De ma vie, je n'étais entré dans une pièce sans aussitôt me former une opinion sur ce que les personnes présentes pensaient ou faisaient. Pour moi, c'était un réflexe aussi naturel que respirer.
En tant que pensionnaires, on veillait à assouvir nos besoins primaires, gavant nos esprits et nos corps de textes et vérités, mais nous mourions de faim de vivre, et ce d'une façon désespérée, catastrophique, terminale.