Citations sur Hadès et Perséphone, tome 1 : A touch of darkness (191)
Le respect construisait les empires. La confiance les rendait inébranlables. L'amour pouvait les rendre éternels.
Elle prit vite une décision et enleva sa culotte. L'air frais apaisa la tension entre ses jambes, mais c'était loin d'être suffisant. Elle se rallongea sur son lit, écarta les jambes et promena ses doigts sur ses cuisses jusqu'à son sexe. Elle se trouva trempée et chaude, et ses doigts plongèrent dans une partie d'elle-même qu'elle n'avait jamais touchée. Elle retient son souffle et se cambra en se masturbant. Son pouce trouva son bouton de chair sensible et le titilla comme l'avait fait Hadès, jusqu'à ce que son corps s'électrifie et que des vagues de plaisir lui donnent le tournis.
(P.248).
- Hermès, tu es saoul ?
- Un peu, admit-il honteusement.
Si vous lui appartenez, il réduira le monde en poussière pour vous sauver.
Plus il vivait, plus il était convaincu que la vie était à la fois trop courte et trop longue pour ne pas obtenir exactement ce que l'on voulait
-Je préférerais qu'il me respecte. Le respect construisait les empires. La confiance les rendait inébranlables. L'amour pouvait les rendre éternels. Pg306
- Pire encore, tu t'es moqué de son amour pour sa femme.
- J'ai remis en cause son amour. Je ne me suis pas moqué.
- Qui es tu pour remettre en cause l'amour ?
- Un dieu, Persephone.
Les mots servent à embellir des histoires et à forger des mensonges. Et, de temps en temps, ils servent à dire la vérité.
Le respect construisait les empires. La confiance les rendait inébranlables. L'amour pouvait les rendre éternels.
Je vois l’âme. Ce qui l’écrase, qui la corrompt, ce qui la détruit ; et je défie la source du mal.