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3,67

sur 92 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Après mes énormes coups de coeur pour Apostasie et Effroyable porcelaine, j'attendais avec grande impatience le nouveau livre de Vincent Tassy, mais aussi avec un peu d' »angoisse » : allait-il parvenir à me faire vibrer autant qu'Apostasie ? Je vous rassure tout de suite, Comment le dire à la Nuit en est le digne successeur. Il est par contre très différent – là où Apostasie donnait plutôt dans la merveilleux sombre et le rêve, Comment le dire à la Nuit est plutôt dans le fantastique romantique. J'aime beaucoup le choix de couverture. Tout y est délicat, en nuances de noir et blanc : un magnifique travail réalisé par Délicate Distorsion. Je suis un peu jalouse de tous les blogueurs partenaires Chat Noir, parce que j'ai maintenant très envie de découvrir un roman de Barbara Cartland et qu'ils en ont reçu un dans la box surprise qu'ils ont reçue. :p Ce livre entre dans la catégorie « Vous prendrez bien un verre de True Blood? » du #pumpkinautumnchallenge.

On va suivre plusieurs narrateurs au fil de la lecture. La première chose que j'ai adorée, c'est l'ambiguïté de ses personnages et la façon dont l'auteur parvient en premier lieu à nous cacher leur véritable identité. J'ai pour ma part d'abord cru que Rachel était une vieille dame et que Parascève était une jeune femme asiatique. Je ne vais pas en dire plus pour ne pas spoiler, mais j'ai trouvé ce jeu des identités et des images de soi fascinant.

On apprend à connaître chaque personnage à son époque : sa vie, l'événement qui s'apprête à la changer et surtout sa rencontre avec le duo de protagonistes qui va lier toutes les histoires : Athalie et Adriel. Egmont est un jeune noble, amoureux d'un autre homme, mais qui doit se marier avec Carolina pour remplir les caisses familiales. Rachel est une jeune femme qu'un drame familial a rendue vide de toutes envies, exception faite de la musique de Cléopâtre. Elle va gagner un concours pour rencontrer son idole. Parascève est une transgenre qui travaille dans le milieu de la romance pure et dure. On entre dans chacune de ses vies et on s'attache énormément à chacun, pour une raison ou pour une autre. Si j'ai pour ma part été très touchée par les personnages d'Egmont et de Rachel, j'ai trouvé l'histoire de Parascève et de Hyun-Su belle à en pleurer.

La présence d'Adriel et d'Athalie, deux êtres totalement à part, flotte sur le roman, lui comme présence bénéfique et elle néfaste. Les moments où ils apparaissent ensemble sont très beaux, car il y a une forte dualité entre le fait qu'ils s'aiment à en mourir et qu'ils se détestent pour ce que chacun a fait subir à l'autre. C'est à travers leurs personnages qu'on retrouve le plus cette alliance entre la beauté et l'horreur qui m'avait déjà tant plu dans Apostasie.

La romance tient une part importante dans le roman, mais ce n'est pas un roman d'amour comme Parascève en publie régulièrement, où tout est rose et où tout finit toujours bien. Ce sont des histoires de tristesse, de douleur, de déchirements, ce sont de magnifiques histoires de véritable amour, que les épreuves renforcent, mais qui ne finissent pas toujours bien.

Les endroits qu'on visite sont particuliers : un cimetière dans lequel plus personne ne vient, une salle de bal désertée par ses invités, un sous-sol d'église abandonnée, une forêt hantée par une présence surnaturelle, un parc dans la nuit, une vieille tour dans un château. Des lieux qui dégagent un atmosphère gothique, sombre. Ces décors contrastent fort avec l'univers rose des romances que l'auteur met souvent en avant, que ce soit dans l'appartement de Parascève, ou même en ville vers la fin. J'ai trouvé cette dissonance entre les différents univers, visuels et mentaux, très intéressante. Pink is the new black !

Point final, mais non des moindres, la plume de l'auteur, toujours aussi grandiose. Elle garde cette magie et cette poésie qui la caractérise, mais est beaucoup plus mélancolique dans ce roman. On y retrouve ce rythme si particulier, envoûtant qui fait que je l'adore. La beauté de la nature est un peu moins présente, mais celle des personnages, de leurs sentiments et de leurs passions en est exacerbée et laisse une grande palce aux émotions, des personnages comme du lecteur.

Je ne suis pas allée très loin pour trouver l'ambiance musicale qui, pour moi, colle parfaitement au roman, puisque j'ai écouté en boucle « Shades of Sorrow » d'Angellore (groupe de l'auteur) lors de ma lecture.

