Lanfeust de Troy, tome 9 : La forêt noiseuse

Pour ceux qui ne le connaisse pas encore, il est temps de découvrir Lanfeust de Troy dans le tome 9 La forêt noiseuse car c'est une histoire complète . Pas d'angoisse, d'ongles rongés, de nuits blanches à se demander ce qui va se passer au prochain épisode.

Pour les autres, comme d'habitude il y a de l'humour, de la magie, un troll et de l'aventure, la routine quoi .

Seul changement, Lanfeust et ses auteurs Arleston - Tarquin se sont pliés à certains dictats. Les femmes sont déterminées, intelligentes, pas toujours bien douces, le pauvre Atastrophe en fera les frais avec Aspette. En tout cas, elles n'exhibent plus leurs atouts.

Je n'ai pas aimé Lan Khu, c'est normal c'est le méchant mais j'ai bien aimé son musicien rimeur.

Les couleurs, les graphismes et les personnages ont gagné en maturité.

Un album que je conseille et si vous n'avez pas lu les autres albums, allez-y, vous découvrirez de bonnes aventures et aurez de beaux fous-rire.

Un grand merci aux éditions Soleil et à Babelio pour ces retrouvailles.

Chouette, le retour de Lanfeust ! Et Lanfeust de Troy, en plus. Oui, j'avais envie de remettre les pieds à Eckmül sans pour autant entamer une relecture du cycle.

21 ans après la parution du tome 8, Arleston et Tarquin nous offrent un tome 9.

Lanfeust n'est plus un gamin, ni un jeune homme, et je me demande si je ne le préférais avec son ancien look que le nouveau.

Hébus, le troll, est devenu un sage à Eckmül, ce qui le change de sa vie antérieure. Oui, le monde de Troy a bien changé…

La peur est toujours qu'un nouveau tome ne soit pas à la hauteur et n'arrive pas à la cheville de l'ensemble du cycle. D'un côté, on a envie de se plonger dedans et de l'autre, on renâcle un peu.

Les dessins de Tarquin sont toujours aussi agréables à regarder. Ils ne varient pas (ou si peu) et les codes habituels se retrouvent dans les cases. Rien à redire sur les couleurs, tout est impeccable.

Troy a un problème, plusieurs problèmes : les mages qui relaient la magie meurent tous prématurément, leurs remplaçants n'arrivent jamais à bon port et les gens changent de pouvoir ou le perde totalement.

C'est une catastrophe ! Que se passe-t-il ? Afin d'en savoir un peu plus, il faut aller enquêter discrètement et régler les emmerdes. Pour cette mission, il faut envoyer Lanfeust, devenu forgeron itinérant après avoir sauvé le monde.

On prend presque les mêmes et on recommence des aventures. Ce sera une mission pour Hébus, Lanfeust, aidés par les deux jeunes : Aspette et Atastrophe.

Un jeune fille apprentie forgeronne et un jeune apprenti sage. Une fille qui n'a pas froid aux yeux et un jeune garçon qui a vite peur.

Un nouveau duo à l'ancienne, comme du temps de C'ian et Cixi (une fille qui n'avait pas froid aux yeux, ni ailleurs, face à sa soeur, bien plus prude).

Les auteurs n'ont pas oublié de mettre au point un méchant bien méchant, avec un pouvoir magique vachement difficile à contrer. Bref, il y avait de quoi faire durer l'affaire sur deux albums au minimum, ou plus.

Ben non, moi qui avais l'angoisse de ne pas avoir la fin de l'histoire et de devoir attendre la publication du tome suivant, j'ai été étonnée de voir que l'histoire se terminait avec ce tome.

Devoir attendre pour lire la suite m'aurait frustrée, mais que cet album se termine aussi vite me frustre encore plus (jamais contente!).

L'humour manque un peu à l'appel, je trouve. Les anciens albums de Troy possédaient cet humour potache qui me faisait pouffer de rire à tout bout de champ, sans oublier qu'en retournant les albums, on découvrait des phrases cachées, même dans les formules magiques.

Ici, nous aurons juste droit à un détournement de la chanson Alexandrie, Alexandra. En ce qui concerne notre monde, nous aurons les petits oiseaux qui relient tout le monde ensemble en leur donnant des nouvelles de ce qui se passe de par le monde, en ce compris des théories complotistes.

