Il y a quelque chose que je souhaitais obtenir. Une chose dont j'ai souvent rêvé... Des parents qui me serrent dans leurs bras... Une maison où j'ai toujours envie de retourner... Un endroit où tout le monde sourit... Un lieu où vivent des gens qui ne me quitteront jamais...
Yuki : Cette sale anguille lubrique ne sera jamais mon frère, compris ?!
Ayame : Tu ne peux pas nier l'évidence, Yuki...
Tohru : C'est intéressant de comprendre tout cela. Mais la chose la plus importante... C'est de ne pas perdre ses souvenirs d'enfance. Par exemple, quand on a réussi sa première galipette. Ou un jour où on s'est fait gronder très fort. Si on garde toujours ces sentiments dans son cœur... Une fois que l'on devient adulte, on peut mieux comprendre les autres. Même si ce n'est jamais à 100%... On peut se rapprocher les uns des autres. Et comme ça... La vie devient beaucoup plus agréable... Pour tout le monde.
Un jour, j'ai décidé que moi je voulais vivre en assumant bien tous mes souvenirs même mes souvenirs les plus tristes même ceux qui continuent à me faire mal meme ceux que je voudrais complètement oublier
Si je fais des efforts et que je ne les fuis pas, si je garde espoir alors, un jour, je deviendrai quelqu'un qui ne sera plus "écrasé" par ses propre souvenirs.
Ayame : Pendant ce voyage, certains garçons se sont rendus dans uns des quartiers chauds de la ville... Je parle ici de sexe, bien sûr.
Kyô, Yuki, Tohru : Hein ?!
Ayame : Allons... Il ne faut pas leur jeter la pierre : Tous les garçons en bonne santé s'intéressent un jour à ça... Bien sûr, nous-même, nous n'y sommes pas allés.
Shigure : Eh oui... Ce n'était pas une nouveauté pour nous.
Yuki (pensées) *Euh*
Kyô (pensées) *Qu'est-ce qu'il vient de dire, à l'instant ?!!*
Kyô : Fais un peu plus attention, quand t'es toute seule ! Sinon, un jour, faudra pas te plaindre si on t'enlève en pleine rue !
Tohru : D'accord... (prend un air trop sérieux)
Kyô : ... J'ai dit quand t'es seule ! Tu peux avoir l'air complètement stupide quand je suis à côté de toi ! Bon...
Tohru : D'accord... (tête naïve)
Kyô : Eeeh ! T'es pas obligée de prendre ce que je te dis au pied de la lettre !! Fais juste un peu attention, si tu ne veux pas que les gens autour de toi soient gênés !
Tohru : Ah ? Mais... Alors que veux-tu ?
Kyô : (rougit très fort) ... De nous deux, c'est moi qui suis le plus... Stupide !!
Alors, tu la regardes toujours discrètement, de loin, pour qu'elle ne te voie pas. Quand je t'ai rencontré ici pour la première fois... C'était aussi pour la voir.
Pourtant Akito n'a pas compris que quelle que soit la blessure que l'on a reçue, il existe toujours dans l'univers quelqu'un capable de soulager nos souffrances et de panser nos plaies et que cela donne tous les courages.
Tohru : J'ai oublié de lui demander comment s'appelle sa boutique qui vend des blouses d'infirmières et des uniformes de serveuses !
Uo : C'est quoi cette histoire ?
Saki : Tu connais des pervers, toi ?
Tohru : Ayame s'occupe d'une boutique ?!
Haru : ... Il vend... Des uniformes d’hôtesse de l'air ou de serveuse et des blouses d'infirmières... Des trucs comme ça...