Le village perdu

Il faut l'avouer, j'étais très attiré par le résumé de ce roman : toute la population d'un petit village suédois isolé qui disparaît subitement en 1959 (plusieurs centaines d'âmes quand même !), laissant derrière elle une femme lapidée et un nourrisson. Et de nos jours, une petite équipe qui revient dans le village abandonné pour préparer un documentaire sur cette tragédie... intriguant, non ?

J'ai donc débuté cette lecture avec beaucoup de curiosité... pour finir par déchanter progressivement. Ce n'est pas inintéressant, loin de là. L'ambiance s'avère étrange et paranoïaque, symbolisée par le nouveau pasteur de la communauté, personnage assez inquiétant. Mais le rythme est lent, en depit des allers retours réguliers entre passé et présent. Les personnages contemporains sont plutôt fades. Et l'histoire paraît globalement tirée par les cheveux...

En conclusion, ce roman n'a pas vraiment été à la hauteur de mes espérances. J'imagine en revanche assez bien une adaptation cinéma du récit..

Comment les 800 habitants du village de Silvertjärn ont-ils pu disparaitre par une journée d'août 1959 ?
C'est la question qui hante Alice, une jeune documentariste de 29 ans, dont la grand-mère était originaire de ce village, et qui n'a pu que constater la disparition inexpliquée de ses parents et de sa jeune soeur.
Alice a pour projet de se rendre sur place avec quelques amis et de tenter de trouver une explication à ces disparitions.
Mais bien entendu, sur place les choses ne vont pas se passer comme prévu…
J'ai beaucoup aimé l'ambiance qui règne dans ce village et le fait que les relations semblent un peu tendues entre Alice et ses amis apporte encore plus de mystère au malaise ambiant.
J'ai trouvé cependant dommage que l'aspect psychologique des personnages ne soit pas davantage développé, on ne sait rien d'Alice ou presque, de sa relation avec sa grand-mère ou de cette étrange obsession pour ce village.
Le mystère autour des disparitions est bien mené, le lecteur peut tour à tour imaginer diverses hypothèses, du massacre de masse au meurtre rituel, en passant par un suicide collectif, un enlèvement par des extraterrestres, les agissements d'une secte ou un complot gouvernemental, toutes les possibilités sont évoquées !
Un roman que j'ai dévoré tant le suspense m'a tenu en haleine, malgré un faible attachement pour les personnages.

Pour un premier roman c'est réussi. Camilla Sten est la fille de l'auteure suédoise Viveca Sten.
L'action se passe dans un petit village suédois Silvertjärn. Ce village prospèrait dans les années 1950 grâce à une mine. Puis, la mine a fermé, la plupart des hommes se sont retrouvés au chômage et en 1959, les 900 habitants du village ont littéralement disparu, en laissant tout en plan. On ne retrouve qu'un bébé. Personne n'a résolu le mystère de ce village.
De nos jours, Alice, une jeune documentariste dont la grand-mère a vécu dans ce village avant son mariage à Stockholm, décide de faire un film sur ce village et de résoudre le mystère de la disparition des habitants. Elle est aidée de 2 amies dans le cinéma et de 2 garçons.
Arrivés sur place, on est saisis par une sensation de malaise, comme si les 5 jeunes étaient surveillés. Ils entendent des cris inexpliqués puis des choses bizarres se produisent, la tension monte. Cette ambiance angoissante est très bien rendue. Parallèlement, Alice va mener l'enquête à partir de photos et documents retrouvés dans les maisons abandonnées.
J'ai apprécié cette lecture malgré peut-être quelques clichés mais pour un premier roman c'est quand même vraiment bien. Je le recommande.

Vous avez aimé « le projet Blair Witch » ? Foncez lire ce thriller dans lequel les ricanements, les rires et les cris sortant de nulle part vont vous faire frissonner !

