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Citations sur Rose (112)

" Rose, Rose enchanteresse, à la tige sans épines, ornée de bourgeons de l'amour et de la tendresse."
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Le besoin de lire s' emparait de moi et exerçait sa délicieuse et grisante emprise. Plus je lisais, plus j'avais faim. Chaque ouvrage était riche de promesses, chaque page que je tournais était une équipée, l'attrait d'un autre monde.
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J'ai besoin de vous comme les fleurs ont besoin de la pluie.
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Une lettre peut révéler tant d'intimité ! Une écriture familière a la même force qu'une voix.
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Les poèmes de Mr Baudelaire regorgent d'images, de sons et de couleurs...Mon préféré est"Le flacon", où les odeurs recèlent des souvenirs, et le parfum ressuscite le passé. Je sais que la senteur des roses me rappellera toujours Alexandrine et la baronne. L'eau de Cologne et le talc, c'est vous, mon amour. Le lait chaud et le miel, voilà Baptiste. La verveine et ma menthe, Maman Odette. Si vous aviez été là, je vous aurais lu ce poème, encore et encore.
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je souhaiterais tant gouter de nouveau à la délicate senteur de votre peau, mes lèvres brulent de vous couvrir de mille baisers, mes mains frémissent à l'idée de caresser les courbes de votre corps désirable que je suis le seul à connaitre et à vénérer. Je veux vous sentir onduler contre moi sous la tendresse de mes caresse, sous la violence suave de mon étreinte ; j'ai faim de votre amour, je veux savourer la douceur de votre chair, votre intimité. Je veux retrouver l'extase fiévreuse que nous partageâmes en tant qu'amants, mari et femme profondément, véritablement amoureux, là-haut dans le royaume paisible de notre chambre
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Face à la mort d'un enfant, les hommes sont-ils plus forts que les femmes parce qu'ils ne mettent pas au monde ? Les mères, ne sont-elles pas attachées à leurs enfants par quelque lien secret, intime et physique que les pères ne peuvent connaître ?
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« J'étais tellement folle de chagrin que je ne parvenais pas à comprendre votre calme. Je me rappelle avoir pensé : face à la mort d'un enfant, les hommes sont-ils plus forts que les femmes parce qu'ils ne mettent pas au monde ? Les mères ne sont-elles pas attachées à leurs enfants par quelque lien secret, intime et physique que les pères ne peuvent connaître ? »

« Personne ne se souviendra de la rue Childebert, de la rue d'Erfurth, la rue Sainte-Marthe. Personne ne se souviendra du Paris que nous aimions, vous et moi »

« Oh, quelle douleur, quelle horrible douleur. Je ne peux la laisser entrer. Je dois lutter, ne pas lui céder. Si je le fais, je sombrerai en elle, elle me videra de mes forces. »

« D'ici une centaine d'années, quand les gens vivront dans un monde moderne que nul ne peut imaginer, pas même les plus aventureux des écrivains ou des peintres, pas même vous, mon amour, quand vous vous plaisiez à envisager l'avenir, les petites rues paisibles dessinant comme les allées d'un cloître autour de l'église seraient enfouies et oubliées, pour toujours. »
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D'ici une centaine d'années, quand les gens vivront dans un monde moderne que nul ne peut imaginer, pas même les plus aventureux des écrivains ou des peintres, pas même vous, mon amour, quand vous vous plaisiez à envisager l'avenir, les petites rues paisibles dessinant comme les allées d'un cloître autour de l'église seraient enfouies et oubliées, pour toujours. Personne ne se souviendra de la rue Childebert, de la rue d'Erfurth, la rue Sainte-Marthe. Personne ne se souviendra du Paris que nous aimions, vous et moi.
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Je peux les entendre remonter notre rue. Un grondement étrange, menaçant. Des chocs et des coups. Le sol qui frémit sous mes pieds. Et les cris, aussi. Des voix d'hommes, fortes, excitées. Le hennissement des chevaux, le martèlement des sabots. La rumeur d'une bataille, comme en ce terrible mois de juillet si chaud où notre fille est née, cette heure sanglante où la ville s'est hérissée de barricades. L'odeur d'une bataille. Des nuages de poussière suffocants. Une fumée âcre. Terre et gravats.
Je vous écris ces mots assise à la table vide. Les meubles ont été emballés la semaine dernière et expédiés à Tours chez Violette. Ils ont laissé la table, trop encombrante, ainsi que la lourde cuisinière en émail. Ils étaient pressés, et je n'ai pu souffrir ce spectacle. J'en ai haï chaque minute. La maison dépouillée de tous ses biens en un si court instant. Votre maison, celle dont vous pensiez qu'elle serait épargnée. Ô, mon amour, n'ayez crainte, je ne partirai jamais.
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