Harry Potter, tome 7 : Harry Potter et les reliques de la mort

Ce dernier opus de la saga Harry Potter est particulièrement riche et bien construit.
Après la disparition d'Albus Dumbledore, un nouvel univers se construit et les éléments du puzzle se mettent en place progressivement à travers la quête des horcruxes par Harry et ses deux amis.
On voit le héros entrer dans l'âge adulte à travers des épreuves très rudes et on suit avec fébrilité la progression des événements jusqu'à la fin.
Même si la fin est connue par avance, on reste captivé par un récit haletant où tous les ingrédients d'une série réussie sont présents.
Le lecteur se sent un peu orphelin après avoir terminé ce septième et dernier volet et on aimerait continuer à progresser dans cet univers si particulier.

C'est une page de ma vie qui s'est tournée quand j'ai refermé Harry Potter et les Reliques de la mort, le 27 octobre 2007 à 2h21 du matin.

Un tome passionnant, pendant lequel nos trois héros deviennent adultes.
Cette fois, toutes les réponses nous sont données, et même au-delà de nos espérances. Je ne vais pas résumer ici l'intrigue de Harry Potter, simplement l'action du 7ème tome (impossible de m'en empêcher).

Dans la première partie du roman, Harry, Ron et Hermione tentent de récupérer le médaillon de Serpentard, le seul Horcruxe qu'ils connaissent. A cette occasion, Kreattur devient un personnage attachant.
Après leur éclat au ministère (préparé avec minutie), ils sont contraints de faire du scoutisme : c'est le début d'une longue errance morose à travers toutes les forêts de Grande-Bretagne. le médaillon et leur inaction créent un tel état de tension de Ron craque (pour devenir à son retour mon personnage préféré du tome et sans baisser dans mon estime par la suite, loin de là).
Pendant son absence, Harry et Hermione ont un petit épisode version film d'horreur à Godric's Hollow, juste après la séquence émotion : le « livre d'or » des Potter. Incroyablement beau.
Peu après le retour de Ron (avec un ongle en moins) et la lecture du Conte des trois frères, ils se font emprisonner au manoir des Malefoy. Et là, c'est le moment le plus triste de toute la saga. La mort du personnage qui n'aurait jamais dû mourir, la mort de celui qui était si peu et tellement.
Ça n'empêche pas Harry d'élaborer un super plan pour récupérer la coupe de Poufsouffle, un Horcruxe. le plan échoue, ils se retrouvent tous les trois à dos de dragon et l'évasion de Gringotts se termine dans un fou rire au bord d'un lac (« il se peut qu'ils aient remarqué qu'on était entrés chez Gringotts par effraction »).
JK Rowling ne déroge pas à sa tradition « débriefing post-aventures entre Harry et Dumbledore », dans un chapitre absolument magnifique ("King's Cross"), qui suit un chapitre incroyable ("Retour dans la forêt"), lui-même faisant suite à un chapitre splendide d'émotions et de révélation ("Le récit du prince").
Mais ces chapitres ne sont presque rien face à celui d'après : "Le défaut du plan". Et quel défaut ! C'est quand même incroyable que le plan de Dumbledore a échoué, mais que ce soit justement sa faille qui lui a permis de réussir. J'adore JK Rowling.

Concernant l'épilogue, on aime ou on n'aime pas. J'aime. JK a créé Harry Potter et son univers, elle avait le droit de finir sa saga comme elle le voulait. Ses personnages, son scénario, ses choix. Harry a le droit à une vie tranquille après les remous de son adolescence.

Si jamais j'ai été fan de quelque chose dans ma vie, c'est bien Harry Potter. S'il devait y avoir une seule chose à lire dans sa vie, ça serait cette saga.

