J’ajustai la sangle de mon sac sur mon épaule et entamai la descente vers le campement. A mi-chemin de la colline, Franck et moi échangeâmes un regard perplexe.
- Tu as remarqué ? demanda-t-il.
- Oui, c’est plutôt bizarre…
Je sentis une boule d’angoisse monter dans ma gorge.
Le campement était désert. Il n‘y avait personne.