Un livre qui explore la romance à travers les âges. Chaque personnage est particulier, son histoire racontée avec tellement de sentiments et de détails qu'on ne peut qu'être touché par leurs drames. Athalie et Adriel vont lier tous ses destins. Une ambiance sombre et mélancolique qui envoûte le lecteur et le plonge au coeur de cet univers rose et noir. Un nouveau coup de coeur pour la plume de Vincent Tassy !
Lien : https://livraisonslitteraire..
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Dans Comment le dire à la nuit, le lecteur couvre le destin croisé de plusieurs personnes à plusieurs époques différentes. Je vais volontairement restee évasive sur les personnages, je trouve qu'il faut conserver un maximum de surprise sur les êtres que le lecteur suit ainsi que sur les liens entre eux et l'histoire pour la même raison. Mais j'en discuterai volontiers avec ceux qui le souhaitent.
On suit donc Athalie, qui a recueilli un jeune homme plein de mystère autant pour elle que pour nous. Elle est étrange et reste longtemps pleine de zones d'ombres.
Adriel, un jeune homme aux très très longs cheveux blancs qui semble s'éveiller à l'existence et qu'Athalie tente de façonner suivant l'idéal qu'elle s'est fixé.
Egemont, un noble sans argent promis à un mariage de convenance avec la belle Carolina mais qui cache un lourd secret.
Deux jeunes femmes qui nous sont contemporaines, Rachel une belle jeune femme mélancolique au regard plein de désarroi, vieille avant son heure et transerçant la vie comme une ombre, et Parascève, devenue celle qu'elle est vraiment, qui aime le charme désuet des romances et qui parfois semble marcher au bord d'un précipice de folie.
J'ai aimé ces rencontres, ces personnages et leurs mystères, leurs secrets et étrangement j'ai aimé les impressions qui se dégagent d'eux : ne pas être à leur place dans le monde qui leur est proposé.

Encore un gros coup de coeur pour la plume de Vincent Tassy. Pas de doute, elle colle parfaitement à son univers à part. Les mots sont réfléchis, choisis, le vocabulaire est précis, riche et adapté aux périodes dans lesquelles l'action se déroule. Toute son écriture permet d'être porté par le recit, ce dernier étant parfois ardu mais toujours sensible.
Pour moi, Comment le dire à la nuit, est un livre sur la folie, la mélancolie et la solitude. Sur l'acceptation de soi, de son passé et de ses différences. Sur la place que l'on a dans la société et de celle qui nous correspond vraiment.
En fonction des personnages, la prose se fait porte parole de la langueur, de la mélancolie, de la tristesse, de l'appréhension et du doute. Elle est souvent poétique, imagée et belle mais parfois elle est dure de véracité ou dure de folie. Certains passages m'ont manqué et j'y repense encore.
J'ai retrouvé ce que j'avais aimé dans Apostasie, une sensibilité, une détresse, un émerveillement macabre. Par contre, je n'ai pas ressenti ici d'angoisse ou de malaise comme lors de ma lecture d'Apostasie.
Deux trois petites choses m'ont chagrinée sur l'instant mais avec le recul et la fin du roman, je comprends mieux la mise en place des choses et les choix des personnages. J'avais aussi l'impression de ne pas comprendre Egemont sur la seconde partie de l'histoire mais finalement, son état est si logique. Je ressort de cette lecture avec un étrange sentiment de froid, de beauté, de folie.
Comment le dire à la nuit est un roman fort, une lecture un peu exigente, une fois habitué à la narration, la lecture est rapide et prenante.
Merci à Babelio et aux éditions du chat noir pour cette merveilleuse découverte.
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Dans cette chronique, je vais vous parler du roman « Comment le dire à la nuit » écrit par Vincent Tassy et publié par les Editions du Chat Noir. J'ai longtemps espéré pouvoir lire une romance comme celle-là, baignée de douceur et de noirceur.

Avant même d'ouvrir le livre, j'avais été séduite par le titre poétique et par la couverture délicate et originale, parfaitement représentative de l'histoire. Quant au résumé, je l'ai trouvé à la fois très accrocheur et mystérieux, me donnant encore plus envie de découvrir ce roman…

Une fois l'histoire commencée, je n'ai pas été déçue. Que du contraire. Loin des clichés et des romances niaises, ce livre met en scène des personnages insaisissables habités par des émotions fortes qu'ils ne peuvent contrôler. Ils sont tous liés d'une certaine manière et le lecteur assiste, silencieusement, à l'évolution entre les relations de ces héros hors du commun sans jamais être en mesure de deviner ce qui va se passer ensuite. Les psychologies étaient toutes très bien travaillées. Les réactions des personnages perdues entre la folie et l'amour. Un roman plein de rebondissements, de surprises et surtout… une histoire débordante de mystère et de sensations mêlées.

