Irlande, et la relation de Conell et Marianne est loin d'être de tout repos.
J'ai trouvé le livre déstabilisant : beaucoup d'ellipse et une façon différente de mettre en page les dialogues. Mais on s'y habitue et on finit par plonger dans l'histoire jusqu'au cou.
Commenter  J’apprécie          00
Marianne et Connell sont deux adolescents vivant dans une petite ville irlandaise.

Marianne est issue d'une famille aisée peu aimante et déviante; elle vit avec sa
Mère et son frère aîné. Elle aime la littérature et la solitude, étant maladroite et peu à l'aise avec les adolescents de son âge qui la trouvent « bizarre », elle se sent différente sans trop savoir pourquoi et est souvent l'objet de raillerie au lycée.

Connell est quant à lui issu d'une famille modeste, sa mère est femme de ménage et travaille pour la mère de Marianne. Il est l'enfant unique d'une mère célibataire aimante et attentive, il est la coqueluche du Lycée.

Tous deux sont de brillants élèves.

Ils connaissent ensemble leur première histoire d'amour et pourtant Connell souhaite garder secrète leur idylle, soucieux du qu'en dira-t-on. Si bien qu'il invite une autre fille au bal de fin d'année, brisant le coeur de Marianne habituée a être délaissée.

Un an plus tard, tous deux se sont inscrits au Trinity collège de Dublin où ils effectuent des études littéraires brillantes.

A présent, Marianne est une étudiante bien insérée et populaire en raison de son milieu social tandis que Connell est à l'écart.

Ils sont à nouveau attirés l'un par l'autre, alternent retrouvailles, séparations et incompréhensions dues à leurs silences induis par leurs sentiments respectifs d'anormalité.

Ce roman est bien plus qu'une simple histoire d'amour, il traite de l'ambivalence de l'adolescence, de l'amitié, du sexe, du harcèlement, de la maltraitance et de ses effets sur la difficulté à se construire et des errances affectives, plus simplement sur la difficulté de grandir sans personne pour vous donner confiance, dans une sorte d'indifférence affective nuisible.

Sally ROONEY tisse le fil de son roman de main de maître avec une analyse très fine des rapports humains, de ceux qui n'acceptent pas d'être eux-mêmes.