Cette série m'a habitué à mieux, beaucoup mieux, et à des cycles plus longs qu'un one-shot. L'histoire prend du temps à se mettre en place (ce qui est normal) et ensuite, tout se précipite un peu trop rapidement, comme si Lanfeust avait juste eu affaire à un méchant normal, de petite envergure, alors que celui mit au point par les auteurs avait de quoi lui en faire voir un peu plus longtemps.

Maintenant, pour ceux ou celles qui prennent la série en route, pas de problème, on explique vite fait bien fait les principes de magie sur Troy et on peut se permettre de lire cet album sans devoir attendre pour lire la suite.

Apparemment, à ce que j'ai compris, les albums qui suivront seront tous en one-shot.

Oui, j'ai des bémols, oui, j'aurais aimé que l'histoire dure plus longtemps, oui, il y avait matière à faire plus, mais malgré tout, j'ai pris du plaisir à retrouver mon Lanfeust et ce cher Hébus.

Cette saga d'heroïc-fantasy a enchanté une grande partie de ma vie et j'ai toujours pris plaisir à la relire. Alors, je serai au rendez-vous pour le tome 10, si tome 10 il y a…

Lien : https://thecanniballecteur.w..

Les dessins et couleurs sont très bien, même si la façon de dessiner les petits oiseaux et l'humour de Dame Nature m'ont fortement rappelé Manu Larcenet. Clin d'oeil à Retour à la terre et Attila le Hun, le fléau de dieu ? Ou ils ont les mêmes idées ?

Sinon le scénario m'a déçu. Hébus en bibliothécaire ? Really ? Ou à moins que c'était déjà expliqué dans une autre des séries de Christophe Arleston ? Bref, il a perdu de son charme et humour... taper avec un livre... mouais bof.

C'était bien de mettre plus de personnages féminins et de montrer qu'elles aient leurs places dans l'univers de Troy... mais ça manquait de quelque chose...
Par rapport à l'histoire, l'idée était plutôt bien, d'avoir laissé douze ans s'écouler et  de faire venir des nouveaux personnages, mais c'était trop rapide comparé aux autres aventures, alors que ça aurait pu être développé.

Voilà douze ans que Lanfeust parcourt les villes et villages pour offrir ses services de forgeron à qui le souhaite.

On est bien loin du héros qui était considéré comme le sauveur du monde.

Mais la vénérable Farpaite, qui a repris en mains la direction d'Eckmül réalise que depuis quelques semaines, quelque chose est venu interrompre le cycle de la magie.
Des sages meurent subitement et leurs remplaçants n'arrivent jamais à destination.
La mague disparaît peu à peu, mais sûrement, à moins qu'elle ne soit... détournée.

Elle convoque donc le maître-bibliothécaire, Hébus afin de mener une enquête, et lui propose de demander à quelqu'un de discret de l'aider, une figure peu connue, ou oubliée, pour s'assurer un maximum de discrétion : Lanfeust.

Encore faut-il le retrouver...

Sur Troy douze années sont passées. Lanfeust se fait oublier en exerçant son métier de forgeron en itinérance bientôt rejoint par Aspette, la petite dernière de Cyan, qui est apprentie.
Mais des mystérieuses disparitions de mages et des interférences dans la magie inquiètent le conservatoire d'Eckmul qui va envoyer Hebus enquêter en compagnie de Lanfeust.

Apres la dérive dans les étoiles, les pères créateurs de Lanfeust essaient de renouer avec des aventures à Troy. On reprend d'anciens personnages et on en créé de nouveau dont ces deux ados : Aspette et Atastrophe.
Il y a pas mal de rappel sur comment fonctionne la magie et Troy. Pour ceux qui débarquent dans l'aventure ça doit tout à fait être possible de prendre le train en marche. Ce tome est écrit comme une histoire complète, et c'est visiblement la volonté des auteurs de poursuivre ainsi.
Une aventure plaisante à lire, légère, mais sans grande révolution.

J'ai quitté Lanfeust depuis qu'il a la tête dans les étoiles... cela fait donc un petit moment déjà.
Quelle surprise donc de voir revenir dans les rayons un Tome 9.
21 ans après le tome 8.

Piqué par la curiosité j'ai sauté sur l'occasion de retomber en enfance, à une époque ou les calembours potaches étaient une spécialité d'Arleston et Tarquin et qu'en retournant les pages de votre BD vous pouviez retrouvez des phrases/indications cachées.

