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4,34

sur 663 notes
En Résumé : J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman qui se révèle être une excellente introduction du nouveau cycle de fantasy épique de l'auteur et qui nous plonge dans une histoire, certes au rythme un peu lent, mais qui ne manque pas de se révéler passionnante, efficace et prenante. le début se révèle peut être un peu complexe et il faut quelques pages pour vraiment s'imprégner de tout, mais rien de bien dérangeant. L'auteur joue avec le lecteur alternant les rebondissements et les surprises ce qui fait qu'on ne se lasse jamais et on se retrouve happé. L'univers mis en place par l'auteur est vraiment dense et complexe et se révèlent complètement imaginé par l'auteur et passionnant à découvrir, offrant ainsi un background des plus efficace et prenant à l'histoire. Les personnages se révèlent travaillés, complexe et surtout attachants que ce soit les personnages principaux comme les personnages secondaires, même si avec certains personnages secondaires, surtout dans les interludes, on aimerait en savoir plus ou bien on se demande encore quels vont être leurs utilités. La plume de l'auteur se révèle toujours aussi captivante, efficace et prenante. J'ai hâte de lire la seconde partie de ce tome pour connaitre la suite.

Retrouvez ma chronique complète sur ce blog.
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Je jette l'éponge. Mon dieu, que c'est long ! D'ordinaire, je préfère les romans qui prennent leur temps, mais là, j'ai l'impression d'une exposition complaisante de worldbuilding. En plus, c'est flou, nébuleux, presque illisible parfois (seigneur, la scène du début, avec l'assassin !). Je laisse tomber, je préfère suivre des personnages fouillés dans un univers un peu passe-partout que l'inverse. 😥
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Roshar n'est pas une planète totalement inhospitalière, mais elle a ses caprices. De violents caprices. Nous sommes toutefois loin de la fureur des vents de La Horde du Contrevent, mais, il y a un peu de cela dans le déchaînement des éléments. A tel point que la faune et la flore indigènes ont développé des capacités de protection particulières : des carapaces pour les animaux les plus gros et les végétaux qui se rétractent dans la terre ou dans des foureaux. Les humains ont choisi de se terrer dans des endroits propices, abrités des vents destructeurs ou dans des camps retranchés.

A l'instar de ses autres romans, il s'agit d'un récit de fantasy où la magie n'est pas forcément flamboyante, bruyante ou spectaculaire, même s'il elle permet d'acquérir des "dons" peu communs, tels que la régénération, une vitesse élevée, la maîtrise de l'espace... Cette magie, ou plus exactement ces magies, se manifestent par touche (les gemmes et les orages), par l'intermédiaire de glyphes - que Sanderson semble apprécier particulièrement - ou avec des artefacts, centraux dans ce cycle. En effet, dans la mythologie de Roshar, des êtres fabuleux possédaient des armures et des armes les rendant presque invincibles, bien que les redoutables néantifères soient des adversaires mortels. Le hic : ils ont déserté, abandonnant ces différents artefacts... désormais à la portée de tous.



Nous suivons alternativement les 3 protagonistes principaux : Kaladin, Shallan et Dalinar dans des trames différentes qui sont, dans ce tome, indépendantes les unes des autres. Chacune des trames "personnage" est accompagnée de flashbacks visant à donner de l'épaisseur à ces derniers et/ou à charpenter cet univers. Leur destin va les amener à se croiser, voire se lier, c'est une certitude avec une telle construction. Je n'ai pas trouvé les falshbacks forcément nécessaires, parfois un peu redondants ou même inutiles. Rien n'est difficile à suivre, la plume de Sanderson alliée à ses talents de conteur est suffisamment agile pour éviter l'écueil, mais pour moi cela alourdi le récit de manière artificielle. La lecture est fluide, facile, et les 600 pages se dévorent sans effort.