Commenter  J’apprécie          40
Normal People c'est quelque chose entre Dawson et Fifty Shades et j'ai aimé ce livre et la série TV, et c'est une litote. Et j'ai aimé Marianne, passionnément. Pourtant j'aime les critiques négatives de ceux qui ne l'ont pas aimé, plus originales, plus vraies que "Connell et Marianne. Moi, je les ai trouvés émouvants, poignants. Sensuels. Incandescents." Mais je dirai aussi que le livre est délicat, intense, troublant. Beaucoup l'ont dit. C'est moi qui ajoute troublant. Très troublant même.
En ce mois de février de cette année-là c'est la guerre dans le monde, qu'on redécouvre, énorme, terrible, oubliée, et c'est l'amour dans ce livre que je découvre, énorme et terrible aussi, oublié aussi. Et finalement il n'y a que ça au monde et dans les livres, l'amour et la guerre, il n'y a toujours eu que ça, depuis Homère.
La construction est elliptique, stroboscopique, dix-huit moments de vie de deux jeunes gens choisis dans leurs quatre années de liaison chaotique, images fixes donnant l'illusion d'un flux continu, dont les vides et l'implicite sont très parlants, comme ça l'est aussi pour nos propres vies et mémoires.
Une langue pure, sèche, nécessaire, neutre comme celle d'une Yasmina Reza ou d'un Modiano, sans gras, sans flou, sans bavardages ni digressions, sans autosatisfaction stylistique, sans usurpation du premier rôle, effacée et respectueuse de l'histoire et des personnages.
Un mariage d'amour du récit et des dialogues dans un monde où les paroles sont des gestes et les gestes des paroles et dans un texte fluide sans ponctuation cassante et sans signaux sous-estimant et infantilisant le lecteur.
Un peu de contexte géographique, l'Irlande et Dublin, peu, de contexte social, l'écart entre les mondes des deux amoureux, peu, de contexte politique, Snowden et la NSA, le travail et l'argent, peu, comme si rien ou presque rien ne devait distraire le lecteur de la relation amoureuse en question.
Peu d'action, très peu d'action, et c'est tant mieux tellement les romans d'aventure et les films d'actions sont saoulants et incohérents. Nous sommes normaux nous voulons des histoires normales et des personnages normaux.
Un peu de personnages autour de Connell et Marianne, peu, et peu dessinés, juste esquissés, schématisés, une sorte de décor sans importance. Sommairement gentils : Karen et Joanna, les bonnes copines de Marianne, petites, grosses et gay, Lorraine, la mère de Connell, solide et brave, comme sa famille, Niall, le bon copain de Connell. le reste ce sont des filles garces et sexy, des garçons bourrins de la campagne, des types riches et tordus de la ville et la famille méchante de Marianne. Mais tout ça « normalement » brave, gentil, garce, méchant et tordu, cette normalité attirant Marianne et Connell comme un Paradis perdu.
Marianne c'est Sally Roony, l'auteur, évidemment, avec toute sa richesse, son vécu, sa complexité, sa candeur, son intelligence. Parfaitement réelle, charnelle, crédible, authentique et belle. Connell c'est un con. Quand on croise une Marianne et qu'elle vous aime on ne passe pas 4 ans et 266 pages à la blesser, à la quitter, à pleurnicher, à déprimer, à revenir, à repartir, à finalement barrer à New-York pour un master d'écriture à la con. Même si elle a renoncé à le suivre. Même si tout aurait continué à foirer s'il était resté. Et puis Connell le surdoué, le créatif, le talentueux, on ne lit rien de créatif et de talentueux dans ses textes et ses paroles tout au long du livre, c'est con...
Et pourtant Connell le bidon, Connell le lâche, qui a honte de Marianne la bizarre du lycée, qui ne la défend pas contre ses copains ivrognes et beaufs, qui la laisse s'enfoncer avec des tordus en fac à Trinity et en Érasmus en Suède, qui ne comprend rien, c'est peut-être tout le monde, tous les garçons, tous les hommes, que Musset qualifiait de « menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ».
Et pourtant Marianne qui n'y croit pas, qui n'y croit plus, qui ne comprend plus rien, qui souffre, se livre, s'expose, s'humilie et se dégrade sans foi ni loi c'est peut-être tout le monde aussi, toutes les filles, toutes les femmes, « perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées » selon Musset encore.
