AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,66

sur 1012 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Petite pause dans le gros travail de l'agreg et bilan mitigé du coup. Je l'ai trouvé sympa sur le fond, l'idée développée comme la dernière partie explicative est vraiment intéressant et nous pose question en effet. Toutefois il y a des longueurs qui auraient pu être évités pour resserrer l'intrigue.
Chouette si vous aimez les enquêtes sur fond de militantisme écologique extrémiste mais moins sympa si vous voulez un page Turner qui file à toute vitesse. J'ai tout de même aimé le couple Paul / Kerry ainsi que le magnat du renseignement Archie avec sa double personnalité londonienne Vs Bronx.
Commenter  J’apprécie          30
Sérieux, documenté, incontestablement dans l'air du temps avec la problématique des pandémies artificiellement "organisées", ici dans un but de contrôle de la population.
Un peu long dans l'amorçage et le développement, des personnages un peu caricaturaux, qui peuvent créer les conditions d'abandon de la lecture.
Une fin très (trop) rapide.
Commenter  J’apprécie          70
Ce n'est pas ce que j'appelle un thriller , mais un bon roman qui se laisse lire avec plaisir.
Son intérêt réside surtout dans le sujet abordé : l'écologie radicale , les "Nouveaux Prédateurs" ou comment lutter, via des actions violentes, contre la surexploitation de notre planète. On va dans le mur si on continue.
Un constat, nous sommes trop nombreux sur terre et donc, faut-il supprimer, éradiquer une partie de la population mondiale ( clin d'oeil à Malthus) ?
Est-ce un effet pervers d'avoir mis l'Homme au sommet de la pyramide de la vie sur terre ?
Un roman qui ouvre pas mal de sujet à la réflexion
Commenter  J’apprécie          20
J'ai trouvé l'écriture de ce livre plus 'banale' et moins intense que bien des autres livres de JC Rufin, que j'aime beaucoup, par contre le fond de l'histoire fait vraiment réfléchir. Il démonte bien la rhétorique derriére une idée, à priori logique mais absolument effrayante.
Encore une fois le titre ne dévoile son sens que dans la 2éme partie du roman. Comme chacun de ses livres, je les lis d'une traite, c'est plus fort que moi.
Commenter  J’apprécie          00
Ce roman a la qualité de pousser à quelques réflexions hors des sentiers battus, notamment sur les questions de l'écologie politique et des rapports entre l'occident et le reste du monde. Rufin balaie la figure de l'écolo urbain sympathique qui se rend à la boutique bio en bicyclette pour nous présenter celle bien plus menaçante de l'écologiste radical américain, prêt à en découvre avec l'espèce humaine, surtout quand elle réside au sud de l'équateur. Cette pensée malthusienne va à l'encontre des idéaux de l'humanitaire auquel l'auteur a consacré vingt ans de sa vie. Mais pour moi, il échoue dans sa mission sur plusieurs points :

Tout d'abord, il reprend en détails certaines thèses de la « deep ecology », mais sans jamais en démontrer les limites. Car si c'est bel et bien dans les pays pauvres que les plus grandes menaces pèsent sur l'environnement, ce n'est pas seulement du fait de la pauvreté. La thèse qu'en éliminant les pauvres, on arrête la crise écologique est absurde. Si les forets tropicales diminuent, c'est pour produire le soja, le café et l'huile de palme dans les pays dits développés. Si l'extraction des de métaux précieux polluent les terres et les eaux, c'est pour fabriquer les téléphones portables que nous trimballons dans nos poches et parer les cous de nos riches concitoyens de bijoux inutiles. Oui la pollution se passe au sud. Mais c'est pour assouvir la boulimie du nord

En focalisant sur cette écologie radicale, il rate un point important : celui du colonialisme vert, véhiculé par les ONG occidentales. En imposant des modèles de conservation de la nature qui en excluent les communautés locales depuis des décennies, ces organismes sont à l'origine de drames humanitaires. C'est là que s'exprime pour moi la plus grande tension entre l'idéal humanitaire et celui de la protection de la nature. Et celle là n'est pas le fait de quelques hurluberlus survivalistes cachés au fin fond des Appalaches.

