Les chroniques de St Mary, tome 5 : Hier ou jamais

Après les évènements du tome 4, la vie reprend tout doucement son court à St Mary. Pour redonner son prestige à l'Institut, il est décidé d'aller assister à la destruction de la cathédrale Saint Paul lors d'un incendie. Mais ce voyage va avoir des conséquences à long terme sur l'Institut.

Ce tome 5 commence avec une histoire de fantôme qui met en scène Markham. J'ai beaucoup aimé ce passage. Il faut dire que le trio Max-Peterson-Markham promet toujours de bons moment. Ils seront d'ailleurs réunis un peu plus tard dans une autre mission où ils devront tout faire pour ne pas modifier le cours de l'Histoire (et pourtant c'est pas gagné).

Encore une fois, on va voyager beaucoup et découvrir des périodes de l'Histoire peu connues. Que se soit l'incendie De Saint Paul ou la bataille des Thermopyles. Mais je crois que mon passage préféré, c'est la journée Portes ouvertes à St Mary. Franchement, fallait oser quand on connait les membres de l'Institut et les catastrophes qu'ils peuvent déclencher.

Un tome que j'ai dévoré et j'ai hâte de lire la suite. Surtout après les derniers chapitres…

Encore une fois, on passe un très bon moment. Si vous aimez les romans un peu barrés où les personnages ne se prennent pas au sérieux et où l'Histoire est bien présente, je vous recommande cette saga!

Je me suis replongé dans ces romans que j'aime d'amour avec ce 5ème tome qui, bien que n'étant pas mon préféré (le tome 3❤), m'a beaucoup plus.

Au bout d'un moment, et en enchainant la les tomes de cette saga, on peut commencer à ressentir un côté redondant à l'histoire, le schéma narratif étant sensiblement toujours le même entre les romans. Et c'est d'ailleurs pour cela que je n'enchaine jamais mes lectures de cette saga.

Mais malgré cela, j'adore sincèrement retrouver ces histoires à chacune de mes lectures. L'humour de Jodi Taylor, et la personnalités de ces personnages, me donne une sensation de « retour à la maison », à chaque fois que je me plonge dans ces romans.

Chaque d'eux contient son lot de surprises et les personnages ne cessent de jouer avec le danger, et la mort, rendant chacune de ses lectures passionnante (malgré les schéma narratifs répétitifs que j'évoquais plus tôt). Max est une catastrophe ambulante, enchainant actes inconscients et maladresses dramatiques, le tout mêlé à son côté têtu et sarcastique.

Chaque tome vient se pencher sur un évènement, une période, différentes de l'histoire. Et en tant que grande fan d'histoire, chacune de ses découvertes (ou redécouverte) me fascinent.
Pour ce tome, nous allons faire la rencontre de Botticelli à Florence durant le bûcher des vanités, mais aussi se rendre à la fameuse bataille des Thermopyles, que je ne connaissais pas et ai adoré découvrir.

En conclusion, c'est toujours un immense plaisir pour moi de retrouver la bande chaotique de l'université de St Mary, et je continuerai de faire la propagande de cette saga !

Cinquième tome de la série des Chroniques de St Mary, j'étais impatiente de replonger dans cet univers mais aussi de retrouver les petites habitudes instaurées par l'autrice, absentes dans le tome 4.

Comme toujours, j'ai un amour inconditionnel pour Max, aventurière curieuse et drôle malgré elle, c'est avec grand plaisir que je la suis dans ses aventures puisque, même quand elle pense au moindre détail pour que tout se passe pour le mieux lors de leur « intervention », il y a toujours un élément qui vient perturber le plan, l'obligeant à trouver des stratégies miraculeuses du « sauve-qui-peut » en un claquement de doigts.

Dans ce tome, on se penche particulièrement sur 3 évènements historiques : le grand incendie de Londres, le « bûcher des vanités » (où l'on aperçoit Botticelli sous un autre jour !) et la bataille des Thermopyles que l'on connaît surtout parce qu'elle a conduit à la mort de Léonidas. Deux évènements qui vont nous donner quelques frayeurs pour les personnages récurrents que l'on suit depuis le premier tome. Même dans les passages les plus terribles de l'histoire, Jodi Taylor arrive à glisser une anecdote désopilante qui nous fait relativiser sur le reste de ce « mauvais moment à passer ». La journée portes ouvertes organisée par notre héroïne donnera également lieu à quelques scènes rocambolesques.

