Critiques filtrées sur 4 étoiles
Et voilà, j'ai fini le Witcher… Je viens de tourner la dernière page du septième tome et les personnages que j'ai aimé suivre pendant presque une année me manquent déjà…
Fini les joutes verbales entre Geralt de Riv et Yennefer. Fini de suivre les pérégrinations de la jeune et impétueuse Ciri. Plus de sourires devant les frasques et la suffisance de Jaskier qui ne perd jamais sa bonne humeur, qu'importe les circonstances…. Et les compagnons de Geralt auxquels je m'étais habituée comme par exemple et pour n'en citer qu'un seul le savoureux Regis, le vampire le plus sympathique que je n'ai jamais croisé…
Bon, il fallait bien un moment que cela cesse, contrairement à certaines séries à rallonge où l'on ne voit plus la fin arriver et qui s'essoufflent immanquablement…
Ce dernier tome, intitulé La dame du lac n'est pas forcement mon tome préféré, et pas seulement car il s'agit du dernier…
En effet, je trouve qu'il y a avait quelques longueurs qui ont bien entamé ma patience…Les batailles qui n‘en finissaient plus alors que je mourrais d'envie de rejoindre les protagonistes de l'histoire et savoir ce qu'il allait advenir d'eux… C'est vraiment à cause de cela que je n'attribue pas la quatrième étoile en notation.
Je reconnais avoir été vraiment surprise par l'un des coups de théâtre de la fin, tout en déplorant le fait que l'on ne saura pas ce que vont advenir certains personnages…
Mais bon, dans l'ensemble, j'ai vraiment bien aimé lire cette série et je reconnais que quand je regarderais la série télévisée, je ne pourrais m'empêcher de confronter les deux versions…
Challenge Séries 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
Fini les joutes verbales entre Geralt de Riv et Yennefer. Fini de suivre les pérégrinations de la jeune et impétueuse Ciri. Plus de sourires devant les frasques et la suffisance de Jaskier qui ne perd jamais sa bonne humeur, qu'importe les circonstances…. Et les compagnons de Geralt auxquels je m'étais habituée comme par exemple et pour n'en citer qu'un seul le savoureux Regis, le vampire le plus sympathique que je n'ai jamais croisé…
Bon, il fallait bien un moment que cela cesse, contrairement à certaines séries à rallonge où l'on ne voit plus la fin arriver et qui s'essoufflent immanquablement…
Ce dernier tome, intitulé La dame du lac n'est pas forcement mon tome préféré, et pas seulement car il s'agit du dernier…
En effet, je trouve qu'il y a avait quelques longueurs qui ont bien entamé ma patience…Les batailles qui n‘en finissaient plus alors que je mourrais d'envie de rejoindre les protagonistes de l'histoire et savoir ce qu'il allait advenir d'eux… C'est vraiment à cause de cela que je n'attribue pas la quatrième étoile en notation.
Je reconnais avoir été vraiment surprise par l'un des coups de théâtre de la fin, tout en déplorant le fait que l'on ne saura pas ce que vont advenir certains personnages…
Mais bon, dans l'ensemble, j'ai vraiment bien aimé lire cette série et je reconnais que quand je regarderais la série télévisée, je ne pourrais m'empêcher de confronter les deux versions…
Challenge Séries 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
Final de cette saga qui m'a accompagnée toute cette année. Une fin qui est une sacrée petite brique et qui ne se lit pas aussi vite que je l'aurais souhaité.
Ce tome est bel et bien la fin de l'aventure Ciri, Geralt et Yennefer.
Ciri s'est échappée de Bonhart pour arriver dans un nouveau monde, duquel il lui faut de nouveau s'enfuir. En effet, ses amis ont besoin d'elle. du moins, Yennefer, captive de Vilgerfortz. Tandis que Geralt est à Toussaint, principauté des contes de fée, dans les bras de Fringilla Vigo... Malgré ses compagnons qui lui demandent de reprendre rapidement leur quête.
