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Bon, je n'ai que le premier tome à la médiathèque mais je vois que ce n'est pas forcément comme dans les série que l'on retrouve généralement en bande-dessinée ou il faut ABSOLUMENT avoir la suite (j'essaie de pointer pour savoir ce qu'il faudrait que je prévois pour les prochains achats de la médiathèque) ! J'avoue cependant que cela m'a bien fait rigoler et m'a surtout rappelé de vieux souvenirs de libraire avec les fameux cartons de commande ou de nouveautés qui arrivaient toutes les semaines...ah, c'était le bon vieux temps ! Je suis assez nostalgique de cette époque-là, tout comme notre héros ici mais qui lui, au contraire, se sent d'abord débordé par l'arrivage massif de bandes-dessinées. En tant que vendeur dans une librairie spécialisée dans le genre, c'est un peu normal mais il doit souvent faire face à des lecteurs qui, soit lui sapent le moral, soit le prennent comme un vendeur de supermarché. Dans cet ouvrage, le lecteur se met parfois aussi à la place d'un lecteur de bande-dessinée (superbe mise en abyme) et c'est là où j'ai trouvé que les auteurs avaient fait fort ! Puis, l'on se retrouve à l'heure actuelle avec l'arrivée des smartphones et des tablettes ou pire pour notre libraire adoré, des liseuses !

Un ouvrage sympathique, très caricatural mais avec un humour qui n'est pas trop lourd (j'apprécie) et ce qui fait la particularité de cet ouvrage, qui se lit à la verticale ! Un moment agréable mais qui sera malheureusement trop vite oublié ! Disons que cela fait passer un moment sympa sans trop de prise de tête et de temps en temps, j'avoue que cela fait du bien !
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Humour sans doute "private joke" pour les fans de BD (surtout de franco-belge), mais subtil et drôle, ça fait mouche, on rit et on rit même de nous-même avec nos BD qui s'accumulent au fond de notre bibliothèque, et nos multiples visites dans les rayons de la librairie.
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Animal lecteur est la série de BD que tout fan de lecture devrait lire. On suit le péripéties d'un pauvre propriétaire d'une librairie de quartier qui se bat tant bien que mal pour satisfaire ses clients et lutter contre les ogres de vente en ligne ou grandes surfaces. On suit également quelques uns de ses clients, qui ont chacun des gouts bien précis, allant du fan de manga, au lecteur de littérature classique. Les gags sont toujours drôles, très réalistes et surtout, ils transmettent de bonnes valeurs. Ici, le mot d'ordre est surtout que peu importe que l'on lise de BD, des mangas, des roman pour ado, de la grande littérature ou des romans de gare, on est tous unis par la même passion qu'est la lecture.

Animal Lecteur est une BD qui lutte contre l'élitisme souvent trop répandu et je trouve qu'elle réussi à faire passer son message avec brio. Une BD que tout lecteur se devrait de lire.
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C'est le titre qui a retenu mon attention "animal lecteur"... je trouvais que ça me définissait assez bien.
J'ai d'abord été assez surprise par le format de l'objet : C'est presque la taille d'un demi-livre, qui aurait été coupé dans le sens de la longueur.
Et dès les premières planches, mini déception : ça ne parle que de lecteurs de BD (manga, comics, etc).
Mais finalement, l'ensemble est plutôt très amusant, et souvent assez vrai... malheureusement, je ne suis qu'une "jeune" lectrice de BD aussi je ne me reconnais pas forcément dans certaines situations... mais globalement, je pense que le propos peut être étendu à tous les lecteurs (de livres avec ou sans images).
A suivre donc avec grand plaisir
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Même si je ne lis pas que des BD, il faut bien reconnaître que dans notre famille, le genre est très bien représenter : les plusieurs centaines de BD de Papy, les collections des Pestouilles qui ne cessent de grandir, celles de mon homme qui se complétent, les miennes aussi et c'est sans compter mes manga. Donc on peut dire que nous sommes des serials lecteurs, collectionneurs Etc. En bref, des fous !
Oui, mais il semblerait bien que nous sommes pas les seuls dans ce cas sinon pourquoi créer une série comme celle-ci ? Initialement publiée dans Spirou, c'est comme souvent devenu une saga en version album. le public a été trouvé.

Graphiquement, j'ai retrouvé un peu la patte de Sergio Salma, mais c'est surtout son humour imparable que j'ai apprécié. Sa façon bien à lui de nous raconter en peu de bulles et de cases beaucoup de choses.
Je me suis reconnue dans certains portraits et les autres membres de ma famille serial lecteurs aussi (oui, on se refile aussi nos lectures ! Au moins ça alimente nos discussions car on a beau être en prime des geeks, on n'oublie pas de beaucoup se parler).