Côté vie personnelle, je ne m'attendais pas à la tournure prise, mais je trouve qu'elle fait sens. Ce qui m'a le plus intéressé, sans surprise, est la « stratégie » de Max suite à son accident pour arriver à ses fins et l'amitié que l'autrice tisse entre elle et Markham depuis le premier tome. Même si voyager dans le temps et risquer sa vie n'est pas banal, l'autrice réussit à créer du lien entre les lecteur.ices et les personnages par ces petits détails parsemés tout au long des romans.

Ce tome est donc une franche réussite pour ma part et je continuerai la série avec plaisir.
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C'est avec grand plaisir que je retrouve la saga des Chroniques de Saint Mary. Dans ce tome, les aventures vont se succéder , du Londres en feu, à Florence et la rencontre avec Botticelli, et l'organisation des Portes Ouvertes de St Mary, les actions se déroulent à un rythme de fou, des révélations se dévoilent et confèrent aux personnages un attachement.
A suivre...

Après ma lecture des quatre premiers tomes, voici mon avis sur le tome 5 que j'ai reçu en papier de la part des éditions Hervé Chopin. Un tout grand merci à eux pour ce cadeau !

Jodi Taylor frappe encore. 5 étoiles. Comment est-ce possible d'inventer et d'écrire une saga aussi bonne, je me le demande à chaque fois ! Les Chroniques de St Mary c'est apprendre l'Histoire en s'amusant, avec beaucoup d'humour, de dérision, de dangers, de batailles, d'incendie, d'extraction en urgence… Sérieusement, je me demande comment Max est encore en vie après cinq tomes, elle aurait déjà dû perdre trois membres, un oeil, un genou et sa santé mentale après deux histoires et demi. Au point où elle en est, c'est une super héroïne, rien de moins.

Dans ce cinquième opus, on part de nouveau aux quatre coins du monde et du Temps… Entre le sauvetage d'objets religieux provenant de la cathédrale St-Paul juste avant (ou plutôt pendant) le grand incendie qui a ravagé Londres au XVIIème siècle, l'incendie de St-Mary où nos historiens adorés courent après quelqu'un qui a été défenestré, le passage à l'Exposition Universelle et la visite à Botticelli en personne, on n'a pas une seconde pour s'ennuyer.

C'est une des grandes forces de ce récit que je retrouve rarement dans d'autres livres : le rythme effréné. Ligne après ligne, nous avons de l'action, des dialogues hilarants et des événements inimaginables qui divertissent autant que des épisodes de Dr Who croisés avec les péripéties d'Harry Potter et sa clique à Poudlard. En plus des aventures déjantés qui se déroulent, on a aussi droit à quelques face-à-face avec les grands méchants de la ligne temporelle. Ils trouvent toujours le moyen de tomber au moment où on ne s'y attend pas… et les fins de chapitres sont juste horribles. L'autrice nous torture environ quatorze fois par livre alors évidemment, la lecture se passe assez vite !

Cette citation résume très bien l'ambiance globale des chroniques de St-Mary :

« Tu parles de St-Mary, un lieu où mettre le feu à des objets est considéré comme une qualification ».

J'ai encore une fois adoré plus que de raison chacun des chapitres de cette histoire. Max et ses acolytes sont de vrais fouteurs de merde mais aussi des aventuriers qui n'ont pas froid aux yeux et qui n'hésitent pas à mettre leur vie en danger pour sauver l'Histoire et les leurs lorsqu'ils sont à deux doigts de perdre la vie (ou un membre).

C'est un tel plaisir de retrouver dans cette saga. J'ai adopté le rythme d'un tome par mois depuis décembre 2022 et je n'arrêterai que lorsque j'aurai terminé tout ce que Jodi Taylor a écrit avec Maxwell, cette femme qui est à la fois une Hermione, une Katniss, une Indiana Jane et une femme aussi digne de voyager dans le temps que Rose Tyler et Amy Pond. Max, tu es une de mes héroïnes de livre favorite ! S'il te plait ne meurt pas !!!
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On peut dire qu'on ne s'ennuie jamais avec Max : des aventures sur les chapeaux de roues qui s'enchaînent sans temps mort, de l'humour… Ce cinquième tome ne déroge pas à la règle et me conquiert toujours autant ! Je vais de ce pas me procurer les prochains tomes !

Encore un tome que j ai pris beaucoup de plaisir à lire !

On ne s'ennuie aucunement, on passe d'une époque à l'autre sans jamais manquer d actions.

On en apprend plus sur les personnages secondaires et leurs liens, mais aussi on a une belle évolution du côté de Max que je ne dévoilerai pas et qui clôture ce livre en beauté.