Alice Lindstedt est une jeune réalisatrice suédoise qui a décidé de tourner un documentaire sur une histoire liée à sa propre famille. Sa grand- mère, Margaretha, vient en effet d'un village nommé Silvertjärn, dont toute la population a mystérieusement disparu un jour de 1959.
« Près de neuf cents personnes, disparues sans laisser de trace... personne ne sait s'ils sont vivants ou morts. Personne ne sait s'ils se sont suicidés, s'ils sont tombés malades ou s'ils sont partis volontairement. Personne ne sait pourquoi cette pauvre Birgitta Lidman a été lapidée. Et personne ne sait à qui était le nourrisson dans l'école, ni pourquoi il a été abandonné. »

Elle emmène avec elle son amie Tone, Max, qui produit le film, et le couple composé De Robert et Emmy, spécialistes de la réalisation de films documentaires. le village de Silvertjärn est éloigné de tout, et l'ancienne mine de minerai qui s'y trouve toujours de manière désaffectée, empêche toute communication via les téléphones portables. Nos cinq personnages se retrouvent donc isolés du monde dans un village en ruine et sans âme qui vive.

Mais voilà qu'au fur et à mesure des heures qui passent, de troublants événements interviennent, des bruits incongrus se font entendre et un déchainement d'actes violents vont mettre nos personnages sur les nerfs, d'autant plus que certains règlements de compte liés à des histoires du passé vont eux aussi pointer leur nez…

L'ambiance est glauque, pesante, de plus en plus étouffante au fur et à mesure que les pages se tournent et que les événements du passé tendent au lecteur des perches pour comprendre ceux qui se déroulent au présent. La narration temporelle alternée entre récit de 1959 et récit du présent permet de créer une tension grandissante. Personnellement, j'ai imaginé plusieurs scenarii, mais jamais je n'ai deviné la fin proposée par Camilla Sten (d'autant plus qu'elle ouvre vers d'autres interrogations, je trouve).

Bref, un excellent thriller, qui frôle avec le surnaturel, à l'écriture très cinématographique, qui vous plongera dans une histoire bien originale !

Silvertjärn est une petite ville minière dont tous les habitants ont disparu en 1959.
La grand-mère d'Alice était originaire de ce village et lui en a beaucoup parlé.
Avec quelques amis, elle décide de s'y rendre pour tourner un documentaire.
Mais tout ne se passe pas comme prévu, sur place le mystère s'épaissit et des drames surgissent au sein de leur groupe.
La situation devient plus que dramatique.
Une belle imagination au service d'une incroyable histoire.
Le style n'est pas remarquable, les personnages sont un peu stéréotypés, mais on se laisse emporter dans cette improbable aventure.
L'ambiance est étrange, oppressante, anxiogène.
Comme un étau qui se resserre.
La tension monte.

Vous avez aimé « le projet Blair Witch »? Alors vous allez adorer Un Village Perdu!
Même ambiance, le surnaturel en moins, quoique.
Un équipe de jeunes gens, recrutée par une étudiante en cinéma, se rend dans un village pour y tourner un documentaire. La principale caractéristique de ce village: un jour, tous ses habitants ont disparu, sauf une femme retrouvée lynchée sur la place et un nouveau né retrouvé vivant dans l'infirmerie. Jamais personne n'a été retrouvé ni mort ni vivant, et depuis lors, le bébé a été caché par les autorités. L'équipe de jeunes gens se met en route et commence à filmer. Sauf que tout dérape rapidement dans ce village fantôme, que seul le froid et le vent semblent animer…
Si vous aimez avoir peur, alors lancez-vous dans ce thriller inquiétant et glacial, plein de fantômes du passé et de terreurs du présent. Laissez-vous effrayer par les disparitions, par les craquements du bois et les plafonds qui s'écroulent, par les bruits et les incendies bizarres et surtout par les disparitions… car il se peut que l'équipe ne soit pas au bout de ses surprises…
Que dire, je suis très amatrice de ce genre de thriller et là carrément je me suis régalée. Captivée à fond par l'ambiance et les révélations ou les retournements, j'ai adoré avoir peur et me poser dix mille questions, vous verrez vous aussi vous vous les poserez, c'est impossible de deviner la fin! Un bon thriller de derrière les ruines (y a pas de fagots, je m'adapte).
Seul bémol, je l'ai trouvé un peu court, mais bon j'aime les pavés et si cela se trouve c'était nécessaire pour garder le rythme donc je ne critique pas vraiment.

