After, tome 2 : After We Collided

Je ne sais pas par où commencer tellement j'ai trouvé cette histoire pathétique. Je comprends bien que les personnages principaux sont jeunes (18 et 20 ans), mais même à cet âge, il y a des limites à l'imbécilité, aux mauvais choix et surtout à la conception erronée de ce qu'est l'amour.

Les deux personnages principaux (ainsi qu'une très grande partie des personnages secondaires) ont besoin d'une bonne thérapie d'urgence ET d'apprendre à vivre seuls. Mais d'où vient cette idée récurrente, dans la littérature jeunesse et jeune adulte américaine, que l'amour est une obsession et un désir de possession de l'autre? En quelle année les auteurs de ces romans vivent-ils pour propager l'idée que les relations extrêmement malsaines de pouvoir sur l'autre, de paroles cruelles, de chicanes à n'en plus finir, de cercles vicieux pervers, de violence, de jalousie extrême, de harcèlement psychologique et de vengeance sont synonyme d'amour profond? Sérieusement, ça fait peur quant à la santé mentale des écrivains ET des lecteurs qui lisent ces romans avec avidité et qui se pâment pour la sous-disant histoire d'amour des personnages.

Personnellement, je ressens un très grand malaise face à ce type d'histoire tordue qui est "vendue" comme étant de l'amour. Pour moi, la seule fin possible pour ce type de récit est une plainte pour harcèlement, le commencement d'une thérapie ou la prise de conscience du personnage d'éviter tout type de relation de ce genre s'il veut être heureux.

Vous aurez compris qu'il est hors de question que je lise une ligne de plus de cette série...

. DÉCEVANT.

Si le reste de la saga d'After est à l'image de ce tome 2 alors l'ennui ne va plus me quitter. Chaque chapitre s'amorce par une dispute puis une séparation et enfin une réconciliation par le sexe. Quelle vie de couple épanouie pour ce très jeune couple ! C'est inquiétant.

Hardin est encore plus odieux dans ce deuxième chapitre et fait souffrir Tessa plus que jamais. Sans trop spoiler, il fait plus de crasse que ce qui est à la limite de supportable pour chacun de nous et pourtant elle lui pardonne sans problème.

Cet aspect là me refroidi énormément car si ce livre est lu par de jeunes adolescents en pleine construction de leur manière d'imaginer une relation amoureuse et bien c'est désastreux.

Ce Hardin est également hautain et dénigre tout ce qui l'entoure de manière honteuse. Ce qui me surprend le plus c'est le personnage de Tessa qui est censé être une jeune fille intelligente et bien éduquée et elle accepte sans broncher que son petit ami parle d'elle de manière possessive et salace. Il parle d'ailleurs de cette manière à sa belle maman.

Je suis dégoûtée d'avoir acheté toute la saga. Je vais donc la lire par curiosité pour voir comment ça évolue mais je suis vraiment déçue que ça ai pu faire un carton. Ou est le romantisme dans cette histoire ? On peut être amoureux fusionnel et passionné sans rabaisser et insulter la personne que l'on aime ni le reste du monde.

En route pour le saison 2 où nous reprenons les mêmes ingrédients, à savoir, disputes, réconciliations, sexe et bagarre.

Encore une fois, le roman aurait pu être allégés de quelques pages puisque cela tourne en boucle. A chaque chapitre, la même trame... Dommage parce que avec le passif d'Hardin, l'auteur aurait pu en sortir une saga faon driven intéressante.

Je vais m'arrêter là pour cette saga...

Pas plus palpitant que le premier, mais je dois savoir la fin. Parce que je dois !
La fanfiction gratuite de laquelle est tirée cette histoire reste un bon exercice d'anglais pour moi.

Toujours dans la lignée du tome précédent, Anna Todd apporte cependant un soupçon de nouveauté avec la voix d'Hardin (personnage principal masculin). Je ne l'ai malheureusement pas du tout trouvé crédible.
Pourtant une fois de plus, la fin (brutale pour le coup) ne permet pas aux lecteurs d'éviter la suite. D'autant plus que beaucoup de questions soulevées restent pour le moment sans réponse.
Je signe donc pour la lecture de la saison 3.
Lien : http://boumabib.fr/

Autant j'été surpris du premier tome de cette sage par son style neuf, autant c'est redondant au possible à partir du tome 2, mais cela reste une saga qui peux donner envie de lire, notamment pour les plus jeunes. Pour résumé a lire le premier tome pour tous et à continuer pour les débutants.