Au-delà de ces questions de fond, j'ai trouvé le style vraiment limite. Beaucoup de longueurs et de descriptions inutiles. Des dialogues interminables et sans relief. Ça m'a évoqué un peu les auteurs comme Musso. La psychologue des personnages dessinés au marteau piqueur. Des tonnes de généralités outrancières sur les différents pays, glissées entre une galerie de fiches d'information sur les lieux traversés. Bref, une lecture intéressante sur certains points, mais qui ne restera pas dans les annales.
Commenter  J’apprécie          20
Après l'Abyssin, e chef d'oeuvre de roman d'aventure, de voyage, historique, exotique et très prenant, je lis 'Le Parfum d'adam' C'est un thriller assez classique à la Marc Levy, plaisant à lire, mais voilà, assez convenu, pas de vraie surprise, pas de vrai attachement aux personnages principaux, trop de personnages peut-être. Il y a aussi quelques raccourcis, ou invraisemblances. le thème aussi ne m'as pas trop plut.
Commenter  J’apprécie          20
une histoire d espionnage dans les milieux écologistes radicaux menés par l'officine privée PROVIDENCE dirigée par Archie qui fait appel à 2 anciens de l' espionnage kelly et Paul pour déjouer un projet d attentat bactériologique fomenté par quelques radicaux d un mouvement écologique qu ils ont quitté recemment car pas assez agressifs à leurs gouts
Leur projet réduire la population mondiale en exterminant les plus pauvres d entre nous.
On croise une jeune étudiante en mal de reconnaissance un pseudo ecolo un professeur autrichien à la retraite un vieux médecin suisse et un riche financier à la fin de ces jours sous la plume simple et riche de J C RUFIN. 
Passionnant 800 pages de pur bonheur
Commenter  J’apprécie          00
J'ai décidé de ne donner à ce livre que 2,5 points. J'ai trouvé le thème extrêmement intéressant et tout à fait d'actualité, le vrai problème ici (comme pour chaque pavé de 500 pages) ce sont les longueurs, les redites qui ne servent à rien, vraiment à rien voire elles desservent le roman. Il y a pour moi facilement 150 à 200 pages en trop. Les personnages sont attachants certes mais hyper convenus, n'ont rien d'originaux, on les a rencontrés 1000 fois dans d'autres romans (beaux, courageux, loyaux...) Bref, un livre pas désagréable mais qui aurait pu être beaucoup mieux.
Et j'oubliais, pas mal de coquilles aussi !
Commenter  J’apprécie          21
J'ai déjà lu plusieurs romans de J.C.Rufin, et c'est un auteur que j'apprécie dans l'ensemble.
Là, il s'essaye au thriller d'espionnage sur fond d'actualité écologique.
C'est bien monté, bien documenté et le suspense est souvent au rendez-vous.
Ce qui pêche, ce sont les longueurs. Il ne s'agit pas de descriptions interminables, mais de détails insignifiants sur la façon dont les personnages sont habillés, ce qu'ils mangent, etc.
Sur les 750 pages que compte le bouquin, je pense qu'il aurait pu l'alléger de 10% au moins sans nuire à la narration.
J'ai quand même mis plus que la moyenne parce que mon impression d'ensemble est positive.
Commenter  J’apprécie          80
Je me souviens avoir été déçu. Ce livre aborde le thème intéressant du terrorisme des écologistes extrémistes, mais l'intrigue n'est pas assez forte. Et le style est ordinaire, à la différence des romans historiques de JC Rufin comme Rouge Brésil ou le Grand Coeur.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (2121) Voir plus



Quiz Voir plus

Rouge Brésil - Le quiz détourné...

Une saulaie est...

une pagaie ronde
une plantation de saules

29 questions
117 lecteurs ont répondu
Thème : Rouge Brésil de Jean-Christophe RufinCréer un quiz sur ce livre

{* *}