John Scalzi.
L'interdépendance. Tome 3. La dernière emperox. L'Atalante. 310 pages. 2 étoiles Et 3 pages et demies de remerciements (une mode récente en Amérique apparemment : 5 étoiles.
Que dire à la lecture de ce dernier tome dont le précédent a été une DECEPTION ABYSSALE 😊 ?
Rien. Plus aucun souvenir de ce récit.
Je n'ai plus envie de m'étendre sur les
John Scalzi et autres
Jay Kristoff de cette génération d'auteurs américains suffisants et « paresseux » gonflés par la publicité et les encensements des éditeurs avides de pépettes.
Comme je les comprends…les temps sont durs. Mais c'est le lecteur qui paie les pots cassés.
Brisons là.
Un tome 3 meilleur que le précédent ce qui n'était pas difficile mais un récit qui se traîne, d'incohérence en lourdeur, et en redites…
Bref je vous déconseille de l'acheter et de vous en tenir au tome 1 qui était excellent lui…
Inexplicable non ? No-sense de la SF actuelle…Des livres d'excellente facture et des mêmes auteurs, des nanards complets, d'un tome à l'autre…
Pour moi c'est terminé. Je n'achète plus rien de ces auteurs américains. Ni
Scalzi, ni Kristoff. Lire mes critiques.
Si vous voulez du bon (ceux que j'ai lu récemment): l'excellent et plein d'humour et de sensibilité
Alien Earth de
Robin Hobb et
Semiosis (une histoire de communication entre une communauté humaine en difficulté et un environnement naturel sur une planète ouverte à la colonisation) de
Sue Burke.
Et les auteurs classiques anciens et modernes : voir la liste sur mon profil et toujours disponible pour en parler et vous aider dans le choix d'un nouvel auteur de SF.