On pourrait dire que ce tome est légèrement mieux, mais juste un poil que le tome précédent . L'histoire pourrait être intéressante si on ne tournait pas en rond avec ces disputes /réconciliations permanentes et le fait que Tess cède très rapidement

Le plus dans ce tome est le mode narratif passant de Tess à Hardin ,avec une approche plus poussée sur les sentiments du jeune homme. Je crois que c'est ce qui m'a permis d'avancer et de comprendre le coté coléreux de celui ci, et l'amour qu'il porte à Tess. En fait il a vraiment besoin que quelqu'un le fasse travailler sur les raisons de sa colère.

Je n'ai toujours pas accroché au personnage de Tess, encore moins ici, alors qu'elle navigue entre Zed et Hardin. Je suis intriguée par Zed, quelles sont ses véritables motivations ?

Les comportements de certains personnages m'ont interpellé et je ne les ai pas trouvé très plausibles. Comme celui de Karen, la belle mère, qui accepte les éclats et les frasques d'Hardin dans sa maison.

J'ai trouvé aussi une scène qui semble un copié collé de celle d'Ana ( 50 nuances de Grey) dialogues identiques ,juste lieux différents. Ici j'ai trouvé choquant et irréaliste qu'une adulte ( Kim) pousse Tess à boire des cocktails jusqu'à s'enivrer.

J'ai donc lu ce tome assez en transversal, pour avancer et découvrir ce qui rend cette saga si populaire, c'est pourquoi ,je vais continuer ma lecture, qui sait peut être l'auteur va me surprendre ?

Ouch... que dire sur ce monument de la littérature ? (rire)

Déjà, je pensais que le tome deux serait mieux écrit que le premier, qui, en dépit de son côté addictif n'avait que peu de qualités littéraires, force est de constater que ce n'est pas le cas en dépit des efforts de l'auteure pour placer des citations de grands auteurs dans son texte (mes condoléances à Jane Austen et à Tolstoï)

En ce qui concerne l'histoire, nous avons désormais les points de vue de deux personnages : Tessa et Hardin. Bon, en ce qui concerne Hardin, ce n'est pas lui rendre service de mon point de vue. Je le trouve encore plus méprisable à présent et le côté "j'ai vécu telleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeement de traumatismes mais en fait je suis un grand sentimental, Tessa snif snif" est tellement outré que le personnage en devient caricatural. Franchement, je ne comprends pas l'engouement pour ce personnage qui n'a rien de la classe d'un Darcy, ni de la fragilité d'un Grey (oui, même Christian Grey parait très bien écrit en comparaison, après j'exagère parce que j'avais aimé 50 nuances, mais bon vous comprenez l'idée). Tessa en revanche est attachante, je ne le nie pas, si on fait abstraction de son incroyable bêtise, elle est vraiment bien écrite. Parce que oui, bon, on a bien compris qu'elle aimait Hardin (c'est bien la seule) mais tout de même ! Ce type est un pervers en puissance et un futur abuseur... Quand on voit la manière dont il essaie de contrôler sa vie et ses relations, on se dit que bah finalement, la mère de Tessa n'est pas si mal. J'ai du mal à comprendre l'engouement des fans (et de Tessa) pour un personnage qui casse la gueule de tout le monde dès qu'il est triste, jaloux ou qu'il n'a pas eu son café du matin !

Sur Tessa, au delà de sa stupidité et de son côté "seules mes hormones me parlent", j'avoue que j'ai eu du mal avec la manière dont l'auteure dépeint sa relation avec sa mère. Ok, elle n'est pas parfaite la maman mais quand je vois le débordement de haine et de mépris de Tessa à son égard, j'avoue que je ne comprends pas. Surtout que jusqu'alors, leur relation était plutôt bonne et d'un coup Tessa se la joue grosse rebelle, juge tous les actes de sa mère (et des parents d'Hardin) tout ça pour donner systématiquement le beau rôle à son manipulateur toxique. Car, oui Hardin est toxique. Hautement de mon point de vue et cela va au delà du "bad boy", dans After, le personnage d'Hardin est tellement poussé à l'extrême (l'auteure ne nous épargne aucun cliché ou pathos pour nous le rendre sympathique) qu'il en devient vraiment haïssable ( pas du tout l'effet sexy/tourmenté recherché donc). L'écriture n'arrange rien... Les passages les plus ridicules étant ceux où Hardin se fait timide (pauvre petit chouchou) c'est tellement caricatural et cousu de fil blanc qu'on y croit pas. En tous cas, moi je n'y crois pas.