Un début plein de promesses dans lequel l'auteur nous déroute à nouveau avec ces jeux sur les narrations aux temporalités multiples. Un peu déroutante, ceci reste pourtant la signature de Sapkowski. On finit par suivre, bon gré mal gré. Ici, nous avons donc une réécriture du mythe de Camelot et surtout un duo de femmes qui cherchent à faire le point sur l'histoire de nos trois héros, notamment grâce aux dons de l'une d'entre elles : percevoir le passé en songe à partir d'images vues dans son éveil. Une petite touche d'originalité mais je trouve qu'on leur donne peut-être une trop grosse place au début, si bien que l'on tarde à se mettre dans le récit. Ce problème de rythme se retrouve d'ailleurs dans tout le récit, ce qui a engendré chez moi une certaine frustration. Il y avait, dans cette brique, en définitive peu de Geralt/ Ciri et Yennefer. Effectivement, l'auteur s'entend à nous donner une conclusion pour chacun des points de cet univers riche. A commencer par la guerre. Autant, je suis d'accord sur ce parti-pris, autant, je trouve que certains chapitres auraient pu être allégés et surtout les chapitres de notre trio un peu plus étoffés. En ce qui concerne l'action, on se retrouve au point culminant, bien réalisé du reste, au deux tiers du livre. Là encore, l'épilogue donne l'impression de traîner en longueur, même si il apporte beaucoup d'émotions et une fin, en définitive, réussie.
La saga en temps que telle reste une très bonne découverte avec des personnages qui m'ont beaucoup touchés. J'ai vraiment la sensation de quitter de bons amis. Je suis ravie de me dire que je ne quitte pas tout à faire le sorceleur pour autant vu qu'il me reste le tome préquel La Saison des orages.
Ce tome est bel et bien la fin de l'aventure Ciri, Geralt et Yennefer.
Ciri s'est échappée de Bonhart pour arriver dans un nouveau monde, duquel il lui faut de nouveau s'enfuir. En effet, ses amis ont besoin d'elle. du moins, Yennefer, captive de Vilgerfortz. Tandis que Geralt est à Toussaint, principauté des contes de fée, dans les bras de Fringilla Vigo... Malgré ses compagnons qui lui demandent de reprendre rapidement leur quête.
Un début plein de promesses dans lequel l'auteur nous déroute à nouveau avec ces jeux sur les narrations aux temporalités multiples. Un peu déroutante, ceci reste pourtant la signature de Sapkowski. On finit par suivre, bon gré mal gré. Ici, nous avons donc une réécriture du mythe de Camelot et surtout un duo de femmes qui cherchent à faire le point sur l'histoire de nos trois héros, notamment grâce aux dons de l'une d'entre elles : percevoir le passé en songe à partir d'images vues dans son éveil. Une petite touche d'originalité mais je trouve qu'on leur donne peut-être une trop grosse place au début, si bien que l'on tarde à se mettre dans le récit. Ce problème de rythme se retrouve d'ailleurs dans tout le récit, ce qui a engendré chez moi une certaine frustration. Il y avait, dans cette brique, en définitive peu de Geralt/ Ciri et Yennefer. Effectivement, l'auteur s'entend à nous donner une conclusion pour chacun des points de cet univers riche. A commencer par la guerre. Autant, je suis d'accord sur ce parti-pris, autant, je trouve que certains chapitres auraient pu être allégés et surtout les chapitres de notre trio un peu plus étoffés. En ce qui concerne l'action, on se retrouve au point culminant, bien réalisé du reste, au deux tiers du livre. Là encore, l'épilogue donne l'impression de traîner en longueur, même si il apporte beaucoup d'émotions et une fin, en définitive, réussie.
La saga en temps que telle reste une très bonne découverte avec des personnages qui m'ont beaucoup touchés. J'ai vraiment la sensation de quitter de bons amis. Je suis ravie de me dire que je ne quitte pas tout à faire le sorceleur pour autant vu qu'il me reste le tome préquel La Saison des orages.
J'ai un peu tardé à ouvrir ce dernier tome. Des avis glanés deci, delà m'ayant fait redouter ce rendez-vous mensuel.
Et puis je l'ai ouvert et en deux jours dévoré. Certes il n'est pas parfait. Certes j'ai regretté que cette fois encore la narration soit hétérogène, de songes et tableaux, de reprise de recit, de courses entre les plans sur mon petit poney.
