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Citations sur Chronique du tueur de roi, tome 2.1 : La peur du sage (57)

Il est trois choses que l'homme sage doit redouter : une tempête sur la mer, une nuit sans lune et la colère de l'homme débonnaire.
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Les livres ne sont qu'un pauvre substitut à la compagnie féminine, mais ils sont plus faciles à trouver.
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J'ai entendu ce que les poètes écrivent des femmes. Ils rimaillent, abusent du dithyrambe et ils mentent. J'ai vu des marins sur le rivage regarder sans un mot les vagues qui se forment lentement sur la mer. J'ai vu de vieux soldats au cœur endurci avoir la larme à l’œil à la seule vue des couleurs de leur roi claquant dans le vent. Ces hommes ne connaissent rien à l'amour. L'amour, vous ne le trouverez ni dans les mots d'un poète, ni dans le regard nostalgique des marins. Si vous voulez savoir ce que c'est, regardez les mains d'un ménestrel lorsqu'il interprète sa musique. Lui connaît l'amour.
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Autrefois, quand les étudiants aspiraient tous à devenir nommeurs, les choses étaient différentes. Le nom que les novices étaient encouragés à chercher était celui du vent. Une fois qu'ils l'avaient trouvé, leur esprit était tiré de sa torpeur et les autres noms étaient plus faciles à trouver. Cependant, certains étudiants avaient des problèmes pour découvrir le nom du vent. Il y avait trop peu de corniches, ici, trop peu de risques. Alors ils partaient tenter leur chance, vivaient des aventures, s'adonnaient à la chasse au trésor et au secret. Les choses ont changé. Aujourd'hui il y a encore moins de corniches qu'autrefois. Le monde est moins sauvage. Il y a mois de magie, plus de secrets, et une poignée de personnages seulement connaissent le nom du vent.
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Autrefois, ce lieu était celui où l'on venait apprendre des choses secrètes. Hommes et femmes accouraient à l'Université pour y étudier l'état du monde. Dans cette Université là, nul autre savoir n'était porté plus haut que celui de la science des noms. Tout le reste n'était que vil métal. Les nommeurs arpentaient les rues tels des dieux en miniature. Ils faisaient des choses terribles et merveilleuses et tous les autres les enviaient. Tous ces étudiants étaient là pour apprendre le nom des choses. Mais dans cette discipline il ne saurait être question d'apprendre quoi que ce soit par cœur ou de suivre aveuglément une règle à la lettre. Vouloir enseigner la science des noms est sans espoir. Impossible à réaliser. Malgré cela, les étudiants ont essayé de l'apprendre et les professeurs ont tenté de l'enseigner. Et, quelquefois, ils y sont parvenus... 
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Tu penses être intelligent, mais c’est là ta faiblesse. Tu crois savoir où tu mets les pieds, mais il n’en rien. Tu crois pouvoir me faire confiance en tant qu’enseignant. Tu crois que je te protégerais. Mais c’est la plus grossière erreur que tu puisses commettre.

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Les livres ne sont qu'un pauvre substitut à la compagnie féminine, mais ils sont plus faciles à trouver.
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Une poésie n'est rien d'autre qu'une chanson sans musique [...]. Et une chanson sans musique, c'est un corps sans âme.
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Il avait des défauts, certes, mais qu'est-ce qui importe vraiment, quand on en vient à ce qui nous tient à cœur ? Nous aimons ce que nous aimons. La raison n'a rien à voir là-dedans. A bien des égards, l'amour irraisonné est le plus authentique. N'importe qui peut aimer quelque chose pour une raison, ce n'est pas plus difficile que de glisser un sou dans sa poche. Mais aimer quelque chose malgré tout, en connaissant ses défauts et en les aimant eux aussi... C'est là un sentiment rare de perfection et de pureté.
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— J'ai beaucoup entendu parler de vous, a déclaré Wilem en s'adressant à Devi. Je pensais que vous étiez plus grande.
— Et quel effet ça te fait ? De penser, je veux dire ? a-t-elle rétorqué d'un ton railleur.
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