Du début à la fin de ce livre, Vincent Tassy instaure une atmosphère étrange, jouant entre les époques. Il n'hésite pas à sacrifier des protagonistes dans la douleur et dans le sang pour heurter la sensibilité de tous. J'ai également adoré le fait que la touche de fantastique apportée au roman se développe au fil du récit pour prendre une importance considérable.

Pourtant, le scénario sanglant et touchant qui met en avant les moeurs de différentes époques, ainsi que les personnages au destin particulier n'ont pas su attirer mon attention outre mesure pour la simple et bonne raison que le point fort du roman se trouve être la plume de l'auteur.

Que dire d'ailleurs de l'écriture… Comme une douce mélodie qui atténue la noirceur de l'histoire. Comme une berceuse. La plume de Vincent Tassy est tout simplement inqualifiable, mêlant poésie et narration avec une dextérité incroyable. Il se dégage quelque chose de profond de cette plume, si bien que pour moi, aucun mot n'est à la hauteur pour la décrire. Un chef d'oeuvre, vraiment !

En résumé, l'histoire qui se cache derrière ce magnifique écrin est à découvrir de toute urgence ! Une plume comme il en existe peu, des personnages touchants et un scénario original. Que demander de plus ?
Lien : http://rectoversooo.weebly.c..
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Au début, je n'ai rien compris. On passe d'un personnage à l'autre, d'une époque à l'autre. Les personnages sont tous atypiques, insaisissables souvent. A priori, il n'y a aucun lien entre eux. Mais ce n'est pas grave, Vincent Tassy sait où il va et je le sentais. Je me suis donc laissée portée, les lignes filaient avec une poésie folle, magnifique et sans trop me rendre compte, j'étais dans l'intrigue, les liens se faisaient doucement. Et quand ce n'était pas le cas, je faisais des hypothèses, parfois juste, souvent à côté.

Je n'aurais jamais lu ce livre sans le PLIB. Et c'est dommage, car je serai passée à côté d'une pépite. Un livre que tout le monde ne peut aimer. Mais un livre avec une écriture absolument magnifique qui m'a emportée tout du long. Non pas une écriture lourde, fatigante. Plutôt de celles qui font défiler les mots sans effort en vous emmenant dans un autre univers. C'est beau et déroutant.

Les personnages, plus marginaux les uns que les autres sont terriblement attachants. Que ce soit au niveau de leur personnalité, leurs problèmes ou leur attirance sexuelle, il n'y a nul jugement. Vincent Tassy ne pose pas un regard qui invite au débat. Au contraire, chaque personnage est comme il est. Point. Et la facilité avec laquelle il amène ces éléments est un joli coup de plume.

Ce que je retiens de cette lecture, c'est une magie dans les mots qui a fait de ce livre un vrai coup de coeur. C'est une intrigue parfaitement maîtrisée et un don certain pour parler des gens avec une simplicité qui ne peut que toucher. Tout cela sur un fond fantastique qui m'a plu comme tout le reste. C'était beau, noir, plein d'amour et de haine, de passion et de vengeance. C'était humain et fantastique.

Une très très belle découverte que je vous conseille absolument.
Lien : https://samlorenlivre.wordpr..
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Voilà un roman à la triste beauté. Une beauté au visage pâle et alangui de douleur, qui figure comme le véritable personnage du roman. Elle nimbe les âmes perdues de ce roman de son sourire de lune et de son parfum de rose fanée. Dans "Comment le dire à la Nuit", Vincent Tassy se fait le chantre de la poésie du vide, ce même vide nourri par l'absence de l'être aimé, et tisse au fil de sa narration un ciel blanc de mélancolie, sous lequel errent des personnages murés dans la souffrance, qu'elle soit née du secret, du deuil ou de la violence. Un roman qui vous laisse hanté une fois reposé, par son lyrisme crépusculaire, son ode à l'amour noir.
Ce n'est pas un livre d'amour, c'est un livre sur l'amour. le vrai, le cruel, celui dont ne parlent pas les romans à l'eau de rose. Celui qui vous laisse un goût amer, et qui tourne dans la tête et le coeur comme un vieux disque rayé.
Je ne l'ai pas lu, mais bu avec délice, à petites gorgées pour en garder longtemps la saveur, comme une bonne tasse de thé un jour de pluie.
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Une fois de plus, la mélancolie règne sur ce récit transcendé par un mal du siècle palpable. Je l'ai dit en commençant cette chronique: Comment le dire à la Nuit n'est pas un roman dont on parle, c'est un livre qu'on vit, qui caresse notre âme. On le lit dans le noir à la lueur d'une bougie, cloîtré dans une pièce sans fenêtres. On s'y plonge d'une traite et on ne le repose pas avant de tourner la dernière page.