Mais on y gagne en retour la fin d'une épopée patiemment construite au fil des tomes. Une croisée des légendes, la façon particulière de chacun de suivre ce qu'il comprend de sa destinée. Cette destinée qui lie tous les personnages sans pourtant les emprisonner. Cette destinée qui use aussi. Tel Géralt qui rend les armes à tout, aux pieds de la déesse Aquoibonmenfous. On se dit nous aussi qu'il est peut-être temps de refermer la porte. L'univers est déjà riche, encore d'avantage si on rajoute à cette lecture celle des scénaristes du jeu de CD projekt et si on suit la maxime que toute chose a une fin, autant que ce soit cette fin là.
Va Faill, GwynBleidd !
Et puis je l'ai ouvert et en deux jours dévoré. Certes il n'est pas parfait. Certes j'ai regretté que cette fois encore la narration soit hétérogène, de songes et tableaux, de reprise de recit, de courses entre les plans sur mon petit poney.
Mais on y gagne en retour la fin d'une épopée patiemment construite au fil des tomes. Une croisée des légendes, la façon particulière de chacun de suivre ce qu'il comprend de sa destinée. Cette destinée qui lie tous les personnages sans pourtant les emprisonner. Cette destinée qui use aussi. Tel Géralt qui rend les armes à tout, aux pieds de la déesse Aquoibonmenfous. On se dit nous aussi qu'il est peut-être temps de refermer la porte. L'univers est déjà riche, encore d'avantage si on rajoute à cette lecture celle des scénaristes du jeu de CD projekt et si on suit la maxime que toute chose a une fin, autant que ce soit cette fin là.
Va Faill, GwynBleidd !
Dernier tome de la saga (je dois encore écouter le préquel mais il s'agit de nouvelles indépendantes d'après ce que j'ai compris) avec 24h d'écoute... Mais la motivation et le plaisir restent intacts !
On retrouve enfin un peu plus du Sorceleur même si le début était laborieux... L'auteur passe d'un monde, d'un narrateur et d'une époque à l'autre. C'est un peu épuisant de tenter de s'y retrouver en permanence. Ici il change à nouveau de style en mettant du légendaire dans la légende, c'est inutile et ça fait perdre du temps et du rythme selon moi.
J'ai adoré retrouver les personnages principaux et les liens qui les unissent. La parenthèse enchantée de Geralt et ses amis, la reprise en main de Ciri, le retour de Yennefer...
J'ai cependant détesté les magiciennes, les espions et les politiciens pour leurs manigances mais aussi la populace et les soldats pour leur violence et leurs bas instincts.
C'est un final dans les tons de gris. Je ne peux m'empêcher d'être déçue de la façon dont ça se termine, un peu trop floue, pas assez épique à mon goût. Mais j'ai apprécié le parcours et je recommande la saga.
On retrouve enfin un peu plus du Sorceleur même si le début était laborieux... L'auteur passe d'un monde, d'un narrateur et d'une époque à l'autre. C'est un peu épuisant de tenter de s'y retrouver en permanence. Ici il change à nouveau de style en mettant du légendaire dans la légende, c'est inutile et ça fait perdre du temps et du rythme selon moi.
J'ai adoré retrouver les personnages principaux et les liens qui les unissent. La parenthèse enchantée de Geralt et ses amis, la reprise en main de Ciri, le retour de Yennefer...
J'ai cependant détesté les magiciennes, les espions et les politiciens pour leurs manigances mais aussi la populace et les soldats pour leur violence et leurs bas instincts.
C'est un final dans les tons de gris. Je ne peux m'empêcher d'être déçue de la façon dont ça se termine, un peu trop floue, pas assez épique à mon goût. Mais j'ai apprécié le parcours et je recommande la saga.
Dernier roman de la série Sorceleur, la Dame du Lac est aussi sans doute le plus passionnant.
Bien qu'un peu lent à démarrer au début avec ses flashbacks incessants (et un peu désagréables), l'action finit par se mettre en place petit à petit pour finir en véritable apothéose.
Les personnages sont toujours aussi bien vus, complexes et attachants. Les scènes de batailles très bien écrites et l'univers toujours aussi sombre et réaliste.
Le petit clin d'oeil aux légendes Arthuriennes fait sourire même si cela n'apporte pas grand chose à l'histoire.
Au final j'ai passé un agréable moment avec Géralt et sa petite troupe. Sans être un monument de l'Heroic Fantasy, la saga du Sorceleur aura au moins eu ce mérite. Ce fut réellement une bonne découverte qui m'a très peu déçu.
Avis aux amateurs !!