Et pourtant Normal People nous fait attendre et passionnément désirer les moments de retrouvailles des jeunes amants qui réaffirment comme Musset toujours qu' « il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux ».
Sauf que ça ne dure pas, que c'est impossible, ou plutôt qu'il est impossible que ça dure. Pourquoi ça foire ? Comment ? Quand ? Où ? Sally Rooney ne le dit pas, ne le sait pas, personne ne le sait. On voit des obstacles, on revoit des barrages, des épines, mais voit-on les vrais obstacles ? Était-ce les vrais barrages, les vraies épines ? Sa romance finit mal, sans happy end en tout cas, ce n'est pas La Demoiselle d'Avignon, faut pas rêver, il n'y aura pas de saison 2...
Comme si Sally Rooney avait posé sur sa table une Marianne, ange malmené et sensible à haut quotient intellectuel, et un Connell, sportif brave et fragile mais pas très finaud, sur son papier, sur une nappe normale où ils devaient exposer, risquer et soumettre leur différence, comme si elle les avait laissé évoluer, s'agiter, se rapprocher, s'éloigner, au gré des hasards et des malentendus, comment elle si ne savait pas trop pourquoi ils évoluaient comme ça. L'absence de jugements et de réponses est une des autres qualités de ce roman. le monde est comme ça, c'est la vie, c'est pas grave, semble dire Marianne dans sa dernière phrase « Tu devrais partir, Je serai toujours là. Tu le sais. ». Les questions sont pourtant essentielles et lourdes. Marianne et Connell ont connu quelque chose, fugitivement, mais qui « sera toujours là », qui les a changés, qui les protégera peut-être. Quelque chose qui fait que « ce n'est pas pareil avec les autres », qui fait qu'on peut se dire des choses qu'on ne dit pas aux autres, nu dans la communication comme dans l'amour. Mais les autres ? Ceux qui n'ont rien connu ? Sans cette chose il n'y a pas grand-chose. Les vantardises et les nudes des bourrins du lycée. Les pratiques sadiques de l'étudiant Jamie et du photographe Lukas. La vénalité et les plans à trois de la copine Peggy. Les violences et le mépris de la famille de Marianne. L'alcool et la cocaïne. Sans parler des mille et un gadgets et scénarios sado-maso permettant de s'éclater en abaissant et dégradant un partenaire, en s'abaissant et en se dégradant. Sans parler de toute la panoplie des habitudes et des outils des adeptes du kinky sex abondamment, ingénument et innocemment détaillée dans les magazines féminins, les sites de bien-être, les pages de coaching sexuel et les videos d'influenceurs, en un mot dans la nouvelle littérature de la génération Y des digital natives qui n'a lu que des mangas, qui n'a vu que des jeux de gamers, qui n'a entendu les chansons d'amour de Piaf que pour en rire et s'en moquer en karaoké. Quand on ne peut ni ne sait se dépasser et se fondre délicieusement et tendrement dans l'autre et avec l'autre on transgresse et on jouit comme on peut, avec la ceinture ou les menottes ou les deux...
Le succès du roman et de la série TV tient autant au fait que Sally Ronney coche, sans doute involontairement, toute les cases de la bien-pensance et de l'air du temps (portrait d'une époque et d'une génération, celle des millennials, nostalgie des angoisses de l'adolescence, scènes de sexe, souci du consentement, présence des minorités gay et de couleur, surtout dans la série TV où la psycho et le photographe suédois sont noirs, enfance maltraitée conduisant à la soumission et au SM, au grand dam des communautés BDSM qui ont protesté avec virulence, douce désillusion et anti romance, capitalisme coupable, texte et langue faciles) qu'au fait que la si jolie première fois entre Marianne et Connell et l'amour infini de la jeune fille pour le jeune homme contrastent violemment avec les images de Marianne volontairement soumise, attachée, giflée, frappée, étranglée, insultée par ses amants Jamie et Lukas. Et ce contraste chez la jeune fille entre les deux temps et aspects de sa vie est d'autant plus troublant, fascinant, puissant, sombre, vénéneux, toxique qu'il est possible, crédible, logique, pertinent, réaliste et certainement courant et répandu...
Commenter  J’apprécie          20
J'avais hâte de lire Normal People après avoir vu et adoré la série. Et je ne suis absolument pas déçue ! C'est rare, mais la série est très fidèle au livre.