J'ai particulièrement apprécié de plonger à l époque de Boticceli mais aussi et surtout la bataille des Thermopyles !!!

La suite s annonce fort intéressante avec le changement de statut de Max, autant professionnellement que personnellement !

Je m'y plonge sans attendre !!!

Chaque tome semble débuter à l'infirmerie sous la bonne garde d'Helen avec une Maxwell toujours plus cassée... un régal !
Encore un tome palpitant, trépidant et qui nous fait tant voyager.
J'imagine que les férus d'Histoire sauraient noter quelques anachronismes...mais n'est-ce pas justement tout le but de cette saga ?
Alors que l'équipe de St Mary se remet avec douleur, perte et fracas de l'attaque de la Police du temps, il est décidé de redorer le blason de l'institut auprès de Thirsk et de payer une visite aux londoniens. Une expédition est donc prévue pendant le grand incendie pour sauver des archives précieuses... un ennemi du passé refait surface et vient bouleverser l'équilibre précaire de St Mary.
Il faudra à Maxwell beaucoup de courage et de patience pour organiser en parallèle de ses missions, toujours plus périlleuses, la fête de St Mary. Au programme, course de bateaux : leur crédibilité est en jeu !
Il leur faudra également se faire dorer la pilule auprès de Léonidas et de sa célèbre légion de 300... une expédition "humide" pour Max et pleine de testostérone pour ses deux acolytes. Difficile de ne pas entendre la b.o de Tyler Bates et les "Haou" des guerriers lors de la bataille contre Xerxès. Magnifique !

Jodi Taylor est vraiment excellente à chaque tome. Impossible de s'ennuyer, le coeur s'alourdit à chaque perte d'un membre de la famille St Mary. le coeur trépigne d'impatience à chaque risque de bouleversement historique. le coeur cède à la panique à chaque fois que Max met le feu ou frappe quelqu'un. "Que peut-il lui arriver de pire ?" est la question que l'on ne cesse de se poser.

Ne pas hésiter à lire donc, avec toujours le plus grand des plaisirs.

Cette saga devient de mieux en mieux ! J'ai adoré le tournant amorcé avec le 4e tome, ainsi que les changements dans ce tome là. Les époques historiques visitées sont passionnantes, tout comme les intrigues de fond. L'histoire se complexifie, sans perdre son atmosphère loufoque et son humour cynique. Hâte de savoir ce que la suite me réserve !

Dans le feu de l'action

Après l'éprouvant tome 4 (Une trace dans le temps), retour à la routine pour St Mary. Routine ? Précisez SVP ! Et bien des petites missions bien tranquilles comme se rendre à l'exposition universelle de Londres en 1851 pour y admirer le Crystal Palace (et y retrouver un certain Clive Ronan), ou encore visiter le St Mary de 1643 histoire de remettre quelques fantômes à leurs places ! Il faut aussi que St Mary, qui dépend financièrement de l'université de Thirst, puisse redorer son blason afin d'obtenir des fonds supplémentaires. Pour y parvenir, quoi de mieux que la découverte inopinée d'un trésor sur place ? Evidemment, cela suppose de récupérer le dit trésor dans le passé, en l'occurrence lors du grand incendie de Londres en 1663, l'enterrer proprement près de St Mary et quatre siècles plus tard, laisser les pontes de l'université le découvrir ! Evidemment cela suppose de sortir vivant de cet incendie gigantesque qui a ravagé une bonne partie de la capitale anglaise et notamment la cathédrale St Paul… Pour s'attirer les bonnes grâces de l'université, St Mary organise aussi une journée portes ouvertes qui, comme vous pouvez l'imaginer va se terminer en catastrophe. Mais loin de se décourager, les historiens menés par une Max toujours aussi opiniâtre iront aussi à Florence en 1497 pour tenter de sauver quelques tableaux de Botticelli destinés au Bûcher des Vanités…
Dans ce tome on retrouve tout ce qui fait de ces romans mi science fiction, mi fantastiques, une saga terriblement addictive !
On a bien sûr grand plaisir à suivre le docteur Maxwell dans ses multiples aventures à travers les époques et aussi dans sa vie privée, les historiens qui l'accompagnent, et tous les membres de l'institut qui concourent au succès (ou à l'échec) des missions. Un air romanesque saupoudré d'une bonne dose d'humour (british, of course !) souffle sur cette série mais ce n'est ni au détriment de l'action, ni à celui de l'Histoire car oui, on en apprend pas mal en lisant ces livres (tiens, moi j'avais complètement oublié cette fameuse batailles des Thermopyles !).
A suivre donc, avec intérêt et passion !