Il n'y a déjà pas tant de différence entre la fatigue du fermier et la fatigue de l'école. Seulement, mon travail m'est bon pour la santé; il me donne de la force, de l'appétit et du sommeil; et toi, avec tes livres, tu te fatigues la tête, tu deviens malingre, tu dors mal, tu rêvasses un tas de choses qu'on n'y comprend rien; et, en somme, tu es fatigué plus que moi, tu es sérieux comme un âne et paresseux comme un loir.
M. FRÖLICHEIN
– Mon prafe bère Dômas, ché feux gomblimenter fotre cheune homme et lui
tonner un betit soufenir de ce peau chour.
Et comment veux-tu que les choses marchent si personne ne veut te fatiguer, ni suer, ni travailler?