Bien qu'un peu lent à démarrer au début avec ses flashbacks incessants (et un peu désagréables), l'action finit par se mettre en place petit à petit pour finir en véritable apothéose.
Les personnages sont toujours aussi bien vus, complexes et attachants. Les scènes de batailles très bien écrites et l'univers toujours aussi sombre et réaliste.
Le petit clin d'oeil aux légendes Arthuriennes fait sourire même si cela n'apporte pas grand chose à l'histoire.
Au final j'ai passé un agréable moment avec Géralt et sa petite troupe. Sans être un monument de l'Heroic Fantasy, la saga du Sorceleur aura au moins eu ce mérite. Ce fut réellement une bonne découverte qui m'a très peu déçu.
Avis aux amateurs !!
- La dame du lac, exploratrice de l'éternité et de l'infini 🐺
Conclusion à la saga épique de Sapkovski, la dame du lac est un tome dans lequel la providence et le rôle qu'y jouent nos 3 protagonistes prennent une dimension monumentale.
-SPOIL-
Nous retrouvons Ciri, à notre plus grand étonnement, dans le Royaume de Bretagne du mythique roi Arthur Pendragon. Elle y fait la rencontre de Galaad, au travers duquel elle va nous conter la fin de la légende de l'enfant de sang ancien.
Depuis son entrée dans la Tor Zireael, l'enfant surprise va de découverte en découverte quant à la nature de ses pouvoirs et aux enjeux de sa destinée. Voyageant entre les mondes et les époques, elle cherche à retrouver Geralt et Yennefer, mais ce n'est pas tâche aisée…
En effet, tandis que l'une est retenue prisonnière par Vilgefortz, l'autre est retenu par l'hiver et l'oisiveté dans le Royaume de Toussaint avec toute sa compagnie.
Ce tome est réellement le bouquet final de cette histoire grandiose, alliant à merveilles révélations décisives, guerres de grande envergure et aboutissement des relations entre les personnages, la fin ouverte contribuant à garder un certain sens du mystère et de l'interprétation, et laissant le champ libre à Ciri pour explorer en profondeur les perspectives que lui offrent son pouvoir
Conclusion à la saga épique de Sapkovski, la dame du lac est un tome dans lequel la providence et le rôle qu'y jouent nos 3 protagonistes prennent une dimension monumentale.
-SPOIL-
Nous retrouvons Ciri, à notre plus grand étonnement, dans le Royaume de Bretagne du mythique roi Arthur Pendragon. Elle y fait la rencontre de Galaad, au travers duquel elle va nous conter la fin de la légende de l'enfant de sang ancien.
Depuis son entrée dans la Tor Zireael, l'enfant surprise va de découverte en découverte quant à la nature de ses pouvoirs et aux enjeux de sa destinée. Voyageant entre les mondes et les époques, elle cherche à retrouver Geralt et Yennefer, mais ce n'est pas tâche aisée…
En effet, tandis que l'une est retenue prisonnière par Vilgefortz, l'autre est retenu par l'hiver et l'oisiveté dans le Royaume de Toussaint avec toute sa compagnie.
Ce tome est réellement le bouquet final de cette histoire grandiose, alliant à merveilles révélations décisives, guerres de grande envergure et aboutissement des relations entre les personnages, la fin ouverte contribuant à garder un certain sens du mystère et de l'interprétation, et laissant le champ libre à Ciri pour explorer en profondeur les perspectives que lui offrent son pouvoir
Ultime tome de la saga du Sorceleur, "La Dame du lac" clos avec force cette longue aventure. le choix narratif de nous faire vivre ce dernier tome sous forme de « recherche onirique » au côté de deux personnages inédits est plutôt risqué mais donne un rythme intéressant. le livre souffre tout de même de quelques longueurs lors des errances de Ciri et donne, encore une fois, une piètre estime de son héroïne féminine (et des femmes de cet univers en général). Toutefois, nous avons droit à une fin épique et une belle conclusion.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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En résumé : Fantasy. Les aventures du célèbre Geralt de Riv, sorceleur de son état, qui parcourt les contrées à la recherche de monstres à terrasser et de villageois à sauver ⚔️
En détail :
Ce tome est le dernier de la saga, il clôture donc les aventures du Sorceleur, de Yennefer, Ciri et tous les autres personnages qui ont occupé des dizaines d'heures de lecture. Un sort est fait à chaque protagoniste, que ce soit une fin tragique, une débâcle ou une retraite paisible : pas de doute, nous sommes bien sur la fin de l'histoire. D'ailleurs, le tome “La saison des orages”, que l'auteur a écrit après la sortie de la série Netflix, se situe chronologiquement juste après la rencontre entre Geralt et Yennefer, il ne s'agit donc pas d'une suite.
