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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai emprunté le 1er fascicule de cet "infinity 8" à la bibliothèque en voyant le nom de Trondheim. En général, je trouve ces b.d plaisantes même si elles ne sont pas inoubliables. Je trouvais également le concept intrigant.

Et bien j'ai trouvé ça totalement naze.
Le scénario (quel scénario ?) ne raconte rien. L'histoire (quelle histoire ?) est confuse, les enjeux (quels enjeux ?) sont inexistants, les personnages (quels personnages ?) sont fadasses. Tout ça est très fouillis mais sans avoir un côté bordélique sympathique, "infinity 8" est juste brouillon et bâclé.
Il n'y a rien de pire qu'une comédie pas drôle. Et bien, je n'ai pas ri, ni même souri une seule fois. Les dialogues tombent à plat et l'humour est assez lourd, voire beauf.
Je n'ai pas non plus été emballée par le dessin. Sans être laid, il ne dégage aucun charme, aucune personnalité.

Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce 1er fascicule (seulement 36 pages pourtant !) que je ne vais pas perdre mon temps à lire les suivants, je m'arrête là.

Challenge B.D 2017
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Au départ, un concept amusante et la tentation d'y voir un objet délirant qui serait à la SF ce que fut Donjon à la Fantasy. Au final, un premier tome brouillon, qui multiplie les facilités et qui hésite entre un gros truc bourrin et une parodie. Sauf que la parodie, si c'en est une, ne décolle jamais. Au contraire, elle reste plombée par un humour lourd qui se vautre dans les clichés. Je cherche le second degré, amis j'ai l'impression de ne voir qu'une bande de potes qui se sont amusés à délirer, qui ont pondu un scénario improbable mais qui n'aurait jamais dû aller plus loin que le délire entre potes.
Au lieu de cela, la bonne idée de départ (le reboot) est noyé dans un empilage de clichés qui ne semble jamais s'élever au delà d'une simple surenchère, sans distance et sans relief. Et ce n'est jamais drôle, ce qui est rédhibitoire pour un projet sensé être humoristique. Gros casting, résultat inintéressant.
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J'ai vraiment du mal à saisir le principe de cette série concept. Une équipe de scénaristes et de dessinateurs vont réaliser 8 bandes dessinées racontant des histoires se déroulant en parallèle dans les entrailles de l'Infinity 8, vaisseau-monde qui vogue dans le cosmos.
Ce premier tome introduit déjà une race capable d'explorer les 8 prochaînes heures d'une trame temporelle, ce qui laisse supposer qu'il y aura des chausses-trappes.
Pour ce premier tome, le maître d'oeuvre Tondheim s'associe à Zep et Bertail pour une histoire d'amour et de nécrophagie.
Humour crétin, rayons lasers et bestiaire colorés... pourquoi pas ? Mais cette déclinaison en comics me laisse dubitatif. Il semble qu'il y ait volonté de pasticher les comics des années 50-60. Mais il ne suffit pas d'une couverture racoleuse comme il faut. Il faut que tout l'objet tende vers son modèle. le gros papier glacé fait déjà tache. Les planches de Bertail soufflent le chaud et le froid. Parfois, on retrouve un aspect de pastiche. A d'autres, c'est juste une bande dessinée franco-belge classique.
Ce genre de comics se doit aussi d'avoir une page de titre flashy, et une fin en forme de cliffhanger le plus excessif possible, accompagné de son petit texte plein d'emphase pour annoncer la suite. Ces 2 premiers fascicules semblent ne présenter que les planches en format réduit, sans aucun effort pour en faire autre chose qu'un matériel promotionnel. Il n'y a aucune réflexion sur le format ou la narration. le premier fascicule se termine de manière presque normale pour ce genre d'histoire (une grande case). le suivant se termine parce qu'on a atteint le nombre de page (petite case avec un minable "a suivre"), alors qu'une mise en page adéquate aurait pû donner plus d'impact.
Plouf.
Côté bonus, rien de sérieux à se mettre sous la dent.
La bande dessinée en elle-même n'est pas fameuse. Pas vraiment drôle, pas vraiment dépaysante, pas vraiment effrayante. Tout est mou.
Format gadget pas exploité et contenu mollasson.
gros raté pour une pseudo dream team.
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