Ici point de phrases cachées (mais aujourd'hui j'ai besoin de lunettes...) ou non trouvé à la 1ère lecture. Toujours quelques blagues potaches mais qui ne choqueront personne.
J'ai donc retrouvé une saga rafraichit par l'injonction de nouveaux personnages, notamment féminin (moins cliché que ne pouvait l'être cian et cixi, encore que le débat est ouvert). Au delà des personnages c'est une histoire complète en 1 tome (une première pour Lanfeust) un rythme toujours aussi infernal mais bien tenu que j'ai eu plaisir à lire... dévorer !

Bref j'ai aimé retrouver ce vieux compagnon (qui n'a pas autant vieilli que moi, au regard des tablettes de chocolat qu'il arbore fièrement).

C'est évidemment une sortie bien planifiée pour les fêtes de fin d'année et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre. Merci Arleston et Tarquin !

Lanfeust est à nouveau seul, ou presque. Redevenu forgeron itinérant, accompagné d'un apprenti, sa vie semble lui convenir jusqu'à ce qu'Hebus, devenu le bibliothécaire des sages d'Eckmul, vient le chercher. Il a besoin de lui car les sages et les apprentis sages disparaissent. Que se passe t'il une nouvelle fois à Troy?
le dessin de Tarquin est toujours aussi fin, précis et élagant. Moins de jeu de mot, plus d'action pure, moins alambiquée que dans les tomes précédents.
Un bon cru.

Quoi ? Un neuvième tome de la série "Lanfeust de Troy", vingt ans après le huitième et alors qu'il y a eu entre temps deux séries "Lanfeust des étoiles" et "Lanfeust odyssey" ? Va-t-il falloir relire tous les albums pour se remettre au parfum ?
Ouf, heureusement non ! Nous sommes douze ans après la fin de "Lanfeust odyssey" et Lanfeust est redevenu un forgeron itinérant. Hébus est quant à lui le maître-bibliothécaire du conservatoire d'Eckmül et ses étudiants lui obéissent au doigt et à l'oeil !
Flarpaite, une des trois sages d'Eckmül, se rend compte qu'il y a un problème avec la magie : d'une, elle semble être détournée et de deux, les sages envoyés pour remplacer ceux qui décèdent disparaissent sans laisser de traces. Elle missionne donc Hébus et Lanfeust pour remédier à ces incidents.

Le lecteur habitué des séries Lanfeust se retrouve donc vite en terrain connu. de la fantasy, de la magie loufoque, deux personnages célèbres, de l'aventure, de l'humour, des bestioles délirantes, et... un super méchant. Tout est dit.
Sauf que c'est un one-shot et qu'à la page 56 tout est terminé. Trop rapidement pour moi. Pourquoi avoir créé deux personnages secondaires, Aspette et Atastrophe, qui n'ont qu'un rôle... secondaire ? Je sais qu'il est reproché à Christophe Arleston de faire des séries à rallonge, mais ici il y avait de la matière pour développer l'histoire sur deux ou trois albums. Dommage !

Lanfeust, c'est mes souvenirs de lycée et de fac, un univers fantasy coloré et une bonne dose d'humour potache. Tout ce qui absent de ce tome 9 (ou 27 si on compte de Troy, des étoiles et Odyssey). Si le dessin de Tarquin est toujours sympathique, le scénario est plat. La mise en place est longue ce qui entraîne une fin précipitée. On retrouve peu d'interaction entre les quatre personnages principaux et on a du mal à s'attacher aux deux nouveaux. Une déception.

Des mages meurent, des étudiants disparaissent, des pouvoirs changent… Flarfaite est la première femme à intégrer le triumvirat qui dirige Eckmül. Elle a une théorie ! Elle charge Hebus de retrouver Lanfeust et d'enquêter sur ces faits étranges. Ce dernier a disparu depuis douze ans et s'est fait un peu oublier… 

Ce neuvième tome de la série  Lanfeust de Troy débute un nouveau cycle avec deux nouveaux personnages, ce qui donne pas mal de situations humoristiques avec le troll, Hébus. L'un d'eux est la nouvelle apprentie du forgeron et n'est autre que la fille de Cixi. Les auteurs Arleston et Tarquin ont eu la bonne idée de refaire, au cours du récit, quelques rappels intelligents pour ceux qui auraient perdu de vue les différents points importants de la série publiée en album depuis 1994. Graphiquement, Didier Tarquin excelle. Au niveau du scénario, on ne s'ennuie pas car cela relance la série comme il se doit. J'ai été ravi de retrouver ce monde de magie et d'aventures. 

Lu et commenté sur izneo