Lire «
Les corbeaux d'Alep » de
Marie Seurat c'est comprendre une partie de l'histoire du Liban, et des stigmates que conserve encore Beyrouth, c'est comprendre ce qui fit aussi l'actualité française, avec l'enlèvement et l'assassinat de
Michel Seurat. C'est (déjà ?) réfléchir aux pouvoirs politiques, à ceux de la presse ; c'est s'interroger sur « le droit à l'information », sur le rôle de la communication et des images, bien compris par l'Orient, et qui sait fort bien en jouer, au détriment d'une humanité qui a besoin de respect, de vérité.