William A. R. ThomsonAnnie Hubert/5
3 notes
Résumé :
Depuis la plus haute Antiquité, les hommes ont su utiliser les plantes pour se soigner. Déjà en 1700 avant J.-C., le Code d’Hammurabi, l’un des premiers textes de l’histoire du monde, signale leurs pouvoirs. L’Egypte antique, la Grèce connaissaient leurs vertus ; le Moyen Age inventera les cultures de plantes médicinales et développera l’herboristerie, cette grande « pharmacie de la nature », qui régnera sur la médecine pendant des siècles.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Depuis l'antiquité, l'homme utilise les vertus curatives des plantes pour se soigner.
Au moyen-âge on cultivait des jardins de santé et l'usage des plantes médicinales était plus que courant.
En fait, l'usage médicinal des plantes restera largement répandu jusqu'au milieu du siècle dernier, en France l'herboristerie, interdite par le régime de Vichy, puis dépassée par l'industrie pharmaceutique gardera, garde encore de très nombreux adeptes.
Ce livre, présente les plantes médicinales sous un double aspect : botanique en présentant les caractéristiques et les usages de plantes aux vertus curatives et ethnologiques avec l'historique de la phytothérapie.
En très bon ouvrage, clair et bien illustré.
Au moyen-âge on cultivait des jardins de santé et l'usage des plantes médicinales était plus que courant.
En fait, l'usage médicinal des plantes restera largement répandu jusqu'au milieu du siècle dernier, en France l'herboristerie, interdite par le régime de Vichy, puis dépassée par l'industrie pharmaceutique gardera, garde encore de très nombreux adeptes.
Ce livre, présente les plantes médicinales sous un double aspect : botanique en présentant les caractéristiques et les usages de plantes aux vertus curatives et ethnologiques avec l'historique de la phytothérapie.
En très bon ouvrage, clair et bien illustré.
Citations et extraits (2)
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Au moyen âge on appelait "Feu de saint Antoine" la très violente réaction causée par l'ingestion d'ergot (Claviceps pupurea) accidentellement moulu avec la farine de seigle. Cette "peste" se manifestait par des empoisonnements en masse, parfois des hallucinations et une folie permanente.
L'homme dans son insatiable soif de connaissance, a déjà exploré bien des domaines ; mais d'autres et des plus vastes, demeurent encore cachés, réservés peut-être aux générations futures qui poursuivront dans des pays lointains l'examen de l'oeuvre du Créateur.
Elles feront alors des découvertes pour le plus grand bien de l'humanité.
La postérité verra grandir ses musées en même temps que sa connaissance de la Sagesse divine.
Les sciences pratiques en seront enrichies. nous ne pouvons nous empêcher de penser que ce que nous savons de l'Œuvre de Dieu est infime à côté de ce que nous en ignorons.
Linné.
Elles feront alors des découvertes pour le plus grand bien de l'humanité.
La postérité verra grandir ses musées en même temps que sa connaissance de la Sagesse divine.
Les sciences pratiques en seront enrichies. nous ne pouvons nous empêcher de penser que ce que nous savons de l'Œuvre de Dieu est infime à côté de ce que nous en ignorons.
Linné.
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