The promised neverland, tome 19

The Promised Neverland Tome 19 | Shirai & Demizu

J'adore TPN mais tous les tomes ne m'offrent pas le même plaisir de lecture.

Celui-ci, l'avant-dernier de la série, compte parmi ceux qui m'ont le moins plus.

On est a un tournant important de l'histoire qui s'est construite au fil des tomes et ici c'est full action !
J'avoue préférer l'histoire quand il y a plus d'émotion que d'action.
Et puis je n'ai pas trouvé les illustrations spécialement intéressantes...
Surtout je garde un sentiment de surenchère constante... quand il y a un retournement de situation toutes les deux pages c'est trop pour moi, je décroche complètement.

Le tome 20 m'attend et j'espère que le final seras à la hauteur ❤️

On passe un cran au dessus par rapport au tome précédent. C'est l'avant dernier tome de la série qui nous prépare avec une fin en apothéose. Les enfants qui se sont enfuis dans les premiers tomes ont bien changé. Ils ont tout donné et appris à dompter leur peur pour aller de l'avant. Prendre les armes et tuer l'ennemi devient une solution pour permettre l'arrêt des fermes d'élevages. Surtout que ces êtres pourraient très bien se passer de la viande d'humain. L'espoir de vivre ensemble dans le respect de chacun semble possible et donne des ailes à ces leaders. Ils sont à la racine du système et sont à la mesure de changer les choses. Retour à Grace Field où tout à commencer et avec une maman des plus en forme, de tels atouts dans la poche permettent d'ouvrir des perspectives. Et ce ne sont pas les seuls à refaire surface et donner une nouvelle voie. Aurions-nous accepter un autre chemin que celui qu'à Kaiu Shirai a proposé? Après tant d'émotions et de rebondissement depuis si longtemps, nous avons le droit à une dossier d'espoir arraché par le courage et la bravoure. le tome se termine sur une action désespérée de Peter Ratri. Que va t'il arriver par la suite? On ne pouvait rêver meilleur cliffhanger pour avoir vraiment envie d'aller plus loin. Au final, le lecture se dévore d'une traite avec intensité et suspens. Est-ce que le duo de mangaka va arriver à trouver une fin qui fasse plaisir à tous?
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Battle for Neverland... voilà qui résume le contenu de cet avant-dernier tome de TPN.
Cette bataille se déroule deux fronts : le front de la Capitale dans lequel nos deux Sangs-Maudits vont faire appel à une aide très ancienne pour gouverner tandis que quelques nobles tentent de reprendre le contrôle à coups d'exécution sommaire et le front de Grace Field dans lequel nos chers orphelins fan de Call Of vont se friter une bonne fois pour toute face à un Peter Ratri désaxé et assoiffé de pouvoir.
Sans surprises, ce tome 19 est focalisé sur l'action et comme le plan semble reposer sur des rouages extrêmement parfaits, rien ne vient vraiment gâcher le sauvetage à l'exception de deux -trois balles perdues. Heureusement, les auteurs nous pondent un petit deus ex-machina plus ou moins grossier pour aider nos enfants. du coup, pas d'inquiétude.
Ce tome 19 n'est guère surprenant dans l'ensemble. On rebascule dans le machine gun au détriment d'une véritable stratégie plus fine. C'est intense, c'est dynamique mais c'est aussi précipitée. Pour rappel, la bataille de Goldy Pound avait duré un moment et les enfants devaient adopter leurs stratégies face à leurs différents adversaires ce qui promettaient des confrontations mémorables. Dans cet avant-dernier tome , l'action est lisse sans aucune notion de difficulté. Les enfants s'infiltrent aisément dans Grace Field et parvienne à hacker facilement le système... alors que Peter Ratri est entouré d'une armée de 2000 démons. Rien de palpitant à l'exception du retour d'un personnage dont le sort était incertain...
Cela fait très plaisir de revoir MAMAN qui est toujours aussi charismatique à souhait mais je trouve sa réapparition tellement sous-exploitée. En clair, elle réapparait pour faire un bon deus ex-machina des familles du genre " Je vous ai attendus une bonne année les enfants pour vous filer un coup de main car je savais que vous reviendriez, j'ai tellement la confiance...". Honnêtement, je l'aurais cru plus crédible de vouloir changer de camp comme une lâche plutôt que de nous faire deviner un faux état d'âme.

Pour moi, ce tome 19 témoigne d'un certain souci d'écriture qui provient du fait que la série est pratiquement finie et que le scénariste Kaiu Shira donne l'impression d'être rattrapé par cette même fin. du coup, il accumule des deus ex-machina assez mal emmenés comme l'apparition du grand prêtre et des quatre sages dont on n'avait jamais entendu parler jusqu'à maintenant mais il faut bien trouver un moyen de remettre les choses en ordres. Mais ce qui m'a surtout gonflé, c'est la réapparition soudaine du Grand-Duc Leuvis , une réapparition totalement WTF qui est uniquement là pour remettre l'intrigue dans le bon chemin. Ok, ce fut un personnage charismatique mais on devine le côté frileux du scénariste qui a du mal à se débarasser de certains personnages comme c'est le cas de Vincent qui manque d'y passer dans ce volume. Mais, pas de soucis, la bataille de Grace Field se déroule comme sur des roulettes et ce n'est pas le capricieux Peter Ratri qui va corser les choses.

Ce tome 19 est une déception. Cette ultime bataille aurait, selon moi, gagné à être beaucoup plus affinée, beaucoup plus tendue avec son lot de sacrifices. Quitte à la jouer action, autant y mettre davantage de bravoure comme ce fut le cas durant Goldy Pound ou encore le combat contre ce terminator d'Andrew qui a couté la vie à deux personnages...