Toutefois, hélas, mille fois hélas, il ne conviendra pas à tous les lecteurs et n'est pas à mettre entre toutes les mains. Beaucoup resteront probablement perplexes devant cette plume si recherchée et les émotions brutes dégagées par le roman. Il faut, je pense, une certaine sensibilité classique pour l'apprécier dans toute sa splendeur. À l'instar d'Apostasie, premier roman de l'auteur, Comment le dire à la Nuit fait partie de ces livres qu'on doit relire à plusieurs reprises afin d'en prendre la pleine mesure. J'ai rarement lu un texte aussi inspiré. Vincent Tassy est un auteur talentueux et précieux dans le paysage littéraire francophone, à découvrir d'urgence.
Lien : https://ombrebones.wordpress..
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(...) je n'ai toujours pas les mots justes pour dire combien ce roman résonne en moi, pour dire combien j'ai été touchée par chaque chapitre, chaque personnage, chaque page ; pour dire que moi-aussi je flottais, comme les cygnes sur la mare des Fleurs du Cygne, pendant la lecture, que la douceur et les émotions m'ont tant touchée que je ne voulais pas tourner la dernière page, quand bien même un sentiment d'absolu demeurerait. Vincent a mis des mots sur des éléments, des sensations, enfouis, comme le vide, la nuit, en nous ; et cela il l'a écrit en forme de sérénade pour la nuit, la lune, le ciel étoilé ; pour le néant dans lequel brille l'amour.
Lien : http://maude-elyther.over-bl..
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Cet été, j'ai profité des offres des maisons d'éditions pour acheter des ebooks à petit prix et découvrir leurs parutions. L'occasion de lire de nouveaux auteurs. Et quelle découverte! Je suis tombée en amour de la plume de Vincent Tassy avec Comment le dire à la Nuit.

Ça ne se lit pas, ça se dévore! Difficile de résumer ce chef d'oeuvre sans risquer de trop en dire. le lecteur suit plusieurs trames temporelles, plusieurs points de vue qui finissent par se rejoindre pour un final en apothéose. L'on va de surprise en surprise, tant le thème de l'immortalité et du vampirisme est traité avec originalité, mais tout en subtilité et délicatesse.

Les personnages sont hyper touchants, au point que j'en ai versé quelques larmes. Leur traitement m'a laissé admirative, comme le style de l'auteur que j'ai trouvé d'une fluidité sans pareille et d'une poésie dingue.

Plus encore que l'histoire déjà merveilleuse, c'est vraiment la qualité d'écriture qui m'a séduite.

Un auteur que je recommande et que je me réjouis de retrouver dans ses autres parutions.

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Je ne peux pas commencer mon avis sans parler de la sublime plume de Vincent Tassy. Ses textes sont empreints d'une poésie, d'une mélancolie, d'une beauté inaccessible qui les rendent magnifiques et uniques. L'auteur nous décrit des sentiments d'une telle manière qu'ils me semblent irréels, hors du temps et de portée pour de simples mortels. Au travers de ses personnages, il pose des questions existentielles et des réflexions si lointaines qu'elles se heurtent à mon esprit pragmatique. Je ne suis donc qu'une spectatrice émerveillée qui est plongée corps et âme dans les histoires que l'auteur nous livre.

À l'instar d'Apostasie nous avons aussi une histoire dans l'histoire. Un système narratif que l'auteur maîtrise à merveille. Quel que soit le personnage que nous suivons, nous sommes happés, immergés et stupéfiés par toutes ces histoires reliées par le temps.

Les personnages sont à l'image de la plume et de l'ambiance : mélancoliques, bizarres, beaux avec cette sensation qu'ils sont intouchables, qu'ils évoluent dans un espace-temps que nous pouvons à peine envisager. Pourtant, je me suis sentie proche d'eux, quand bien même la vision de la vie de Rachel est totalement éloignée de la mienne, j'ai été prise d'emblée de sympathie pour elle. Cette jeune femme est à la fois étrange et familière à mes yeux. À côté de cela, j'ai été fascinée par Cléopâtre, choquée par la cruauté d'Athalie, époustouflée par l'indéfinissable Adriel, touchée par Léopold et Egmont.

Ce roman est magnifique, maîtrisé du début à la fin et d'une très belle justesse. La fin était un peu étrange mais elle m'a convenu. L'auteur nous parle d'artistes qui me sont malheureusement inconnus, sa culture en poésie et oeuvres gothiques transparait et nous immerge d'autant plus dans son récit.

C'est donc une lecture poétique d'une beauté toute mélancolique qui m'a transportée et qui me confirme que le talent de Vincent Tassy est indéniable.
Lien : https://emiliemilon.com/2020..
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Ce fut une belle découverte pour moi, que ce soit au niveau de la plume de l'auteur ou de l'histoire. On se laisse porter et, je pense, il faut savoir perdre pied pour en apprécier toute la saveur. La façon dont certains thèmes ont été traités m'a énormément plu également : le vampirisme, le genre social...
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