Concernant les personnage, Sanderson a choisi de mettre Kaladin en lumière. C'est un Héros; il est droit, courageux, généreux et charismatique, il est béni des Dieux. C'est un combattant à la tête d'une escouade de lanciers, fier et... dégradé, humilié et vendu comme esclave. L'auteur réussit à éviter d'en faire un personnage stéréotypé, sans trop de relief. Son désarroi sauve la mise sur ce coup, et les flasbacks le concernant, bien que souvent superflus sont intéressants. Ils lui donnent une épaisseur supplémentaire et éclairent la suite d'engrenages l'ayant mené à la déchéance. Quant à Shallan, le personnage féminin, il est à la limite de l'inodore et du sans saveur. Quelques chapitres nerveux et incissifs à la fin du présent tome auraient amplement suffi pour introduire cette jeune apprentie désespérée. Le prince Dalinar est le plus savoureux des trois. C'est à la fois un guerrier valeureux et sage, mais aussi un être avec quelques doutes, des regrets, et qui peu à peu glisse vers une obsession impossible à combattre. Il y a peu de flashbacks le concernant, et du coup cela dynamise les parties du récit qui lui sont consacrées.



Toutes ces remarques sont loin de rendre la lecture de ce pavé rédhibitoire, en effet, les talents de conteur de Brandon Sanderson, son savoir-faire dans la mise en place d'univers attrayants et intriguants, son habileté dans l'élaboration des différentes magies compensent largement les quelques faiblesses que j'ai ressenties.



Divertissant et addictif.
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Ayant découvert Brandon Sanderson avec Fils-des-Brumes, cette saga en est radicalement différente. Au début, je me suis sentie un peu perdue dans cet univers, car nous y sommes plongés tout de go dès les premières pages. Et il y a fort à comprendre et appréhender : le système de magie (basé sur des pierres précieuses et non pas sur les métaux comme dans Fils-des-Brumes), les castes et le système social en place, les différentes races, les spécificités climatiques, la culture, les événements historiques... En bref, c'était plutôt dense, et m'a un peu impressionnée au début. Mais force est de constater qu'assez rapidement, on finit par s'y retrouver.

Dans ce roman, nous suivons différents personnages avec des points de vue spécifiques et des intrigues mêlées. Pour résumer sans spoiler, nous pourrions dire que nous avons des points de vue dans les basses strates de la société, et dans les hautes. Ce qui est intéressant, c'est de voir que les intrigues se rejoignent et se mêlent sur différents détails, sans fusionner pour autant. du moins pour le moment.
Une des forces de Sanderson est l'écriture de ses personnages, et là encore j'ai rapidement été prise au jeu. Kaladin et Dalinar ont ma préférence, mais tous les personnages sont très bien écrits.

Finalement, même s'il y a beaucoup à apprendre de cet univers à la fois original et spécifique (climat aride avec des sols rocheux où rien ne pousse et où végétaux et animaux se sont adaptés, animaux et créatures souvent axés sur un côté insectoïde presque comme dans un roman de SF...), on se laisse vite happer par l'intrigue. Et même si l'épaisseur du volume (970 pages) a de quoi impressionner, j'avoue avoir été conquise et ne pas avoir vu passer les pages !
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Qui a déjà lu un roman de Brandon Sanderson sait que, ce faisant, il s'aventure dans un univers riche et complexe, doté de nombreux peuples aux us et coutumes très aboutis, de créatures et de décors fabuleux, de légendes et de magies originales, et de personnages qui sonnent juste. Les archives de Roshar, projet qui mûrit depuis vingt ans dans la tête de l'auteur, ne déroge pas à la règle, vous pouvez en être sûrs. Stephen King a toujours présenté La tour sombre comme étant l'oeuvre de sa vie. Et bien je crois que la présente saga, qui débute avec la première partie de la voie des rois, est l'équivalent pour Brandon Sanderson.