La plume de Sally Rooney est particulière, certains diront que ces livres sont plats. Je trouve personnellement qu'ils sont rempli de poésie et de vérité. Les dialogues ne sont pas édités de manière classique, ce qui fait que l'on peut se perdre dans la lecture et que certains peuvent même abandonner.

Mais cette histoire d'amour/amitié entre Marianne et Connell est tout simplement sublime. Tout pourrait les opposer et pourtant ils se comprennent si bien.
On les suit durant plusieurs années, on suit donc leur évolution, leur transformation. Ils n'ont pas un quotidien tout beau, tout rose, reflet assez réel de notre société.
Commenter  J’apprécie          00
Un bandeau jaune plutôt racoleur entoure le livre : « Tout le monde adore Normal People, nous aussi ! » Même si ce pléonasme me fait sourire, il me met un peu la pression par son double message ambigu.
Dès les premières lignes, je comprends que je vais moi aussi adorer Normal People.
On va suivre Marianne et Connell sur une période de quatre ans, de janvier 2011 à février 2015.
Quand l'histoire débute, ils sont tous deux au lycée dans une ville d'Irlande. Ils sont passionnés de littérature. Connell explique chercher dans les livres à mieux comprendre le monde et les gens pour s'en approcher.
Elle est issue d'une famille aisée. Elle est un peu considérée comme la paria bourgeoise, solitaire et marginale, bien que très douée. Lui, c'est le beau gosse du lycée, la vedette de l'équipe de foot. Sa mère travaille comme femme de ménage chez la mère de Marianne. Deux familles sans père.
Marianne et Connell vont s'aimer tout au long du livre, à travers leur passage à l'âge adulte, intensément, crûment, inconditionnellement. L'auteure, Sally Rooney, sait insuffler un formidable rythme à son histoire par ses dialogues tellement justes, par ses silences aussi.
Les deux jeunes sont tous les deux dans un autre espace temps et sensoriel que le monde qui les englobe, et auquel ils participent pourtant.
À l'université, ils ne se sentent ni l'un ni l'autre à l'aise avec la « méritocratie » qui les cerne, alors qu'ils touchent l'excellence.
Leur passion sera pavée de quiproquos, de malentendus, d'incompréhensions, d'indécisions, et ils seront alors dépassés, résignés, séparés. « C'est toujours comme ça, la vie ? » demandera Connell.
Mais leur amour ne fléchira néanmoins pas. Lui est intimement persuadé qu'elle le rend meilleur. « Bah, tu es plus intelligente que moi. » Elle est consciente « d'être capable de désirer ce qu'elle ne veut pas. » Marianne et Connell sont complexes, maladroits, touchants, émouvants, beaux, d'une sincérité saisissante.
Normal People est assurément un grand roman, un de ceux qu'on n'a pas envie de quitter.
Commenter  J’apprécie          80
Petit chef d'oeuvre !
Un magnifique roman sur deux personnages qui ne cessent de se croiser entre le lycée et le début de leur vie d'adulte. Il y a là quelque chose de Quand Harry rencontre Sally, mais dans une version bien moins amusante.
Sally Rooney parvient à donner vie à cette relation de manière magistrale mais elle le fait avec un extraordinaire finesse. Elle n'écrit pas pour ne rien dire car il y a là des choses remarquables sur ces moments charnière de l'existence et sur l'amour. J'ai vraiment adoré ce livre que j'ai eu envie de relire presque aussitôt. Connell et Marianne ne cessent de se croiser, les chapitres les suivent de manière très irrégulière. Parfois c'est quelques jours plus tard et parfois on laisse passer 6 mois. le temps d'être intrigué mais aussi surpris par leur destins. Je ne révélerai rien de certains aspects dramatiques de leur histoire. On peut juste ajouter que Connell étudie la littérature. Et c'est bien de littérature qu'il est ici question. On est bien loin du feel-good book et de manière surprenante le livre m'a furtivement fait penser, en bien plus agréable à lire, aux premiers beaux livres de Bret Eston Ellis en ce sens que je découvrais alors comme ici une voix singulière sur la jeunesse et l'amour. Mais que ceux qui détestent cet auteur se rassurent, bien moins de drogue dans ce livre-ci. (Si ce n'est le livre lui-même ?)
Bonne lecture !
Commenter  J’apprécie          235
J'avais adoré la série et c'est tout naturellement que j'ai été conquise par la version originale papier. Une très belle adaptation soit dit en passant, très fidèle à la version proposée par Sally Rooney. J'ai été conquise par la justesse des mots/maux. Une plume qui nous embarque aux côtés de Marianne & Connell, leurs failles, leurs échecs, leur sensibilité. Un roman très beau à (re)lire !
Commenter  J’apprécie          20
Connell et Marianne fréquentent le même lycée dans une petite ville irlandaise. La mère de Connell est femme de ménage chez Marianne.

