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![Le syndrome [E] par Franck Thilliez](/couv/CVT_6217_953243.jpg "Le syndrome [E] par Franck Thilliez")
Critique de Laurent3375
Après deux romans mettant en scène le commissaire Franck Sharko en solo, « Train d'enfer pour ange rouge » (2004) et «Deuils de miel » (2006) puis, deux autres pour mettre en lumière le lieutenant Lucie Hennebelle, en solo aussi, avec « La chambre des morts » (2005) et « La mémoire fantôme » (2007), l'auteur nous propulse dans un nouveau thriller palpitant (2010) qui va réunir (enfin !) les deux personnages.
Franck Thilliez a ce don pour nous capter dans des enquêtes sombres, denses et très recherchées.
Tout commence par la découverte d'un vieux film 16mm de 1955 qui a la particularité de faire perdre la vue au spectateur. L'auteur nous fait un clin d'oeil en reprenant les images morbides d'un film expérimental de 1929, « Un chien andalou » où apparaît à l'écran Salvador Dali.
Le sujet porte sur la manipulation cérébrale poussée dans ces dernières limites et appuyée par des thèses scientifiques tirées de l'imagination de Thilliez, mais pas que..
Dans cet opus, nous allons voyager : Lille, Paris, le Caire, Montréal, Belgique, à la recherche d'éléments de réponses autour de ce film convoité qui va entraîner des meurtres abominables.
Une terrible machination semble se cacher derrière ces événements mêlant différentes institutions comme l'église, l'armée ou les services de renseignements.
Le récit est captivant, entraîné par le duo Sharko-Hennebelle qui apporte une dimension très forte à cette enquête, pour nous laisser haletant jusqu'à la dernière page et pour apprendre que nous tenons dans les mains le premier volet d'un diptyque.
Le roman qui paraitra en 2011, « Gataca » est donc la suite directe, mais qui peut se lire indépendamment du « Syndrome E ».
Pour ma part, je ne peux pas résister à l'envie de poursuivre immédiatement la lecture de ce second volet et retrouver ces personnages forts attachants.
Bien à vous tous amis babéliens !
Franck Thilliez a ce don pour nous capter dans des enquêtes sombres, denses et très recherchées.
Tout commence par la découverte d'un vieux film 16mm de 1955 qui a la particularité de faire perdre la vue au spectateur. L'auteur nous fait un clin d'oeil en reprenant les images morbides d'un film expérimental de 1929, « Un chien andalou » où apparaît à l'écran Salvador Dali.
Le sujet porte sur la manipulation cérébrale poussée dans ces dernières limites et appuyée par des thèses scientifiques tirées de l'imagination de Thilliez, mais pas que..
Dans cet opus, nous allons voyager : Lille, Paris, le Caire, Montréal, Belgique, à la recherche d'éléments de réponses autour de ce film convoité qui va entraîner des meurtres abominables.
Une terrible machination semble se cacher derrière ces événements mêlant différentes institutions comme l'église, l'armée ou les services de renseignements.
Le récit est captivant, entraîné par le duo Sharko-Hennebelle qui apporte une dimension très forte à cette enquête, pour nous laisser haletant jusqu'à la dernière page et pour apprendre que nous tenons dans les mains le premier volet d'un diptyque.
Le roman qui paraitra en 2011, « Gataca » est donc la suite directe, mais qui peut se lire indépendamment du « Syndrome E ».
Pour ma part, je ne peux pas résister à l'envie de poursuivre immédiatement la lecture de ce second volet et retrouver ces personnages forts attachants.
Bien à vous tous amis babéliens !
