Batman, Tome 6 :

[Bullock à Batman] J'avoue, je suis impressionné. Je pensais que vous aviez besoin de toits ou de cheminées pour vous tapir dans l'ombre, mais même en pleine cambrousse, vous êtes le roi du cache-cache.

[Harper à Batman] Je me fiche éperdument de qui se cache derrière ce masque. Je ne veux pas t'identifier à quelqu'un...
... [...] tu n'es pas censé être un homme, tu es censé être une idée.

L'enfer, c'est les autres. L'enfer, c'est la répétition. L'enfer, c'est pour les héros. L'enfer, c'est une cage.

Toi qui disposes d'un arsenal, connais-tu l'arme la plus cruelle ? Est-ce la lame, qui torture avant de tuer ? Est-ce le poison, qui fait bouillir le sang de l'agonisant ? Le pistolet, peut-être ? La détonation qui emporte la vie d'autrui comme un fétu de paille... Non Batman, l'arme la plus cruelle, c'est... ... c'est une cage. Le lent et inexorable émoussement des cinq sens, quatre murs pour seul horizon, la folie qui s'insinue à chaque battement de coeur, le hurlement muet que l'on est seul à entrendre, c'est ça... ... être en cage.