Et voilà, ma deuxième lecture (la première d'il y a sept ans) ce dernier tome des magnifiques aventures de Harry. Que d'émotions ! Ce livre a été celui qui m'a incontestablement le plus marqué sur les sept. Est-ce parce que le film (enfin les puisqu'il y a eu deux parties) n'était encore sorti ou parce que tout est multiplié par deux puisque c'est le dernier. Évidemment, ce livre est le plus sombre, comme je l'ai dit tout est multiplié par deux, beaucoup de pertes vont être perdus pour le bien.
Harry commence et finit sa quête sur les Horcruxes (et celle qui va découvrir avec les trois Reliques de la Mort), ou il va découvrir toute la vérité sur ce que Dumbledore avait prévu depuis le début, la véritable vie de Severus Rogue (c'est mon passage préféré), et la chute de Lord Voldemort. Quand on finit ce livre, c'est comme une partie de nous qui s'en va, on est tout aussk joyeux avec le happy-end, triste de les quitter, et surtout nostalgique de toute cette grande aventure passée, tous ces personnages et ces livres. Je suis une grande fan de cet univers, voilà pourquoi ça me touche autant, et je ne suis loin d'être la seule. Mais rien n'est encore fini. Peut être que les aventures de Harry sont finis, mais il y a encore les aventures de Norbert Dragonneau à suivre.

C'est avec une émotion non feinte que je viens d'achever le septième et dernière volume de la saga Harry Potter. Émotion qui fut présente d'un bout à l'autre de ce tome, la fin d'une aventure, la fin d'une époque. Malgré les nombreuses relectures je me surprends toujours à ressentir cette même confusion, entre excitation et tristesse d'achever une lecture qui reste un plaisir unique, car oui Harry Potter est le héros de toute une génération mais il est aussi un personnage attachant en qui je trouve un ami, un frère, un compagnon de route pour l'éternité, celui qui me redonne le plaisir de lire quand tant d'autres éteignent la flamme et me poussent à rejeter la lecture.

Dans ce volume, Harry et ses deux inséparables amis mènent une quête dans laquelle la mort est au bout du chemin. La fin de l'enfance, de l'innocence, la fin d'une guerre, la fin d'un être abjecte, cruel et dont le coeur n'est fait que de roche emplie du même venin qui coule dans le corps de son horrible serpent. Harry va perdre bon nombre d'êtres importants, qui tout en étant difficile à vivre sont une étape dans sa vie qui marque le passage à l'âge adulte et qui rappelle que dans une guerre, il y a des morts dans les deux camps. Au fil des pages Harry grandit et gagne en maturité, il forge les traits de caractères qui vont définir l'homme qu'il sera toute sa vie.

Plus la lecture avançait et plus il était évident que JK Rowling avait une histoire déjà bien établie en écrivant son premier volume, elle a semé ça et là des indices nécessaires au final, amenant Harry vers la fin inéluctable de sa destiné, étroitement liée à celle de son mortel ennemi, Lord Voldemort. Avec un scénario incroyable porté par une plume moderne et juste, des personnages aux personnalités multiples qui évoluent dans un univers unique et novateur, elle a su tenir son lecteur en haleine au fil de ses sept volumes avec le même suspens qui anime les meilleurs polars.

Harry Potter restera la plus longue saga que j'ai lu sans jamais m'ennuyer, et il ne fait aucun doute que je continuerai de la relire régulièrement pour le plaisir qu'elle m'apporte et celui d'échanger avec mes enfants et les leurs…
Lien : https://sirthisandladythat.w..

Voilà après les avoir fait durer, et surtout après avoir rationné ce dernier tome, j'ai terminé les Harry Potter... La fin d'un monde, d'un univers, d'une aventure... Quel choc! Mais quelle fin!

Je n'ai franchement pas été déçue. J'avoue que j'ai commencé les Harry Potter très tard et les premiers tomes ne m'avaient pas passionnée (on voit vraiment qu'ils ont été écrit pour des enfants et cela m'avait dérangé). Mais au fil des tomes j'ai de plus en plus aimé et suis devenue une vraie addicte de cet univers!!
Ce dernier tome est pour moi une fin grandiose. Toute la tension durant la recherche des Horcruxes, les moments de doutes, de peur, d'émotion... Les 5 derniers chapitres m'ont vraiment pris aux tripes... *SPOILER* La mort de Fred, celle de Tonks et Lupin m'ont fait verser de grosses larmes de crocodiles, le chapitre sur la vie de Severus et ses sentiments pour Lily m'a franchement émue aussi (quel retournement de situation pour ce personnage si détestable dans les autres tomes!).