Je poursuis avec le scénario en lui même... Pffff, ils rompent, ils se remettent ensemble, ils rompent, ils se remettent ensemble, Hardin est odieux, il essaie de se rattraper et est odieux, Tessa n'a pas une once de maturité et le tout est une immense pub pour la marque KMJ. Franchement à la fin de ce tome, j'ai envie de me dire que Tessa est débile... le mieux qui pourrait lui arriver c'est de partir à Seattle, de se mettre avec Trevor (ou même Zed) et de ne jamais plus croiser la route de son boulet. Mais ça n'arrivera sans doute pas, si j'en crois la manière "passionnée" (comprendre en utilisant tous les clichés du genre) dont l'auteure décrit les sentiments de Tessa pour Hardin. Cependant, je garde un restant de sympathie pour le personnage qui me semble plus être une pauvre fille qu'autre chose. Maintenant, je n'ai pas du tout envie de lire la suite, mais je finis toujours les sagas que j'ai commencé donc... plus que 5 tomes (si je survis !)


Ce que j'aime : euhhhh la description des tenues de Tessa, la relation de Zed et Tessa, le personnage de Landon et Tessa reste attachante, ça se lit facilement et j'aime bien les citations de Jane Austen et Tolstoï même si on est loin de pouvoir comparer la relation de Tessa et Hardin à celle d'un Darcy et d'une Elizabeth (par exemple)


Ce que j'aime moins : l'accumulation de clichés, le personnage d'Hardin : sérieusement, si c'est ça le fantasme ultime, le féminisme a vraiment du soucis à se faire ! Je ne suis pas du tout féministe mais la relation proposée par l'auteure est tellement nocive et Hardin tellement "abuseur en puissance" qu'on ne peut que réagir, car non, ce n'est pas parce que Tessa est amoureuse qu'elle doit se laisser faire de la sorte. La manière dont Tessa traite sa mère, l'exagération que l'auteure met dans son écriture et le manque de scénario


En bref : Un second tome qui me pousse à me demander ce que les lectrices peuvent bien trouver au personnage d'Hardin et qui accumule les clichés. de plus, l'intrigue tourne en rond et le style de l'auteure n'est pas très travaillé...


Ma note


3/10
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🔖 Après avoir adoré le premier tome, j'ai tout de suite poursuivie avec ce tome. 📚
🔖 Contrairement au premier tome, j'ai trouvé celui-ci assez lent 🥀, moins dynamique et très répétitif, j'avais l'impression de tourner en rond. ☢️
🔖 Hardin & Tessa passe 850 pages à : « suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis » 👫 . Un petit peu lassant à la longue 😅. Même si on sent qu'ils évoluent, on sent aussi qu'ils stagnent🕴🏻.
🔖 J'ai malgré tout envie de connaître la suite et de poursuivre avec le tome 3 pour savoir ce qu'il réserve. 🙌 (et aussi parce qu'il ne fait pas 800 pages 🤣)

Contente d'avoir terminé ce long livre de 700 pages ! Bon... Il m'a moins enthousiasmé que le premier, j'ai mis un peu plus de temps à le lire mais je me suis engagé dans la saga donc c'est pour la finir. Si Tessa avait seulement changé le fait de réussir à s'affirmer d'avantage, je l'aurais adoré ! Mais là... Je dois avouer qu'il y a eu certains passages ou vraiment, son comportement était incompréhensible et idiot ! Je trouve ça complètement dingue de ne pas réussir à être seule, et à chercher l'affection n'importe ou coûte que coûte, cela m'as littéralement énervé et m'as fait passer de mauvais moments de lecture. Malgré cela, il y avait bien évidement des passages intéressants et intriguants, et je trouve Hardin (bien qu'il reste d'une personnalité de feu) plus réfléchi et j'apprécie le fait qu'il fasse des efforts, à sa manière.
(Si on pouvais retenir quelque chose de ce livre, je dirais que c'est de ne pas agir quand on vient de se faire blesser (en paroles). Aller en parler et dégrader la personne ou faire des choses qui pourrait être de la trahison : ne jamais agir de la sorte ! Car les événements pourraient s'arranger mais cela pourrait tout gâcher ... )