Dans la famille Sten, je demande la fille, Camilla, fille prodige de Viveca, star mondial du polar suédois. Et on peut dire qu'elle a réussi à m'accrocher, Camilla, Viveca n'a qu'à bien se tenir.

Avant d'entrer dans le vif du sujet, à savoir le livre, je tenais à vous dire que je rêve depuis des années de visiter la Scandinavie. J'aspire à découvrir les grands espaces, la nature, les aurores boréales, et autres fjords. Mais, chez moi, les vacances résonnent davantage avec spritz, pastas et autres tapas, ce qui est bien sympa aussi me direz vous, mon cher et tendre préférant partir au soleil, le climat italien, espagnol ou grec lui parlant davantage que les 18 degrés en plein mois d'août des pays nordiques. Mais cette année j'ai eu 40 ans, et mon amour d'homme m'avait préparé une belle surprise : notre voyage estival devait se dérouler en Norvège (bon, d'accord, techniquement parlant, ce n'est pas la Suède, mais c'est un peu tout comme, non?). Covid oblige, nous avons finalement préféré remettre notre escapade et rester en France. Et même si le pays cathare fut une belle découverte, j'ai eu un léger pincement au coeur de ne pouvoir découvrir la Scandinavie. Et ce roman, proposé dans le cadre d'une masse critique, est arrivé au bon moment.

Deux mots sur l'histoire : Alice souhaite réaliser un documentaire sur le village où vivait sa grand-mère plus d'un demi-siècle auparavant. La particularité de cette bourgade est que son entière population a disparu du jour au lendemain, comme si elle s'était évaporée. Seul un bébé, vivant, et une femme, retrouvée attachée à un poteau et morte par lapidation, ont été retrouvés. Que s'est-il donc passé ? C'est ce que va chercher à découvrir Alice, aidé par quatre amis, en passant quelques jours au sein de ce village-fantôme. Mais certains mystères ne devraient-ils pas rester cachés ?

Le synopsis de départ m'a tout de suite happée, j'avais l'impression que j'allais moi aussi me trouver plongée au milieu de ces mystères et de ces fantômes. La narration, alternant présent et passé, comme souvent dans ce genre de thriller, aide bien à instaurer un climat oppressant, frisant avec le surnaturel. Sincèrement, je n'ai pas vu le temps passer et je peux dire que j'ai adoré l'histoire durant les trois quarts du bouquin. Mais, car il y a un mais, je n'ai pas du tout adhéré à la fin de ce roman, que j'ai trouvé amené de manière grossière sans oublier que je n'ai pas trouvé cela très crédible. C'est dommage mais pour moi, le sel d'un thriller repose en grande partie sur sa fin, et si la clé de l'énigme n'est pas à la hauteur, je referme systématiquement le livre en étant déçue.
Autre chose qui m'a chagrinée mais sur laquelle je serais passée outre si la fin avait été géniale est le manque de densité dans les personnages, particulièrement ceux du passé auxquels l'auteure aurait pu ajouter un peu de consistance. Il m'a manqué un je ne sais quoi pour entrer en totale osmose avec eux, défaut qui pourrait être corrigé je pense dans ses prochains romans car celui-ci est quand même hautement prometteur.
Par contre, là où Camilla Sten a excellé est dans l'atmosphère qu'elle a su créer dans son livre. Il s'agit clairement d'un roman d'ambiance, en plus d'un thriller, et j'y croyais dur comme fer.