Le récit s'attache à trois personnages : Shallan, Kaladin et Dalinar. La première est une jeune fille un peu réservée mais surtout impulsive, intelligente et dotée d'un don pour le dessin. Elle poursuit Jasnah Kolhin, soeur du roi, afin de se faire accepter comme pupille par cette éminente érudite considérée comme une hérétique par les plus hautes instances religieuses. Elle poursuit également un autre but, moins avouable, que j'éviterai de vous révéler ici. Kaladin quant à lui est un guerrier brisé. Trahi par son seigneur, il se retrouve esclave, puis « homme de pont ». On pourrait parler de chair à canon s'il y avait des canons, l'idée est la même. Il est bien près de sombrer dans le désespoir, et il le ferait sans doute s'il n'y avait Syl, une charmante sprène des vents un peu particulière...

Enfin, il y a Dalinar, oncle du roi, commandant en chef de l'une des dix armées, guerrier respecté, en pleine crise existentielle depuis la mort de son frère et la découverte d'un ancien livre intitulé La voie des rois. A chaque tempête majeure, il est assailli de visions qui remettent en cause toutes ses certitudes. Ces trois destins, bien qu'ils ne s'entremêlent pas encore dans cette première partie, sont étroitement liés, on le devine facilement. Roshar est une terre étrange, balayée de tempêtes et de vents violents, et où tous, hommes, animaux et plantes, ont dû s'adapter à des conditions climatiques exceptionnellement dures. Comme si cela ne suffisait pas, la guerre fait rage depuis près de six ans, entre les Parshendis et les Aléthis qui veulent venger la mort de leur roi.

L'intrigue est riche, complexe, on retrouve des thèmes chers à l'auteur et déjà abordés dans la saga Fils-des-brumes : il est question de politique, de religion, et de magie bien sûr. Parlons-en justement ! Elle se manifeste sous plusieurs formes : les Marchevents, un ancien ordre de Chevaliers Radieux, utilisaient la fulgiflamme pour faire de la fluctomancie, une magie basée sur les attaches et la gravitation ; il y a aussi les fabriaux, des associations de gemmes d'après ce que j'ai compris, eux aussi nourris par la fulgiflamme, et utilisés par les Spiricantes pour créer des choses à partir d'autres choses. Et puis tellement d'éléments mystérieux : les lames et les cuirasses d'éclat, les sprènes, l'armure des Parshendis qui semble leur pousser directement sur le corps, la disparitions soudaine des Chevaliers Radieux...

Comment ne pas se laisser totalement immerger dans pareil univers ? Ça a été un véritable coup de coeur pour moi, pour lequel je ne saurais trop remercier les éditions le Livre de Poche qui m'ont permis de le découvrir. Un excellent moment de lecture qui nous plonge dans une histoire prenante et efficace, un récit épique dans un univers passionnant à découvrir. Les personnages sont attachants et travaillés, la plume captivante. Ajoutez à cela que l'édition proposée ici est enrichie de fabuleuses illustrations de Isaac Stewart et Ben McSweeney, vous serez conquis ! Courrez-y !
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Pour être franche, le début m'a vaguement ennuyé.

Mais bon, je n'avais rien d'autre à lire, c'était pas mal pour passer le temps dans le métro, et j'avais assez aimé Fils-des-brumes pour laisser une chance au livre.

Puis, à un moment, peut-être vers le quart ou le tiers du livre, je suis tombée dedans. Il fallait que je sache. Petit à petit, alors qu'on commence à se familiariser avec l'univers complexe, des indices émergent, il FAUT en savoir plus. Comment Kaladin va survivre ? Qu'est exactement Syl ? Quels choix va faire Shallan ? Quelles sont ces choses qu'elle voit ? Que veulent dire les visions de Dalinar ? Tout est entremêlé, on commence à voir la profondeur de l'intrigue.

On lit pour chercher la réponse aux questions, et on partage les doutes, les peines, les joies des personnages dont la psychologie complexe marche vraiment bien. Au fur et à mesure des réflexions sur le savoir, le pouvoir, le bien et le mal se posent, tout en se fondant parfaitement dans la narration, et cela m'a réellement apporté quelque chose. J'aimerais que TOUT LE MONDE lise ce livre.

