Dans les années 1870,
Stevenson décide de descendre en canoë les rivières du nord de la France. Partant de Belgique, il chemine jusqu'à Compiègne avec la volonté de saisir « l'âme des campagnes françaises ». Problème, il se perd en digressions sans intérêt, consacre à peine trois mots aux villes et villages où il fait étape (à part une plus longue description de la cathédrale de Noyon et quelques éloges de Compiègne), pleurniche sur les mauvaises conditions de voyage , les hôtes pas toujours sympa, les berges de l'Oise trop hautes qui ne lui permettent pas de voir le paysage, bref des détails ennuyeux à mourir. Assommant !