En résumé, un premier roman « adulte » rondement mené, une atmosphère clairement inquiétante, une intrigue qui tient la route même si je n'ai pas été convaincue sur certains aspects. J'ai quand même passé un excellent moment avec ce thriller et je serais curieuse de voir son adaptation cinématographique ou en série, cette dernière s'y prêtant mieux de mon point de vue.

Un grand merci à Babelio, et particulièrement à Nicolas, pour me l'avoir proposé dans le cadre d'une masse critique privilégiée, un grand merci aux éditions du Seuil pour me l'avoir envoyé, et un grand merci à Camilla Sten et à la traductrice, ne l'oublions pas, pour m'avoir fait frissonner.

“Le village perdu » de Camilla Sten raconte l'histoire de Silvertjarn, un petit village minier des années 50, de la forêt du Norrland en Suède dont toute la population de 900 personnes a disparu. Quelque chose d'inattendu s'est-il produit ? les maisons ont été quittées de manière précipitée. Il n'est resté que le corps lapidé d'une femme, attaché à un poteau sur la place de la ville et un bébé dans le bâtiment abandonné de l'école. Qu'est-ce qui s'est passé ? un mystérieux accident? un suicide collectif? il y a eu de nombreuses histoires et légendes qui se sont développées autour de ce qui est resté abandonné et est devenu un village fantôme.
Alice Lindstedt vient de terminer une école de cinéma à Stockholm et pour donner un coup de pouce à sa carrière débutante, elle envisage de réaliser un documentaire sur ce village dont est originaire sa grand-mère. Alice aimerait découvrir ce qui s'est passé. Elle y prévoit un voyage au budget serré pour rassembler des informations, des images, des sensations. Elle et son équipe, composée de 4 personnes, passeront cinq jours à observer, à regarder et à attendre…… Mais dès leur arrivée, des événements inexplicables s'accumulent.
« le village perdu » est un thriller à l'ambiance suspicieuse presque désagréable entremêlée de suspense psychologique. le livre est constitué de deux histoires. La contemporaine où l'on suit Alice et ses collègues qui explorent la ville et l'histoire passée où l'arrière-grand-mère d'Alice, Elsa, dévoile petit à petit ce qui s'est réellement passé à Silvertjärn il y a 60 ans. Très vite, je suis entrée dans l'histoire.
Le décor des maisons abandonnées et délabrées, dans lesquelles les traces des anciens résidents sont encore présentes, m'ont mise mal à l'aise. Camilla Sten est très douée pour décrire les interdépendances entre les différents protagonistes, elle tisse habilement les deux intrigues de Silvertjär, ce qui a fait grandir ma méfiance vis-à-vis de tous les personnages. La narration à la première personne fait que l'on se sent proche d'Alice mais on se rend vite compte qu'elle a des attitudes instables. Au départ, elle s'applique bien pour faire avancer son film, mais à peine sur place, elle se subordonne à ses compagnons de voyage qui font tout le boulot. Et on s'aperçoit au fur à mesure de la lecture qu'elle n'a pas fait les bons choix quand aux personnes engagées pour l'accompagner.
J'aurais aimé un peu plus de suspense, de frayeur dans le récit du passé par rapport à la partie vécue par Alice et ses compagnons. On réalise un peu trop rapidement ce qui s'est passé dans le village. La fin arrive très vite et le dénouement de l'énigme est décevante. Même si l'idée était bonne et qu'il y avait une certaine tension, le livre ne m'a pas convaincue à 100%.
Une partie de l'histoire est peu vraisemblable, à savoir que la ville aurait été abandonnée pendant si longtemps sans avoir fait l'objet d'enquêtes de la part des médias ou des autorités. Mais finalement, cela ne m'a pas dérangée pendant la lecture du livre, c'est une chose à laquelle j'ai pensé après coup. J'ai recherché également à savoir si ce village existe réellement. Apparemment, ce nom rapporte à un lac et non à un village. Dans l'ensemble, j'ai trouvé l'histoire facile à lire. Les chapitres courts créent un bon suspense. Merci à cette Masse critique privilégiée et aux Éditions Seuil de m'avoir donné l'occasion de découvrir cet auteur.