Belle compilation des strips, qui donne envie de lire les tomes suivants. Pari gagné donc pour l'auteur (mais aussi l'éditeur) et plaisir à venir pour le lecteur (dans les prochains tomes).
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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Je ne suis pas réellement fan des bd d'humour avec des strips. Généralement, cela ne m'interresse guère. le format de celle-ci est plutôt original et invite à la lecture. Par ailleurs, du même auteur, j'avais grandement apprécié son Jacques le petit lézard géant.

Là, on retrouve le même humour assez fin avec ses chutes plutôt marrante. J'ai passé un agréable moment à cette lecture légère et c'est ce qui compte finalement pour une bd de divertissement.

Le fan de bd est analysé sous toutes ses coutures. Il y a beaucoup de vrai dans ces situations racontées. La qualité est au rendez-vous et perdure même dans le second tome.

Il n'y a pas ce sentiment de répétition que l'on rencontre souvent dans ce genre. C'est alors une bonne surprise.
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Il s'agit d'un premier tome d'une série humoristique, constituant une compilation de gags en 1 bande verticale, chaque page comprenant 1 bande. Il se présente sous un format original : demi A4 vertical, avec des bandes verticales (par opposition à l'habitude des strips qui se présentent sous la forme d'une bande dans laquelle les cases se suivent à l'horizontal). Il est initialement paru en 2010, écrit par Sergio Salma, dessiné par Libon. La première page précise qu'Animal Lecteur illustre chaque semaine le Sommaire du journal de Spirou, depuis janvier 2006.

Le personnage récurrent de ces strips est le Libraire, il ne dispose pas de nom ou de prénom. Il est propriétaire d'une boutique qui s'appelle fort justement BD Boutik. Il travaille essentiellement seul, même si un stagiaire apparaît une fois ou deux. Il reçoit régulièrement de nouveaux arrivages, et il doit gérer le retour des invendus. Bien sûr il voit défiler différents types de lecteurs, pas forcément assez à son goût, mais parfois trop d'un certain type. Il arrive que certains gags mettent en scène 2 lecteurs, sans que le Libraire n'y figure.

Les gags sont bien sûr orientés sur la lecture et sur le métier de libraire. Cela commence par le titre qui est à double sens. le libraire espère bien que certains titres vont cartonner pour pouvoir faire son chiffre d'affaire. Mais il s'agit aussi de la masse de cartons contenant les nouveautés. On peut aussi y voir une allusion aux cartons qui servent à emballer les invendus. le champ de l'humour s'élargit aux différents types de bandes dessinées, avec les classiques (Tintin), les nouveautés, et cette race un peu particulière qui est celle des mangas.

En termes graphiques, Libon dessine des personnages caricaturaux, aux expressions exagérées pour mieux faire passer leur état d'esprit et donner plus de force à leurs ressentis, à leurs émotions. Il y a quelques gags d'ordre visuel, mais la majeure partie repose sur une chute à l'issue d'une discussion, d'un dialogue entre 2 personnages, ou parfois plus. Les strips comprennent en majorité 5 cases les unes au-dessus des autres. Sur les 92 gags contenus dans ce tome, il y en a aussi une partie qui est découpée en 4 cases.

La majeure partie de ces strips se déroule dans la libraire BD Boutik au niveau du comptoir, ou dans la zone de circulation principale. Libon esquisse à grands traits cet endroit : un comptoir sur lequel trône ou non (ça dépend des gags) une caisse enregistreuse, des rayonnages où l'on voit le dos des BD, sans aucun signe distinctif, des piles de BD partout, parfois également des piles de cartons. Au cours de ces gags, le lecteur peut également se retrouver à contempler des adolescents au lycée ou chez eux, des adultes bouquinant dans leur lit ou dans un parc adossés contre un arbre, un monsieur en train de promener son chien, des responsables marketing sur leur lieu de travail, et même un individu dans un confessionnal.

L'artiste représente souvent les individus en plan poitrine, en train de papoter entre eux. La tenue vestimentaire n'est que très vaguement esquissée : t-shirt, chemise, polo. L'accent est mis sur l'expression de leur visage, exagérée pour mieux faire passer l'émotion. Il y a plusieurs trips dans lesquels les individus effectuent des mouvements : déplacer des cartons sur un diable, lire une BD, apporter une BD au comptoir pour la payer. À nouveau les dessins sont caricaturaux, mais ils montrent bien l'action en question. La narration visuelle est donc entièrement inféodé à mettre le gag en images, débarrassée de tout enjolivement visuel.