Puis la fin. Ohmondieu les deux cents dernières pages. Je ne peux rien en dire sans spoiler, mais elle est à la fois une clôture parfaite (tout s'emboîte parfaitement), une envie BRÛLANTE d'en savoir plus, un appel à l'émotion, et quelques surprises délicieuses. C'est à peine si je pouvais respirer en lisant ces dernières pages, tellement j'étais accrochée au livre.

C'est un cycle dont j'ai hâte de lire tous les tomes, et je le recommande fortement à tout amateur de fantasy. Surtout que le deuxième tome est encore meilleur. Cela faisait vraiment longtemps que je n'ai pas été plongée à ce point dans une histoire, que je n'ai pas cette impression de vie pour les personnages, et que je n'avais pas ressenti autant d'excitation, de peur et de surprises en lisant les péripéties. À lire.

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Quelle claque !! Après avoir entendu parler de ce cycle de Fantasy pendant des années, je m'y suis enfin mis. Aucun regret. Aux premiers abords, il peut paraître difficile de s'immerger dans l'univers mais l'écriture et le style font que cela vient au fil de la lecture sans difficulté. On suit 4 personnages dans ce premier tome qui, sans aucun doute, seront réunis dans la suite. le système de magie est très poussé et les personnages bien développés. de la Fantasy pour adultes de grande qualité !
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De la bonne fantasy, comme toujours avec Sanderson. de l'imaginaire à revendre, des personnages hors du commun. Bref, tous les ingrédients d'un coup de coeur évidemment. Il me tarde déjà de me plonger dans la deuxième partie de la voie des rois.

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J'entendais énormément parler de la saga Les archives de Roshar de Brandon Sanderson. Comme chacun sait, j'ai beaucoup le travail de cet auteur, qui est l'une des plumes les plus productives et immersives de la fantasy moderne. Comme toujours, le premier tome, la voie des rois, est un pavé bien épais dans une saga qui compte déjà pas mal de tomes. Alors qu'ai-je pensé de ce premier pas dans ce nouvel univers ?

Ce qui surprend très vite dans la lecture de ce premier tome, c'est la grande richesse de l'univers. Brandon Sanderson a l'habitude des worldbuilding très détaillés. Ici, il s'est surpassé. Nous sommes dans un monde où le souvenir de grands guerriers passés hantent encore différents peuples variés. Les Chevaliers Radieux ont laissé des reliques puissantes dont des nobles cherchent sans cesse à s'emparer. En conséquence, il y a constamment des conflits armés au sein duquel des soldats normaux sont engagés. de plus, d'autres pierres confèrent des pouvoirs à leurs possesseurs, créant des convoitises. Enfin, une période étrange et oubliée, dangereuse, semble revenir à la surface. Ce sont beaucoup d'éléments épars qui apparaissent petit à petit sans qu'on ait accès à la vérité. Comme si on regardait un rideau opaque. On sent une histoire construite avec attention.

Pour bien développer, l'auteur a choisi de mettre en scène plusieurs personnages qui ne semblent avoir aucune connexion à première vue. le noble Dalinar, frère d'un roi assassiné. Shallan, élève d'une hérétique aux desseins cachés. Kaladin, l'ancien soldat devenu esclave contraint à une tache particulièrement éprouvante. Szeth, un assassin mystérieux… Ils apparaissent plus ou moins, mais chacun a son propre arc narratif. Cela permet de voir plusieurs aspects de l'univers : la place de l'érudition et des femmes dans certaines cultures, la brutalité de la guerre et son manque de sens, le passé complexe de ces terres qui semblent annoncer des temps sombres, les pouvoirs mystérieux qui animent certaines personnes. le roman présente également une mosaïque de peuples différents, parfois similaires aux humaines, avec des rites et des croyances qui leur sont propres.