Premier roman solo de Camilla Sten, fille de Viveca, dont je suis fan. L'approche de Camilla est différente de sa mère qui nous offre des romans plus "polar" que thriller.
Ici, l'auteure nous plonge dans une atmosphère plus stressante, l'ambiance et le contexte étant assez anxiogène au fil des chapitres.
Camilla Sten sait intriguer et tenir en haleine son lecteur ce qui rend ce roman addictif.
Bien évidemment l'on peine à croire qu'Alice, dont la grand-mère est originaire de Silvertjärn, raison pour laquelle elle entreprend ce projet un peu fou, puisse parvenir à élucider un mystère vieux de 60 ans et irrésolu. L'on peine également à croire que toute la population d'un village ait pu s'évaporer sans laisser de traces. Bien évidemment le lecteur espère trouver les réponses aux raisons de la lapidation d'une femme sur la place publique et de celle de la présence d'un nourrisson.
Et pourtant, Camilla Sten va toutes nous les apporter, de manière cohérente et dans un schéma narratif alternant présent et passé qui vont finir par se rejoindre.
Nous cheminons au coté d'Alice, la narratrice, chef de ce projet un peu fou, qui prend soudainement des airs de 'Projet Blair Bitch" au fur et à mesure que des évènement inquiétants surviennent. Nous partageons par la voix d'Alice, ses émotions, ses peurs, ses rêves, ses doutes, qu'elle nous transmet.
En parallèle nous découvrons le passé à travers le récit d'Elsa, mais également de la correspondance en possession d' Alice appartenant à sa grand-mère, entre celle-ci et sa soeur restée au village. le volet passé est stressant au fur et à mesure que l'on avance vers l'issue finale.
Progressivement tout se met en place, néanmoins l'auteure parviendra à nous relativement nous surprendre avec le dénouement.
Thriller passionnant, parfaitement construit dont l'intrigue m'a tenue tellement en haleine que je n'ai pu le lâcher avant la dernière ligne. Les portraits des protagonistes y sont parfaitement brossés, l'ambiance sombre bien décrite et le lecteur perçoit bien la tristesse et la désolation d'un village abandonné et qui se délité sous les effets conjugués de la nature qui reprend ses droits, et le manque d'entretien des infrastructures.
Plusieurs thèmes sont abordés en regard du mystère qui entoure Silvertjärn, contemporains et relativement forts qui d'une certaines manière donnent du sens aux évènements du passé.
Premier roman en solo de Camilla Sten parfaitement réussi, qui j'espère sera suvi de nombreux autres.
Je remercie Masse critique privilégié de Babélio et les éditions le Seuil pour m'avoir permis de découvrir en avant première ( le roman sort le 1 octobre) la belle plume et l'imagination de Camilla Sten. Coup de coeur
Lien : http://missneferlectures.ekl..

Et bien moi j'ai adoré ce livre, cette intrigue dévoilée à la fin n'a pas été si prévisible que ça, en tout cas bravo pour ceux qui l'ont deviné si tôt !!
Non, la fin n'est aucunement prévisible. C'est ce qui a fait mon bonheur jusqu'à la fin, la toute fin du livre.
C'est un très bon thriller, bien construit, qui nous ballade de chapitres en chapitres.
Je l'ai lu en deux jours, je n'ai pu le lâcher.
Contrairement à ce qui a été écrit, le style n'est pas si mauvais que ça pour un thriller, il est même tout à fait honorable.
J'avoue n'avoir pas compris toutes ces critiques négatives autour de ce livre.
Du coup, j ai eu encore plus de joie de le terminer pour savoir la toute fin.
Une belle découverte.
À la sauce suédoise.
Un régal.