Mais pour revenir à ce dernier tome, nous retrouvons la manière si particulière de l'auteur de raconter l'histoire, en superposant des récits et des points de vue, plus ou moins courts. A bien y réfléchir, c'est exactement comme s'il commençait par renverser les pièces d'un puzzle sur la table et qu'il se mettait à assembler les pièces. Parfois il en prend une pour voir si elle correspond, pour la reposer, la reprendre plus tard, jusqu'à ce qu'elle s'emboîte dans le récit principal et là, c'est la révélation 💡
Un point de vue est particulièrement intéressant : celui de Nimue et de la rêveresse Condwiramurs. Elles interviennent très longtemps après les évènements du récit principal. L'histoire de Ciri et du sorceleur est devenue une légende au fil du temps, avec de nombreuses variations. Elles essaient de démêler le vrai du faux à travers des textes et illustrations. Une mise en abyme du roman pleine d'humour.
Le récit fait également de nombreuses références à d'autres motifs littéraires. Dans ce tome, Ciri débarque en pleine légende arthurienne, et va converser avec Galaad entre deux aventures.
Je lirai très certainement le tome de "La saison des orages", mais dans quelques temps, cela me permettra de me replonger dans cet univers ✨
Du même auteur : La trilogie Hussite
Dans le même genre : le seigneur des anneaux, de J.R.R. Tolkien.
En détail :
Ce tome est le dernier de la saga, il clôture donc les aventures du Sorceleur, de Yennefer, Ciri et tous les autres personnages qui ont occupé des dizaines d'heures de lecture. Un sort est fait à chaque protagoniste, que ce soit une fin tragique, une débâcle ou une retraite paisible : pas de doute, nous sommes bien sur la fin de l'histoire. D'ailleurs, le tome “La saison des orages”, que l'auteur a écrit après la sortie de la série Netflix, se situe chronologiquement juste après la rencontre entre Geralt et Yennefer, il ne s'agit donc pas d'une suite.
Mais pour revenir à ce dernier tome, nous retrouvons la manière si particulière de l'auteur de raconter l'histoire, en superposant des récits et des points de vue, plus ou moins courts. A bien y réfléchir, c'est exactement comme s'il commençait par renverser les pièces d'un puzzle sur la table et qu'il se mettait à assembler les pièces. Parfois il en prend une pour voir si elle correspond, pour la reposer, la reprendre plus tard, jusqu'à ce qu'elle s'emboîte dans le récit principal et là, c'est la révélation 💡
Un point de vue est particulièrement intéressant : celui de Nimue et de la rêveresse Condwiramurs. Elles interviennent très longtemps après les évènements du récit principal. L'histoire de Ciri et du sorceleur est devenue une légende au fil du temps, avec de nombreuses variations. Elles essaient de démêler le vrai du faux à travers des textes et illustrations. Une mise en abyme du roman pleine d'humour.
Le récit fait également de nombreuses références à d'autres motifs littéraires. Dans ce tome, Ciri débarque en pleine légende arthurienne, et va converser avec Galaad entre deux aventures.
Je lirai très certainement le tome de "La saison des orages", mais dans quelques temps, cela me permettra de me replonger dans cet univers ✨
Du même auteur : La trilogie Hussite
Dans le même genre : le seigneur des anneaux, de J.R.R. Tolkien.
J'ai lu cette saga au cours des derniers mois qui se sont écoulés et j'ai vécu au rythme des personnages. Je me suis vraiment laissée emporter dans cette saga.
J'ai vraiment apprécié les personnages, même si je me suis rendue compte que je ne m'étais pas attachée à tous outre mesure (Yennefer par exemple). J'aurais aimé que la psychologie des personnages soit plus developpée.
J'ai trouvé que c'était un univers bien construit et développé, à travers des chapitres dont la narration alterne, ce qui permet de vraiment se plonger dans ce monde et d'en saisir les enjeux géopolitiques, même si ça peut parfois perdre un peu le lecteur. Je trouve vraiment dommage que l'auteur n'ait pas ajouté une carte, ça m'aurait grandement aidé à me représenter l'univers et visualiser le voyage des protagonistes.