Je n'ai jamais été un gros fan du côté gunfight de TPN mais c'était un aspect assumé et très divertissant. Et malheureusement, je n'ai pas retrouvé cette même intensité, cette même rage dans cette bataille finale lisse, expéditive et desservie par de faux revirements et des deus ex-machina maladroits.

Prochainement la conclusion pour les orphelins du Neverland.

La reine Legravalima a été définitivement vaincue, mais Peter Ratri a profité de l'absence des chefs de file de la rébellion pour attaquer le Paradis et enlever tous les enfants. C'est donc vers Grace Field, où il les retient, que convergent Emma, Ray, Norman et les autres dans cet avant-dernier tome de The Promised Neverland.

…

Voilà. J'en suis au stade où je ne sais même plus quoi dire sans me répéter. On a l'histoire qui se divise en deux sous-intrigues distinctes : Emma et cie qui partent à Grace Field sauver leurs amis, et Mujika et Sonju qui se mettent en quête d'un nouveau roi avant de se faire capturer comme des quiches dix pages plus loin.

Capturer, pas tuer. Oui, ce n'est pas comme s'ils étaient recherchés depuis 700 ans à cause de leur sang susceptible de bouleverser l'ordre établi et de nuire aux dirigeants qui veulent les voir morts (mais pas tellement, du coup) pour conserver le pouvoir et la richesse que leur procurent les fermes. Donc ils attendent. Quoi, au juste ? Eh bien, le deus ex machina de ce tome.

Alors certes, la réapparition dudit deus ex machina ne sort pas de nulle part, un subtil indice permettait de deviner qu'il reviendrait tôt ou tard, mais qu'il débarque pile là, au bon moment, pour arranger la situation, parce qu'Emma purifie tous les coeurs et tous les esprits qu'elle rencontre (pinaise, même un épisode des Lolirock ne serait pas aussi niais !), c'est trop facile.

Et trop rapide. Finalement, ce n'est pas qu'aux Sept Murs que le temps et l'espace sont relatifs. Comment tout à le temps de se produire ? Comment Peter Ratri a déjà pu organiser un nouveau gouvernement ? Et comment les démons acceptent de suivre les directives d'un humain ? Et idem à Grace Field, pourquoi ils n'ont pas tué les gosses avant que le commando des Premium débarque ? Ce n'est pas comme s'ils avaient prouvé à maintes reprises qu'ils étaient imbattables et increvables…

Ah mais oui, c'est vrai, Peter Ratri n'est en fait rien qu'un guignol mégalo convaincu qu'il va réussir là où des antagonistes bien plus intelligents et charismatiques que lui (Isabella, Bayon, Leuvis, Andrew, la royauté…) ont échoué au préalable. Super, le boss de fin.

Et super aussi, la bataille de fin. Très confuse, très rapide… On a passé trois tomes sur celle de Goldy Pond, et tout le précédent sur la résurrection (totalement inutile) de Legravalima, mais là, on expédie l'ultime affrontement en deux temps, trois mouvements ? Ultime affrontement qui se termine sur un pseudo cliffhanger, parce qui, sérieusement, pense qu'Emma va (enfin) se prendre une balle en pleine tête ?

Bon, tout n'est pas à jeter non plus. Les deux grands retours, même s'ils sont un peu trop faciles et commodes, ramènent sur le devant de la scène des personnages ultra-charismatiques qu'il est bon de revoir, et qui offrent (pour l'un en particulier) des moments assez forts.

Je suis aussi contente d'avoir eu ma réponse concernant le « plat » servi pour la Tifari, même si ça soulève d'autres questions, du genre… Pourquoi les enfants de Grace Field sont livrés à douze ans ? Norman établit au début que c'est l'âge auquel leur cerveau est pleinement constitué, mais pourquoi ne pas les garder plus longtemps (jusqu'au bout de leur croissance, par exemple, histoire qu'il y ait encore plus de viande à se mettre sous la dent) ? D'autant qu'on sait que c'est déjà le cas dans d'autres fermes, comme Glory Bell, où ils sont livrés plus tard. Et idem, toute cette histoire de ne pas les traumatiser, du fait qu'ils ne doivent pas vivre dans un environnement anxiogène pour ne pas nuire à leur qualité, tout ça… Ça ne s'appliquait pas au personnage qui a été livré et qui a dû en voir quand même des vertes et des pas mûres tout au long de son existence ?

Incohérences et facilités scénaristiques jusqu'au bout, donc. Allez, plus qu'un, et je ne sais pas pourquoi, mais mon instinct me souffle que ça va être le pire…
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

J'ai un avis assez mitigé concernant ce tome...
J'ai beaucoup aimé la première partie où il y a un vrai suspens et surtout j'adore la façon dont les démons sont humanisés. Cette partie nous ramène aux sources de la série avec cette remise en question qu'elle nous apporte. Cela nous montre que tout n'est pas noir ou blanc, nous n'avons pas les méchant d'un côté et les gentils de l'autre. C'est là l'originalité de ce shonen, je ne peux qu'adhérer.

Cependant dans la seconde partie où l'on retrouve nos héros nous nous retrouvons encore une fois face à des combats rapides et faciles. Ils ne peuvent pas s'en sortir sans dommage avec un tel univers, les premiers tomes ont posé une ambiance particulièrement sombre que je ne retrouve plus, cela me manque.
De plus dans cette partie il y a également le retour d'un personnage que l'on attendait depuis longtemps, j'en attendais beaucoup et je suis déçue... Ses actions sont tellement prévisibles... J'espère que ce personnage aura plus d'impact dans la suite et qu'il arrivera à me surprendre.
Maintenant j'attends le dernier tome pour voir si la fin saura me convaincre.