De fait chaque gag se lit ou s'assimile rapidement, les phylactères portant l'exposition et la chute. Toutefois le fonctionnement de quelques gags repose également sur des informations contenues dans les images, comme une baffe donnée par un personnage, ou une action effectuée. Pour ceux qui sont exclusivement constitués de dialogues, les images rendent les échanges vivants, et permettent au lecteur de constater la réaction de chaque phrase sur le visage de l'interlocuteur. La narration graphique n'est donc pas pauvre, elle est juste en retrait par rapport au gag, et dépouillé pour mieux le mettre en valeur.

Dans un premier temps, le lecteur se demande si Sergio Salma sera à même de débiter des gags variés sur un domaine restreint comme celui de la librairie et des avanies de son libraire. Bien sûr il y a les cartons des nouveautés qui arrivent, qui croisent les cartons des invendus qui sortent, avec peut-être plus d'invendus que de nouveautés, et il y a les clients parfois bien lourds qui veulent justement ce qu'il n'y a plus en stock, ou au contraire la nouveauté qui ne sort que dans 3 jours. Il y a aussi une forme d'échelle des valeurs culturelles, à commencer par la BD qui n'est qu'un pis-aller de la vraie lecture, et le manga qui est encore plus bas, soit un pis-aller de la BD.

Rapidement, le lecteur se rend également compte que le scénariste manie les références avec adresse et intelligence. Il est fait mention des incontournables classiques comme Tintin ou les Schtroumpfs, mais pas seulement. Les références vont de la BD franco-belge traditionnelle (Gaston Lagaffe, Ric Hochet, Blake et Mortimer), à des ouvrages plus récents comme Titeuf, en passant par des BD plus d'auteurs (comme celles de François Bourgeon), sans oublier les strips américain comme Peanuts, ou ceux de Bill Waterson, et même les BD plus adultes (Reiser est cité). le lecteur de BD se sent donc en terrain connu, dans un ouvrage qui s'adresse à lui et qui parle de sa culture. Il y a même une ou deux blagues sur des termes techniques de connaisseur, comme celui des Gros Nez.

Au travers de ces gags, Sergio Salma dresse aussi le portrait d'une industrie que le lecteur en série observe. Il y a donc la problématique des rayonnages encombrés par des BD qui paraissent plus vite que quiconque ne peut les lire. Il y a le sentiment de dégradation de la qualité des oeuvres produites, corollaire d'une logique qui privilégie la quantité à la qualité, et la gestion de flux, au travail sur des oeuvres sur le long terme (même moyen terme serait déjà un mieux). le Libraire est confronté aux effets de saison, en particulier à une avalanche de titres liés à l'école au moment de la rentrée scolaire, au surnaturel au moment d'Halloween, et aux contes au moment de Noël.

Ces gags mettent également en évidence le travail des responsables marketing, que ce soit au travers de la diversification de l'offre, ou de la segmentation du marché qui empêche d'avoir des titres fédérateurs de l'ensemble du lectorat. Parmi les stratégies marketing, ressort également la déclinaison d'un même ouvrage en plusieurs formats, pour essayer de répondre aux attentes du lecteur occasionnel, du lecteur collectionneur, du lecteur nostalgique souhaitant retrouver le format d'antan pour ses albums de Tintin (celui avec la liste écrite derrière). L'auteur aborde également la raréfaction des magazines de prépublication, ayant pour effet d'augmenter l'attente pour le lecteur, de mensuelle (entre chaque numéro) à annuelle (entre chaque tome).

Au fil des gags, l'auteur met en scène la détresse ou les sentiments de plusieurs personnages. Bien sûr, le Libraire n'en peut plus du rythme effréné des parutions, contraint de déplacer des piles de BD dans un mouvement incessant. Mais il craque également de ne pas pouvoir tout lire, ou ne serait-ce que la majorité des parutions. Dans un moment touchant, il perd contenance devant un client, en essayant de broder des phrases toutes faites sur un ouvrage qu'il n'a pas eu le temps de compulser. Il y a bien sûr toutes sortes de lecteurs, dont le plus grincheux qui trouve qu'il a déjà tout lu, qu'il n'y a plus rien de vraiment nouveau, et que c'était quand même autre chose avant. Mais Salma ne se contente pas d'être moqueur et grinçant : il montre aussi tout l'investissement émotionnel du lecteur guettant la sortie du prochain tome, ou de celui qui rêve à ses héroïnes de papier dans son lit conjugal, aux côtés de sa femme.