Je rejoins aussi les autres lecteurs quant au fait que l'alternance de chapitres à propos des personnages principaux puis des chapitres sur autre chose (sur la guerre etc) casse le rythme du livre, ce qui ne rend pas la lecture fluide.
Sur les derniers tomes, j'ai beaucoup aimé le principe de narration imbriquée, où un personnage va raconter son histoire une fois que l'événement est passé.
J'ai globalement aimé l'ensemble des tomes. Je ne savais pas à quoi m'attendre avant d'entamer ma lecture, et maintenant que je l'ai terminée, je ne saurais trop comment définir cette saga.
Je ne m'attendais pas du tout à cette fin. le dernier chapitre m'a suprise et émue. Toutefois, il me reste un peu une sensation d'inachevé, j'aurais aimé avoir plus de détails sur le sort réservé aux personnages après la saga.
Bref, une très bonne lecture, j'aurais plaisir à m'y replonger dans quelques années, et avant ça, de découvrir la suite imaginée par les jeux vidéos !
J'ai vraiment apprécié les personnages, même si je me suis rendue compte que je ne m'étais pas attachée à tous outre mesure (Yennefer par exemple). J'aurais aimé que la psychologie des personnages soit plus developpée.
J'ai trouvé que c'était un univers bien construit et développé, à travers des chapitres dont la narration alterne, ce qui permet de vraiment se plonger dans ce monde et d'en saisir les enjeux géopolitiques, même si ça peut parfois perdre un peu le lecteur. Je trouve vraiment dommage que l'auteur n'ait pas ajouté une carte, ça m'aurait grandement aidé à me représenter l'univers et visualiser le voyage des protagonistes.
Je rejoins aussi les autres lecteurs quant au fait que l'alternance de chapitres à propos des personnages principaux puis des chapitres sur autre chose (sur la guerre etc) casse le rythme du livre, ce qui ne rend pas la lecture fluide.
Sur les derniers tomes, j'ai beaucoup aimé le principe de narration imbriquée, où un personnage va raconter son histoire une fois que l'événement est passé.
J'ai globalement aimé l'ensemble des tomes. Je ne savais pas à quoi m'attendre avant d'entamer ma lecture, et maintenant que je l'ai terminée, je ne saurais trop comment définir cette saga.
Je ne m'attendais pas du tout à cette fin. le dernier chapitre m'a suprise et émue. Toutefois, il me reste un peu une sensation d'inachevé, j'aurais aimé avoir plus de détails sur le sort réservé aux personnages après la saga.
Bref, une très bonne lecture, j'aurais plaisir à m'y replonger dans quelques années, et avant ça, de découvrir la suite imaginée par les jeux vidéos !
« La dame du lac » vient clore la geste de Ciri et accessoirement les aventures du sorceleur Geralt. Une fin que j'avais hâte de découvrir, d'autant plus avec l'introduction plus prégnante de la légende arthurienne.
Une conclusion relativement classique mais bienvenue pour un cycle que j'ai eu le plaisir de suivre jusqu'au bout et que je relirais peut-être un jour avec plaisir. Une grande affection pour les personnages et cet univers qui ne décroît nullement alors que le tout achève d'entrer dans ce qui relève d'un mythe, à l'image d'une grande partie des éléments puisés par l'auteur dans la culture populaire (contes, légendes, etc.).
Ne reste qu'à découvrir « La saison des orages » et quelques nouvelles absentes des recueils actuels pour achever ce grand tour de la saga littéraire mise en avant auprès du grand public via le jeux-vidéo et la série télé.
Une conclusion relativement classique mais bienvenue pour un cycle que j'ai eu le plaisir de suivre jusqu'au bout et que je relirais peut-être un jour avec plaisir. Une grande affection pour les personnages et cet univers qui ne décroît nullement alors que le tout achève d'entrer dans ce qui relève d'un mythe, à l'image d'une grande partie des éléments puisés par l'auteur dans la culture populaire (contes, légendes, etc.).
Ne reste qu'à découvrir « La saison des orages » et quelques nouvelles absentes des recueils actuels pour achever ce grand tour de la saga littéraire mise en avant auprès du grand public via le jeux-vidéo et la série télé.
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