Je pense que c'est cela qui me plait le plus dans le style de J. K. Rowling : l'humanité de ses personnages. Aucun d'eux n'est tout noir ou tout blanc. Je pense par exemple à Lupin que j'ai eu envie de frapper lorsqu'il était à deux doigts de laisser tomber une Tonks adorable, amoureuse et enceinte! Ou encore à Dumbledore qui n'a pas toujours été réglo dans ses jeunes années ou qui avait prévu la mort de Harry, Rogues bien sûr et surtout Harry.
SI on s'attache à ce personnage ce n'est pas parce qu'il est génialement merveilleux et parfait mais parce qu'il est très humain et très normal en fait. Il doute, il a peur, il fait des bêtises, réagit parfois comme un imbécile. Ron et Hermione sont comme ça aussi. Et c'est vraiment ce qui fait qu'on les aime, parce qu'ils sont comme nous, comme moi, comme toi qui lis cette critique. On s'identifie à eux et c'est vraiment ce qui fait qu'on aimerait tous passer la voie 9 3/4... Pour cela, bravo Mrs Rowling et merci de m'avoir fait rêver...

(ps : on parlera des petits défauts de ce tome plus tard parce que là je suis encore sous le charme...!)

C'est avec regret que j'ai fermé le dernier tome de la saga!
J'ai adoré cet opus! L'action est présente, Harry doit se préparer à l'ultime combat accompagné de ses compères Ron et Hermione.
Des secrets sont dévoilés, on en apprend plus sur Dumbledore et Rogue.
Ce tome a été un vrai régal!

Il y a 14 ans cette critique aurait été plus détaillée et plus enjouée. Mais des critiques dans le genre, il y en a eu des centaines! Donc je ferai simple, peut être que cet ultime tome a des défauts et peut être que l'autrice a eu des réactions décevantes depuis 2007... il n'en reste pas moins que je ne pourrai jamais mettre moins de 5 étoiles aux sept livres que composent les aventures de mon sorcier préféré. J'ai lu ce tome avec avidité et frénésie à mes 17 ans, à mes 31 ans, je l'ai redécouvert, y ai réapprit des révélations, ai de nouveau pleuré et rit, mon coeur a de nouveau sursauté, ralenti et bondit dans ma poitrine. Bref, nul doute que dans mon sac de voyage (bien rempli comme celui d'Hermione), il m'accompagnerai obligatoirement sur mon ile déserte.

Encore une fois une relecture pour cause de lecture en duo avec mon aîné.
Et une fois de plus, malgré avoir vu le film, plusieurs fois, j'ai encore plus apprécié la relecture de ce tome 7.
Il y a tellement de détails qui rendent ce tome plus attractif que le film, plus logique.
Finalement, je me rends compte que lire un livre, voir le film et relire le livre donne plus de relief aux détails.
Bref, vous l'aurez compris. Les films sont bien et les livres sont bien...mieux.
Cette saga est magistrale, même 15 ans après et s'adapte à tous les âges qui aiment le genre fantastique.
Pour mon enfant, qui a adoré Harry Potter dès qu'il a vu les films, ces romans sont une très belles découvertes. Il est devenu un vrai fan.
Nous allons maintenant nous pencher sur la pièce de théâtre, pour qu'il découvre ce qui vient après. Moi je l'ai déjà lu et je vais pouvoir apprécier à travers ses yeux, quel effet ça fait de découvrir une suite qu'il attend tellement.

Juste quelques mots pour donner mon ressenti puisque tellement a déjà été dit sur Harry Potter :
J'ai lu ce dernier tome en français et en anglais (trois fois en tout, pour dire si j'ai adoré !).
Malgré quelques longueurs, c'est un récit captivant ou l'amour, l'amitié, la famille, la confiance tiennent la première place. Emouvant et palpitant. J'ai trouvé l'épilogue très bien fait.

Voilà, c'est la fin. C'est avec une larme à l'oeil que je me dis que tout le monde meurt dans ce tome, dis donc ! Mais je suppose qu'une guerre ne peut entrainer que des morts. Maintenant, on sait tout. Même les toutes petites intrigues insignifiantes lancées dans le tout premier tome sont élucidées et on connait le sort de tous les personnages. La boucle est bouclée et je n'ai qu'une envie : la relire, cette boucle.

Tout comme un premier amour, on ne peut pas l'oublier et on est convaincus que la passion ne sera jamais aussi forte et intense. Mon premier émoi, que grâce à Dieu, je peux revivre quand ça me chante. Vive les émois littéraires !