Dans un premier temps, l'auteur semble jouer sur le mépris qu'inspire les mangas, une sorte de sous-BD pour lecteurs encore plus attardés. Puis, il met en avant le fossé culturel entre les lecteurs de BD et les lecteurs de mangas, en montrant un enfant n'ayant rien compris à un album de Tintin (Tintin au Tibet) parce qu'il l'a lu de droite à gauche. Mais arrivé en page 54, il établit de manière patente que les lecteurs de manga sont capables d'être aussi cultivés que les autres, et que les mangas se prêtent aux analyses critiques tout aussi techniques que les meilleures BD, voire même que les vrais livres sans image. Salma & Libon savent marier avec adresse le rire et les autres émotions, avec un superbe gag mettant en scène un lecteur et un créateur de BD ayant connu son heure de gloire 20 ans auparavant.

Alors que le lecteur s'apprête à lire une anthologie gags qu'il estime nombriliste dans un périmètre limité, il constate qu'il s'agit d'une lecture copieuse qui demande plus qu'un quart d'heure pour en venir à bout, que les auteurs connaissent leur sujet sur le bout des doigts, et qu'ils ne se contentent pas de pointer du doigt les travers de l'édition et des lecteurs. Il ne s'agit pas d'un humour à se taper sur les cuisses, mais d'un humour respectueux des autres, qui reflète à la fois le microcosme d'une librairie, l'industrie de la BD, et, au travers elle, qui dresse en filigrane le portrait de plusieurs aspects de notre société, sans oublier les autres émotions.
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Ce petit livre long, étroit et mince, à l'allure sympathique, ne m'est cependant pas destiné: je ne suis ni une libraire spécialisée, ni une grande passionnée de Bd, juste une lectrice épisodiquement intéressée mais surtout mes références en ce domaine demeurent assez limitées malgré le rattrapage de ces derniers mois. Si bien que ceci explique sans doute pourquoi je n'ai pas ri autant que je l'espérais en voyant la couverture recto verso: cet homme à l'air triste qui entre dans une librairie sous la menace d'une pile de cartons prête à s'écrouler me laissait supposer que je passerais un bon moment avec cet album.
«Je peux vous aider»? lui demande innocemment le libraire aux yeux globuleux et aux grosses lunettes quand il voit son client potentiel perdu sous la pile.

En réalité, j'ai été intéressée, j'ai souri parfois mais à la longue cette série ininterrompue de gags - un par page, à la verticale - a fini par me fatiguer et m'ennuyer.
C'est trop répétitif.
C'est un album à ne pas lire dans son fauteuil, d'un bout à l'autre, mais à feuilleter de temps en temps, en passant, deux ou trois pages à la fois, par petites doses, ou alors en métro, en bus, en train, en voiture, entre deux distractions.
de cette façon, ça a marché pour moi. J'ai pu le lire jusqu'au bout et j'ai même pris plaisir à relire certaines pages plusieurs fois! Mais, bon, je l'avoue, ce n'est pas le genre qui me plaît le plus en BD finalement.
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"Animal Lecteur" est un de mes strips préférés dans le "Journal de spirou". Libraire de profession, je me suis précipitée quand j'ai vu que Dupuis sortait une première compilation des gags de Salma et Libon. Et par chance, j'ai même eu droit à une belle dédicace de Libon, montrant notre pauvre libraire littéralement entouré de cartons de livre, menaçants, prêt à lui tomber dessus au moindre déséquilibre.
Libon et Salma se moquent gentillement des libraires spé bd et des clients lecteurs de bd. Toute sorte de situation sont abordés, comme les nouveautés, les retours ( thème qui parleront évidement plus aux libraires ), mais aussi les problèmes souvent générationnels entre amateur de BD franco-belge, lecteur de manga et inconditionnel de bd indé...
A lire et à relire sans modération, ainsi que leurs suites
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Beaucoup de private jokes, les fans de BD se reconnaîtront sans le moindre doute. Les auteurs explorent le quotidien d'un vendeur de BD. Entre les nouveaux fans et les vieux amateurs, il y a de quoi s'arracher les cheveux. Les dates de sortie, les invendus, les geeks, les collectionneurs, ... bref on passe en revue le microcosme des amoureux du 9è art.

Le dessin correspond bien à ce qui est présenté sur la couverture. L'originalité, toute relative, consiste à présenter le gag verticalement, mais cela ne change rien. Le livre est finalement plus complexe à ranger dans une bibliothèque.

J'ai souri parfois, surtout dans les gags les plus décalé, quasiment non-sens. Mais je ne suis pas fan du tout. Trop décousu, manquant de cohérence.
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