Connell et Marianne vont en venir à coucher ensemble de manière et des sentiments apparaissent des deux côtés.

Or Connell n'assume pas cette relation car autant lui est populaire au lycée mais Marianne est, au mieux, la fille bizarre à qui personne n'ose parler.

Ce sont des rapports compliqués entre deux jeunes , des rapports qui vont évoluer en même temps qu'eux.
Que cela-va-til donner?

J'ai aimé ce livre qui parle de jeunesse, de personnalités qui se cherchent l'une l'autre mais se construisent en même temps.
Ils sont attachants. Je ne les ai pas toujours compris mais j'ai apprécié cette lecture grâce à eux, ces jeunes atypiques.

Je recommande
Commenter  J’apprécie          24
Normal People a clairement été une sensation dans le monde littéraire de Tiktok et Instagram.
Je partage vraiment c'est avis, à condition de lire en anglais ! Mon avis n'est peut-être celui de tous mais je pense être très sensible à l'écrire de Sally Rooney. L'ambiance du livre m'a tout de suite plu et j'ai accroché avec les deux personnages. Ce livre s'articule en deux grand moments, le premier où Marianne est la fille impopulaire et même harcelé par les autres élèves et où Connell est le jeune garçon populaire qui joue dans l'équipe de rugby. C'est le deuxième moment que je préfère, ils rentrent tous les deux à l'université et Marianne devient entourée de gens tandis que Connell a du mal à se faire des amis. Ce jeu est très interessant.
Le personnage de Connell est clairement mon préféré, c'est un personnage touchant et qui montre une image de la masculinité très rafraichissante. Il est sensible et anxieux, une image d'un homme qui n'est pas souvent dépeinte.
C'est une histoire de jeunesse et de premier amour, Sally Rooney l'a décrit d'une façon très intellectuelle et pensée par les deux personnages. Ce sont deux personnages marqués par les autres et leur peur du jugement, qui les a toujours freinés dans leur sentiment, si vous n'aimez pas les histoires d'amour "on and off", surtout ne lisez pas ce livre.
Pour conclure, ce livre est un livre d'amour rafraichissant et nouveau qui permet de comprendre et d'être témoin d'un premier amour puissant et ravageur.
Commenter  J’apprécie          00
Ce livre est le premier que je lisais intégralement en anglais et j'ai donc mis un peu plus de temps que d'habitude.
De plus, les dialogues ne sont pas indiqués par des tirets, comme c'est habituellement le cas, et il m'a donc fallu un peu de temps pour m'y faire.

Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, j'ai trouvé agréable de lire quelque chose de simple qui pourrait arriver à n'importe qui et n'importe où dans le monde. Je me suis facilement identifiée aux deux personnages principaux et la différence de point de vue (restant omniscient, mais parlant de la vision de l'un ou de l'autre des deux protagonistes) permet une vue d'ensemble (mais égalitaire) sur leur histoire.

Après, pour être honnête, ce n'est pas la grande histoire d'amour ultra romantique à laquelle les critiques m'avaient préparée. Ils se découvrent sexuellement, ils se posent un million de questions et ne savent jamais se dire les choses clairement... C'est une histoire tout ce qu'il y a de plus normal, plaisante à lire, mais sans grand rebondissements !



Commenter  J’apprécie          80




Lecteurs (4738) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz de la Saint-Patrick

Qui est Saint-Patrick?

Le saint patron de l’Irlande
Le saint-patron des brasseurs

8 questions
254 lecteurs ont répondu
Thèmes : fêtes , irlandais , irlande , bière , barCréer un quiz sur ce livre

{* *}