J'ai beaucoup suivre la plupart des personnages, qui ont tous des personnalités et des développements passionnants et bien maîtrisés. Sanderson confirme sa capacité à mettre en scène des personnages variés, profonds et avec des motivations variées. Je suis très intriguée par le personnage de Szeth, bien qu'il ne soit pas le plus mis en avant. L'assassin en blanc a un passé très obscur, on se demande tout du long comment il en est arrivé là malgré sa grande puissance. Kaladin suit également une voie bien étrange alors qu'il est âgé d'à peine 19 ans. Sa détresse est bien mise en avant, et son histoire est la plus détaillée à travers de multiples flashback qui apportent également beaucoup de questions. Quant à Shallan, j'ai apprécié sa détermination même si pour moi elle est assez statique dans son évolution.

J'ai cependant failli décroché parfois, justement car l'histoire progresse lentement. En effet, le tome est assez bavard et descriptif. Je pense qu'il faut le prendre comme une introduction vers des événements d'une plus vaste ampleur, ce qui se voit puisque le premier tome a été découpé en deux livres vu la taille de la bête finale. malgré l'écriture toujours fluide de Brandon Sanderson, La voie des rois a parfois manqué d'action à mon goût. L'alternance des points de vue ajoute à ce côté lent,c e qui est souvent le cas dans les récits qui utilisent ce procédé narratif. Il faut donc comprendre que c'est le genre de roman que l'on referme avec plus de questions que de réponses, mais assez intrigué pour avoir envie de lire la suite.

En conclusion, La voie des rois, premier tome de la saga Les archives de Roshar de Brandon Sanderson, est un ouvrage qui séduit par son univers riche et complexe, ainsi que par ses personnages variés et bien construits. L'auteur met en scène plusieurs protagonistes ayant chacun leur propre arc narratif, offrant ainsi une mosaïque de peuples différents avec des croyances et des rites spécifiques. Cependant, le roman progresse lentement et peut sembler bavard et descriptif par moments, ce qui peut décourager certains lecteurs en quête d'action. Néanmoins, Sanderson a construit un monde fascinant et offre un début de saga prometteur, incitant le lecteur à vouloir découvrir la suite des événements.
Lien : https://lageekosophe.com/202..
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Sanderson est considéré comme un des grands piliers de la Fantasy. J'avais d'ailleurs vu (que) des critiques dithyrambiques partout concernant La Voie des Rois, c'est pas les 2 parties de 1000 pages chacune qui allaient m'effrayer. Mais quelle horreur.

1000 pages où il ne se passe rien. Les 3 personnages principaux que l'on suit tournent en rond et parlent pour ne rien dire au fil de pages. Les enjeux, le rythme, les problématiques, les révélations, l'épique ? Connais pas. Globalement les personnages sont au même point à la fin du tome qu'au début.

L'univers est extrêmement (et inutilement/artificiellement!) complexe. Les 1eres pages, j'ai même cru que je lisais un livre en langue étrangère. Que ce soit la hiérarchie sous forme de castes, les différents type d'humains ou d'espèces, la théologie, L Histoire, la géographie, tout cet univers est esquissé sous forme de confettis d'infos pas claires parsemées au fil de phrases (et démerde toi Lecteur). même les choses les plus simples ont un nom spécial, il faudrait un dictionnaire (c'est pas un bracelet magique c'est un spiricante). le mec distille des milliards d'infos au milieu de phrases anodines, sans que l'on sache vraiment si cela a son importance plus tard ou pas (en tout cas pas dans ce tome là) - encore faut il comprendre les infos/allusions posées là sur le bord d'une phrase ! Et quid des descriptions à rallonge qui décrivent des choses inutiles en oubliant l'essentiel, de fait on saura combien de bouton comporte le costume de la nana et on saura dans quel ordre il faut mettre les morceaux d'armure (ah non pardon c'est pas une armure c'est un Porte Éclat parce que faut faire tout compliqué) mais on ne saura pas à quoi ressemble la ville où on se trouve.
Juste pour le fun : Numuhukumakiaki'aialunamor (un nom de personnage - no joke - intérêt scénaristique 0).
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