Deuxième tentative et deuxième échec.
Lucius Shepard n'est décidément pas un auteur qui sied à mon teint… trop de vert glauque et de gris brumeux…
Ce voyage le long du Mékong, en compagnie de (ou plutôt d'un des nombreux) Thomas Cradle, m'a laissée nauséeuse. Il faut dire que l'auteur a un talent certain pour fouiller dans les coins les plus abjects de l'être humain.
Sous le vernis policé de la sociabilité et de la gentillesse, doit-il forcément y avoir une part obscure qui cherche à se manifester ? Mon petit coeur d'artichaut n'adhère pas à la réponse de l'auteur…